Mon compte
    Paris, je t'aime
    Note moyenne
    3,4
    4979 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Paris, je t'aime ?

    304 critiques spectateurs

    5
    50 critiques
    4
    104 critiques
    3
    43 critiques
    2
    62 critiques
    1
    36 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 février 2013
    Difficile de donner une appréciation générale, vu que le film est composé de courts-métrages de réalisateurs complètement différents. Mais quelques-uns d'entre eux méritent vraiment le détour. Il y en a pour tous les goûts de toute façon, ça c'est sûr ! J'ai personnellement beaucoup aimé celui avec Steve Buscemi dans le métro, et celui de Denis Podalydès.
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    24 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2013
    Une série de sketches qui plairont ou pas suivant le goût que l'on a du genre, mais toujours originaux dans le traitement cinématographique. Des scenarii plus ou moins élaborés, mais qui surprennent. Du film quasi social au film fantastique, de la poésie au surréalisme, le spectateur aura de quoi passer deux heures sans s'ennuyer. C'est au moins un des points forts du court-métrage qu'il n'oblige pas à faire subir une éventuelle torture culturelle à quiconque ne l'apprécie pas. Des curiosités parmi le casting notamment Depardieu et Marianne Faithfull.
    ana M.
    ana M.

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2012
    C'est etonnant comment Walter Salles nous a fait comprend une situation qu'on a partout.La comparaison parmi les deux scènes dont elle chante pour les bébes c'est genial pour montrer leur differents sentiments.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 novembre 2012
    Vies paralèles qui se ressembles e qui sont au même temp très différentes tout simplement à cause du support matériel de chaqu’une. Toujours la richesse qui bascule, qui déséquilibre, qui fait la gros différence et le clivage entre le gens e les choses. Ce sont deux êtres humains, deux femmes avec ses bébés, qui se réveillent à Paris au matin pour commencer la journée. Ce sont le paradis et l’infer qui dialoguent entre eux dans la même ville, dans le même film. Ce sont des images qui ont um caractère dantesque, le sobre et le sublime qui se succèdent dans une sorte de Divine Comédie, sans joie à la fin, comme même. C’est em verité le drame, pas la comédie, le drame quotidien qui n’a pas de solution. Dans un court métrage qui dure quelques minutes le réalisateur a mis tout un univers, peut-être le plus grand drame humain qu’on vive aujourd’hui par tout dans le monde, surtout dans le grands villes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 novembre 2012
    Regarder "Loin du 16e" et ne pas être envoyé à une réalité différente de laquelle que nous sommes habitués devient impossible. Ce n'est pas la ville qui veulent nous montrer généralement et pas laquelle que,souvent, nous voulons voir. La capacité à démontrer de façon convaincante la vie quotidienne des étrangers dans la ville est due, en grande partie, à l'excellent choix fait pour Catalina Sandino Moreno pour le rôle de Ana. Elle est une actrice très intense et comme dans "Marie pleine de grâce", nous a montré que ne sont pas nécessaires nombreux mots pour que les caractères et les films nous marquent de façon permanente.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 novembre 2012
    Les courts sont un type de film très difficile de réalizer. En ce type, on a peu de temp pour transmettre l'idée qu'on veux. Malgré ça, Loin du 16ème est très interessant, et transmet son message sans difficulté, en utilisant l'image d'une manière genial. Beaucoup de films semblent oublier que le cinéma a son propre langue, mais Loin du 16ème ne s'oublie pas de ça. En quelques minutes, il dit tout ce qu'il veut sur ses personnages, et nous montre une Paris que peut histoires sont capables de montrer. Un vraiment bon film.
    Jonathan M
    Jonathan M

