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Un visiteur
4,0
Publiée le 8 septembre 2007
S'il est un film ou tout le monde peut se retrouver au moins l'espace de 10 minutes c'est bien celui là. Et c'est ca la magie de ce film ou plutôt devrais-je dire de CES films. Car ils ont tous pour seul point commun de se dérouler à Paris, ville lumière. A chaque film son réalisateur et ses acteurs, plus ou moins connus mais tous très pro.
Une très bonne suprise et un ravissement à la fin de chaque histoire selon moi. De plus les histoire s'enchainnent tout naturelement et nul besoin de chercher à comprendre "pouquoi cette histoire?". Il suffit de se laisser emporter par les histoires couplée à la magie de la ville et on s'y croirait. C'est aussi cette liberté donnée aux réqlisateurs qui fait le charme de ce film. On passe d'une histoire de vampires à une très simple et pourtant très touchante histoire regroupant trois générations, puis à une histoire d'amoureux insiprés par Hemingwey etc.
Choisissez votre histoire et laissez vous porter. Pour ma part je ne sais pas laquelle j'ai préféré, ou du moins je le garde pour moi car là est mon petit plaisir, me les repasser dans ma tête pour savoir laquelle mérite toute mon attention.
Coup de cœur !! Paris je t’aime !! Ce film est super avec plusieurs réalisateurs comme Gus Van Sant, les frères Coen, Wes Craven, Gérard Depardieu... ou ils ont offre chaque un des courts-métrages différents dans les rues de Paris. Avec un casting incroyable et magnifique : Gaspard Ulliel, Steve Buscemi, Juliette Binoche, Willem Dafoe, Nick Nolte, Maggie Gyllenhaal, Fanny Ardant, Bob Hoskins, Elijad Wood, Natalie Portman, Gérard Depardieu, Gena Rowlands… Toutes les histoires d’amour sont super. Mes préférer ont été : Montmartre (Superbe ouverture pour le film), Quais de Seine (très belle rencontre entre les deux jeunes incarnée par Leïla Bekhti et Cyril Descours), Tuileries (Vraiment sympa cette histoire dans le métro avec Steve Buscemi), Loin du 16e (Avec la jeune mère qui chante pour le bébé), Place des Victoires (L’histoire avec Juliette Binoche, très belle scène quand elle revoie son fils), Tour Eiffel (Vraiment excellent, j’ai beaucoup aimé cette histoire avec les mimes), Pigalle (Une belle histoire incarnée par les excellents Fanny Ardant et Bob Hoskins), Quartier de la Madeleine (Sympa cette histoire de Vampire) et Faubourg Saint-Denis (L’un des mes préférés aussi, avec Melchior Beslon et Natalie (je l’adore) sont adorables et jouent bien, une très belle histoire avec le temps qui file).
Excellent ! On plonge toutes les 5 minutes dans un univers different dans Paris. Le concept est original. Certaines oeuvres sont moyennes mais d'autres excellentes (j'ai adoré celle des frères Cohen notamment). A voir !
Telle une balade touristique dans la capitale, la déception est de mise, voire inévitable, pour les (grands) monuments dont le prestige est sans cesse rabâché : Coen, Van Sant, Assayas, Payne… Comme toujours, la surprise et l’émotion jaillissent des lieux inattendus : Schmitz, Tykwer, Coixet, Chomet, Podalydès… Et le reste de la découverte s’effectue avec plus ( Depardieu, Salles, Natali, Suwa ) ou moins ( Craven, Cuaron, Chadha ) de plaisir. Une belle visite !
toutes les histoires ne sont pas géniales, d'autres auraient pu etre approfondies, mais dans son ensemble, "Paris je t'aime" est une belle oeuvre collective qui donne envie d'aimer.
Un film avec ,certes,du bon et du moins bon. Mais certains mini-films sont à saluer, notamment celui avec une de mes actrices préférées, Natalie Portman. Quelques uns se laissent regarder, d'autres se laissent admirer. Un film avec des rencontres, telles qu'on aimerait les faire dans la vie. Les réalisateurs nous lancent toujours dans une histoire et nous font profiter de petites idylles, sans jamis nous gaver d'images inutiles. On oublie les barrières de la langue et on savoure. J'ai adoré la fin
Bof bof! Certaines histoires sont vraiment nulles... mais d'autres sont super donc ça compense! Heureusement le film est assez bien tourné et je trouve que c'est une bonne idée d'avoir réuni plein de réalisateurs pour ce film!
