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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Alors... le fameux [b]Paris je t'aime [/b]
Ben disons que je suis mitigée car étant donné qu'ils s'agit d'une succession de courts métrages, le style de chacun est différent, donc selon les gout il y en a plaisent et d'autres qui plaisent moins... Je me suis un peu ennuyée par moments mais j'ai adoré le tiers des courts (Natalie Portman toujours superbe, Wood assez etonnant, des jolies fables sur les préjugés, Nolt à contre emploi...) j'ai apprécié un autre tiers et je n'ai pas aimé le dernier tiers...
Certains courts sont vraiment déroutants, dans le bon sens parfois mais aussi dans le mauvais pour certain (quelqu'un pourrait il m'expliquer celui sur le quartier chinois j'ai rien capté lol) Mais le tout est très original, c'est mignon, bien pensé, joliment tourné et interprété, surprenant... c'est un [b]film à voir! [/b] :D
J'ai beaucoup aimé, même si ça s'étirait en longueur vers la fin. 18 courts métrages c'est peut-être un peu trop. En tout cas les styles sont variés, la poésie est souvent présente et on sent que les réalisateurs n'en sont pas à leurs débuts. Parfois le message que le réalisateur a voulu faire passer est un peu flou, on ne saisit pas forcément tout mais l'essentiel est là : on ne s'ennuie pas.
Je met 0 étoiles car j'ai été trés déçu! Vu les critiques que et le bien que j'en avais entendu j'avais hate d'aller le voir j'y suis allé pendant le fete du ciné mais franchement j'ai trouvé ça pas terrible, j'aurai du utiliser cette séance pour voir autre chose. Les moments que j'ai préféré sont ceux où Paris est filmé et où on se rend compte que c'est un ville magnifique. J'aurai pu mettre 1 étoile mais je suis vraiment trop déçue!
Je pensais ne pas trop aimer, mattendant à une sorte de carte postale sur grand écran. Pourtant, bien malgré moi, jai fini par tomber sous le charme de ce film chorale réalisé par 20 cinéastes, un pour chaque arrondissement. Pendant deux heures, cest une véritable mosaïque qui défile sous nos yeux, des tranches de vie sans fioritures, des personnages tous très différents quon ne voit que cinq minutes et auxquels on sattache pourtant, peut-être parce quil ne leur arrive rien dextraordinaire (à lexception de Elijah Wood peut-être ). Le résultat, malgré cette apparente diversité, reste cohérent, et ne muséifie pas Paname autant que je laurais cru. Les plus drôles : « Quartier latin » « Père Lachaise » et « Tuileries » ; les plus touchants : « Parc Monceau », « Place des fêtes » ; et le plus craquant ;-) : « Le Marais ».
Très décevant pour un film évènement...Le côté décousu et un manque évident de fil rouge entre les différents courts-métrages donnent un cocktail étrange...on a vu mieux en termes de film d'Amour! Dommage...
Imaginez une vingtaine de cours métrage réalisé par les plus grands avec carte blanche, dans un decor de rêve (Paris), doté d'excellents acteurs (ardent, portman...): Un aller-retour "émotion" garantie.
Un bel ensemble de courts métrages. Beaucoup sont émouvants, d'autres sont drôles, gais ou tristes. Il y en a même qui donnent dans le fantastique (ou presque). A voir, même si on ne connaît pas bien Paris. Ici, on nous raconte des histoires d'amour, de rencontre ou de solitude. On rit, on a envie de pleurer ou on a peur. Un grand moment d'émotions.
18 réalisateurs, 18 "univers", 2h fugace de vrais plaisirs. Ce concentré de court-métrages nous dévoile Paris à travers 18 objetcifs. Pas le temps donc de se lasser. Cinq minutes chaque courts, c'est le pari fou. Là où certains excellent dans ce défi ( Olivier Schmitz : excellent, les fréres Coen, Isabel Coixet, Tom Tykwer... ) d'autres passent à côté ( Gus Van Sant, Christopher Doyle ). Contrairement à certains dires, le film ne souffre d'aucun pétainisime ou de chauvisme. Pour le coup, Paris est interntationalle, on l'a présente cosmopolite, lumineuse, radieuse, drôle. Mais elle est aussi montrée sous un jour horrible ( "Place des Fêtes" ), triste et underground. Paris, je t'aime dans tout tes états. Sans grande transition entre les courts, le film posséde un rythme haletant qui nous fait passer les deux heures les plus rapides du cinéma. En conclusion : c'est un projet merveilleux, à la hauteur de mes attentes. On tombe bien plus amoureux que de Paris, on tombe amoureux du film.