    132 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2012
    le court-métrage est un exercice très difficile. la preuve ici, beaucoup de raté pour peu de satisfaction. trois se démarquent néanmoins : "tuileries" des frères Cohen qui mélange créativité et originalité, tout ce que l'on attend d'un court. "loin du 16ème" de Walter Salles et "quartier de la madelaine" de V.Natali sont également de vrai réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 décembre 2012
    Un hommage sympathique à notre capitale où la construction du film en plusieurs segments permet d'en voir plusieurs facettes. La dernière scène (14è arrondissement) m'a particulièrement touché et je regarderai le film à nouveau rien que pour celle-ci.
    Cependant certaines séquences du film sont maladroites et m'ont déçues (Quartier Latin, Le Marais..) de par le manque d'accroche ou un jeu d'acteur nullissime.. Les scènes sont très courtes et on reste parfois sur notre faim.. Bref moyen!
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Très en vogue dans les années 60/70, les films "à sketchs" avaient quasiment disparu, jusqu'au passionnant "11'09''01 - 11 septembre". Bâti sur le même principe (un thème unique, une durée égale pour tous), "Paris je t'aime" est aussi un formidable catalogue de la diversité du cinéma. Diversité de genres : film de vampire, de kung-fu, fantastique, comédie sentimentale, mélodrame... Diversité de styles : onirique, intimiste, social, politique... Diversité de narrations : flash-back, voix off, plan séquence, accélérés, steady-cam...

    Le format de cinq minutes nécessite de rentrer directement dans le sujet, de pratiquer l'ellipse ou l'implicite, et la répétition exige du spectateur une concentration que la durée de l'ensemble (2 heures) rend parfois difficile. Du coup, les (rares) films médiocres (celui de Nobuhiro Suwa avec Juliette Binoche, d'un onirisme pachidermique, ou celui de Richard LaGravenese avec Fanny Ardant et Bob Hoskins, alambiqué et prétentieux) semblent durer bien plus longtemps.

    Mais la majorité des films sont au minimum intéressants (Gus Van Sant, les frères Coen, Olivier Assayas) et certains sont de vrais petites merveilles. Alexander Payne ("Sideways") filme Margo Martindale en visite à Paris, tandis qu'on entend sa voix qui dans un français scolaire et phonétique raconte la tristesse de sa vie de factrice solitaire. Alfonso Cuaron ("Harry Potter 4") réalise un plan séquence, long traveling latéral qui suit Nick Nolte et Ludivine Sagnier en train de s'engueuler indistinctement en français et en anglais, laissant un doute sur la nature de leur relation, doute qui ne se dissipera que quand s'arrêtera la caméra.

    Le réalisateur allemand Tom Tykwer ("Cours Lola, cours") rentabilise étonnament ses cinq minutes pour raconter le début, le déroulement et deux fins hypothétiques de l'histoire d'amour de Natalie Portman et de Melchior Belson, qui joue le rôle d'un non-voyant (Sortir avec Natalie Portman et ne pas la voir, quel gâchis...)
    Sylvain Chomet ("Les triplettes de Belleville") quitte l'animation pour filmer des personnages qui semblent quand même échappés du cellulo, dans un rythme et une esthétique proche de "Zazie dans le métro", avec comme fil rouge entre les deux films la Tour Eiffel.

    Mais les deux plus beaux bijoux de cet écrin sont hispaniques : Walter Salles ("Carnets de voyage") suit la matinée de Catalina Sandino Moreno (la "Maria pleine de grâce") depuis la crèche de banlieue où elle calme son enfant d'une berceuse latino-américaine, jusqu'à l'immense appartement du XVI° où une patronne réduite au hors champ lui laisse la garde de son bébé, qu'après une hésitation elle apaise de la même berceuse. Limpide et nerveuse, la caméra suit au plus près Ana, saisissant les émotions qui l'agitent.