Cette audacieuse entreprise se révèle originale au final et plutôt réussie dans l'ensemble. Mais comme dans tout film collectif il y a du bon et du mauvais. A la surprise générale le mauvais vient suurtout des plus grands (comme ceux de Gus Van Sant, Wes Craven ou les frères Coen qui à mon sens n'étaient pas au rendez vous). Au contraire ce sont les moins connus qui tirent leur épingle du jeu. En particulier le court de Tom Tykwer qui est d'un grand savoir-faire et assez touchant. Marquant aussi, celui de Vincenzo Natali d'un superbe ésthethisme et jouant de manière virtuose sur les couleurs. Donc "Paris je t'aime" met l'accent sur l'art du court-métrage et constitue aussi une déclaration d'amour à la plus belle ville du monde.
Quel bijou que ces multiples films d'amour qui nous montrent tantot un Paris sombre et plein de terreur, tantot un Paris plein de couleur et de gaiété. Les quartiers de Paris se révêlent a nous de façon ludique, poétique, fantastique, réaliste,...la vision de Paris diffère d'un réalisateur à un autre et chacun amène une morale et un thème propre. On voyage donc entre les arrondissements grace aux acteurs et aux scénarios en tout genre. Personellement j'ai adoré le "mini-film-d'amour" qui mettait en jeu Nathalie Portman, et celui avec les mimes. Voila je ne peux pas en dire plus car sinon il faudrait éplucher chaque parti de chaque film et comme il y en a beaucoup se ne serait pas raisonable.
Paris je t'aime, c'est un puzzle sur les histoires d'amour et la ville Lumière. Paris je t'aime, c'est aussi un assemblage hétéroclite de films courts, un mélange d'ambiances variées et de personnages tous aussi attachants les uns que les autres, qui malheureusement apparaissent trop peu à l'écran. La magie opère, et on ne se lasse pas ! Ce "long film de films courts" est donc un agréable moment où plusieurs sentiments et sensibilités se mêlent et s'étourdissent, dans ce cadre magnifique de Paris. On pourra toutefois regretter que l'ensemble est inégal (en qualité et cadrage).
Frais, original, étonnant,... voici quelques adjectifs qui collent parfaitement à ce film. Alors oui, certains passages décoivent comme le "Marais" de Gus Van Sant. Je m'attendais à quelque chose de fort, d'émouvant et puis au bout de 5minutes je suis déçue. A l'inverse d'autres passages sont parfaits, à la fois simple et remplis d'émotions je pense par exemple à "Bastille" avec cette fameuse femme au trench rouge. C'est surement très bateau mais ça me plait. Il y a également "Place des Victoires" avec le cow boy et cette femme qui est complètement perdue suite à la perte de son fils. Au "Faubourg Saint-Denis" Natalie Portman est pétillante aux côtés de Melchior Beslon. Bref de jolies moments. J'aime les couples improbables à l'image de Nick Nolte et Ludivine Sagnier, j'aime voir Wes Craven dans un style qui est assez loin de ce que je m'imaginais. On est surpris et c'est tant mieux !
Alternant entre bon et moins bon, "Paris, je t'aime" ne vaut malheureusement le détour que pour quelques courts-métrages. L'ensemble ne présentant ni grande originalité, ni grand intérêt.
Le mieux est l’ennemi du bien. L’idée de montrer l’aspect à la fois unique et international de Paris était bonne. L’idée de faire appel à des réalisateurs, des acteurs chevronnés, de tous horizons, dont certains faisant des choses à contre-emploi était hyper bonne. Par contre, l’idée de ne pas sous-titrer en français et en anglais les dialogues était fort mauvaise. Elle revient à pécher par excès. La plupart des effets d’ironie dramatique contenus dans presque tous les dialogues tombent à plat pour un public qui n’est pas à la fois parfaitement biculturel et parfaitement bilingue. Les innombrables et subtiles références cinématographiques, littéraires et linguistiques porteuses de « double-entendre »(comme disent les anglophones) à la fois dans les répliques en français, en anglais américain, et en anglais britannique, ont de toute évidence été conçues par une équipe élitiste pour un public d’élus. Et c’est bien dommage. Car les situations réalistes et lyriques évoquées dans les scènes étaient susceptibles d’être appréciées par tous les publics. Un autre ennemi du bien. Le moyen. L’adjonction de courts métrages « gentillets » rend l’ensemble très inégal. Mais la qualité des images, l’oeuvre des frères Cohen, surtout, et celles d’Oliver Schmitz, d’Alfonso Cuaron, de Sylvain Chomet et de Wes Craven (en auteur pas en victime vampirisée), à elles seules, valent le déplacement.
Exeptionnel, le concept est génial. Les réalisateurs sont brillants, les acteurs époustouflants et les scénarios magnifiques. Il faut avoir vu Paris je t'aime au moins une fois dans sa vie.