Paris je t'aime avait tout du charmant projet, et ce fut avec plaisir que je me rendis au cinéma pour voir cet ensemble de court-métrages sur les rencontres amoureuses dans la capitale : quelle déception ! La plupart des court-métrages sont en effet tout simplement dépourvus d'intérêt ( je pense tout simplement au film Quartier Latin de Frédéric Auburtin, ou encore au parc Monceau ), et sont d'une platitude déconcertante. Et même si le film évite le piège de la carte postale, les courts sont très inégaux ( je ne parle même pas de la réalisation de Christopher Doyle, agaçante et grotesque au possible, tout comme le film Quartier de la Madeleine ). Seuls points positifs : les films de Bruno Podalydès, de Gus Van Sant ( sobres Gaspard et Elias pour le film sur le quartier du Marais ), des frères Coen ( on retrouve bien leur univers délirant et nour avons droit à l'excellente prestation de Steve Buscemi ) et celui de Sylvain Chomet ( c'est son premier film en images réelles, qui a nécessité un travail important sur la bande son et sur le comique de situation ). Mis à part ces quatre courts, l'ensemble est pauvre...
Si certains courts métrages sont meilleurs que d'autre, l'ensemble de ce film collectif est un vrai bonheur... chaque histoire est touchante, émouvante, belle... mon coup de coeur ira pour "Loin du 16ème", itinéraire quotidien d'une jeune mère qui quite son enfant pour en garder un autre, "Faubourg saint Denis" avec la géniale Natalie Portman, "Tuileries" le plus drôle et "Place des fêtes" le plus émouvant... quant au moins bons, selon moi, "place des victoires", bizarre et larmoyant, "Pére Lachaize" trop classique, et "Porte de Choisy"... même pas drôle...
Pathétique ! Cette succession de court métrage sans queue ni tête, en manque total d'inspiration et d'originalité nous désole sur la capacité des réalisateurs à se surpasser sur un thème aussi génial. Le mauvais montage de la diversité des styles rend indigeste cette mièvrerie, et frise parfois la provocation honteuse. Le discours islamiste de Gurinder Chadha avec la belle Leïla Bekhti en partisane du voile donne un ton douteux. Une seule histoire tire son épingle du jeu avec Aïssa Maïga très émouvante. Natalie Portman, Gena Rowlands et Elijah Wood entre autres, offrent leur talent. Pour le reste, à éviter !
Film collectif (pas moins de dix-huit réalisateurs pour autant de courts métrages), contrasté et pourtant affichant une belle unité, cet essai de réunion de talents autour d'un même thème, la rencontre amoureuse, dans un même décor, Paris, est très plaisant. Les défauts et qualités inhérents à ce genre d'entreprise sont bien présents, avec du côté des faiblesses un manque de personnalité de certains courts qui du coup ont tendance à se faire oublier au final; et du côté des points forts, une unité dans la volonté de raconter dans un minimum de temps une histoire, si minime soit-elle. Chacun y trouvera des petites perles, des sources d'ennui ou d'incompréhension, des beaux instants d'émotion. Chacun citera ses préférés, il y a le choix dans cet ensemble qui passe d'un cinéma étudié, très formel, à une narration beaucoup plus libre. Aucun n'est à jeter, il semble que tous aient joué le jeu et la différence des styles est séduisante. Beau projet, belle réalisation.
L'idée de départ est très sympa: réunir autant de grands noms du cinéma autour des mêmes thèmes - l'amour et Paris. Au final, j'ai trouvé ça très inégal. On ne voit pas trop où veulent en venir la plupart des courts métrages, d'une grande vacuité. Toutefois, quelques épisodes m'ont plu: Tuilleries (les Cohen), Tour Eiffel (assez drôles les mimes !), Parc Monceau, Place des fêtes (émouvant)et Quartier latin (pour la grande Geena Rowlands)...et puis question, est-ce que vous aussi vous avez été pris d'un fou rire incontrôlable pendant le dernier sketch (14e arrondissement) ?
Une compilation de courts métrages, dont certains réalisés par des pointures (les frères Coen, Gus Vans Sant, Wes Craven entre autres), dont le thème principal serait une rencontre à Paris... quelle bonne idée. Bien sûr le résultat est inégal, on aimerait s'attarder davantage sur certaines histoires, en délaisser d'autres plus rapidement ; mais l'exercice est vraiment intéressant. Et il est bon de faire exister ce cinéma là, souvent l'apanage d'amateurs qui pétillent d'idées. A quand un court métrage avant chaque séance, en lieu et place des sempiternelles bandes-annonces et publicités ?
Paris, Je T'aime n'est pas un film comme les autres : c'est une succession de courts métrages sur le thème de l'amour à Paris. Bonne idée oui et d'autant plus intéressante que c'est vu par les réalisateurs du monde en entier, et pas des plus mauvais : Gus Van Sant, Wes Craven, les frères Coen, Bruno Podalydès, ... Dix-huit réalisateurs, dix-huit courts métrages, dix-huit visions différents de l'amour à Paris. Après 11'09"01 : September 11, voici un autre regroupement de réalisateurs. Le résultat est très bon même si le spectateur a toujours envie de donner la palme à l'un des courts métrages. Seulement, ici, ils sont tous appréciables par une spécificité qui leur est propre. Ainsi le spectateur n'a pas de préférence (même s'il a des déceptions) et passe un excellent moment. Les acteurs sont souvent incroyables et les histoires drôles, belles, émouvantes, intéressantes et parfois ... incompréhensibles. Mais on retiendra de ce regroupement une véritable leçon de cinéma, loin de tous les clichés et prêt du coeur des cinéphiles.