    L'autre est l'oeuvre d'Isabel Coixet ("The Secret Life of Words"), et nous montre le moment où Sergio s'apprête à annoncer à sa femme qu'il la quitte ; mais elle vient de recevoir les résultats des analyses qui la condamnent... La réalisatrice espagnole utilisent tous les moyens du cinéma : flash-back, voix-off, musique, précision du cadre, pour créer en cinq minutes l'histoire du naufrage d'une vie.
    Et puis, Paris. Paris filmé sous tous les angles, à toutes les heures, du XVI° à Belleville, loin des cartes postales chères à Spielberg ou aux autres cinéastes américains restés coincé à l'ère de l'Inspecteur Clouzeau. Pas un simple décor, mais un vrai lieu, à l'instar du trottoir du quartier Montceau squatté par Alfonso Cuaron ou de la rue de Montmartre captée par Denis Podalydés et réduite à d'improbables places de stationnement. Disparate, international et polyphonique, "Paris je t'aime" est bien plus qu'un simple exercice de styles, mais bien un passionnant état des lieux du cinéma contemporain.

    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    ER  9395
    ER 9395

    86 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 septembre 2012
    Très inégal, mais on reste séduit par quelques séquences qui valent le détour .
    RGciné1895
    RGciné1895

    17 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 août 2012
    Des scènes pas mal, et d'autres beaucoup moins. Quelques passages incohérents... Bref un film pas spécial à part son casting!
    kioukioun
    kioukioun

    14 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2012
    Un joli film... ou du moins, une suite de court métrage sympathique. J'ai apprécié la plupart d'entre eux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 mai 2012
    J'étais assez curieuse de savoir pourquoi ce film avait fait tant de bruit. Je l'ai vite su..
    Paris je t'aime est une véritable merveille, jolie et douce comme un bonbon. Agréable surprise d'y voir Natalie Portman et Elijah Wood. Ce film dégage l'amour de toutes nationalités, le mélange des langues est superbe =)
    Personnelement, je n'ai pas aimé la séquence des mimes. En revanche, j'ai adoré Montmartre, Père-Lachaise, le quartier de La Madeleine, Place des fêtes, Bastille, le Faubourg Saint-Denis (Natalie oblige) mais surtout le 14eme arrondissement : Carol m'a beaucoup touchée..Je vous conseille vivement cette merveille =)
    (Oui je sais, j'en aime beaucoup^^)
    Gonnard
    Gonnard

    241 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mars 2012
    Hymne à la ville lumière, visite guidée des hauts lieux de la topographie parisienne ou encore passage en revue des grands topos associés aux différents quartiers parisiens, tel est le projet initial de "Paris je t'aime". Afin de le servir au mieux, les plus grands noms ont été mobilisés, tant devant que derrière la caméra, aussi bien des Français que des personnalités outre-atlantiques. Ces bonnes intentions, louables, n'ont malheureusement pas suffi pour mener à bien le projet. Si "Les Tuileries" et "Le Faubourg Saint-Denis" se démarquent par leurs qualités tant scénaristique que formelles, le reste s'avère être, en revanche, d'une médiocrité affligeante. Il ne suffit pas de tourner quelques scènes dans les rues parisiennes pour espérer révéler l'âme de cette ville. On ne peut se contenter de dialogues au ras des pâquerettes ou d'intrigues tarabiscotées quand on aspire à intéresser un tant soit peu le spectateur. Enfin, si une bouffée de bons sentiments fait du bien de temps à autre, cela s'avère étouffant quand elle ne sert qu'à donner une caution morale au film. En clair, la mayonnaise ne prend malheureusement pas. La tentative new-yorkaise, plus tardive, a heureusement été d'un tout autre niveau.
    Don Keyser
    Don Keyser

    73 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2012
    "Paris, je t'aime" tente le projet ambitieux de rendre hommage à la ville lumière, pas totalement réussi ni totalement raté, le long-métrage dépend en fait d'un point de vue sur chaque court-métrage. En effet, les premiers sont plutôt intéressants mais plus on s'approche de la fin, plus le temps nous paraît long et l'ennui commence à se faire ressentir. En soi, on passe un moment divertissant mais le mélange entier ne passe pas totalement et le film en pâtit par la suite. Au final, c'est donc une oeuvre assez bien sans plus.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top