Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Il faut dire que l'oeuvre est magistralement servie par Sylvie Testud, sorte de Pierrot lunaire, capable de faire passer toutes les émotions qui pouvaient assaillir son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Echos
par Isabelle Danel
Si tous les comédiens japonais sont excellents, Sylvie Testud (...) est carrément idéale. Sa frêle silhouette, ses yeux limpides, confèrent à Amélie sa part d'enfance irrésolue. Non seulement la jeune actrice s'exprime tout au long du film dans un japonais parfait (qu'elle a acquis au prix de trois mois de répétitions intensives), mais elle possède ce détonant mélange d'énergie et de légèreté qui fait de son personnage une victime active et jamais abattue.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Aden
par Philippe Piazzo
Un récit initiatique provocateur, porté par Sylvie Testud (révélée par Karnaval et Les Blessures assassines) - parfaite, comme toujours.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
C'est raffiné, finement cruel et délicieusement relevé d'un humour décalé.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce n'est plus du cinéma, c'est de la régate. Et un régal. César en vue pour Sylvie Testud.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Olivier-Pierre Salvano
Alain Corneau signe une oeuvre fluide, aérienne, tournée presque en huis clos (les bureaux du building pour l'essentiel). Peut-être LA réconciliation du réalisateur avec le public après la débandade commerciale et artistique de son PRINCE DU PACIFIQUE. Il a trouvé ici ses deux princesses. L'auteur du roman, et sa comédienne.
Première
par Stéphanie Lamome
Corneau s'amuse à transfigurer cette relation maître-esclave en tragédie grecque, apportant mille et un raffinements à ce bras de fer mental plein de paradoxes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Fidèle à l'humour et au ton de l'écrivain, le cinéaste n'en donne pas moins sa propre identité au film grâce à une mise en scène ingénieuse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Le cinéaste a le bon goût de laisser l'énigme en l'état. De s'incliner devant une différence qu'il serait présomptueux de vouloir trop cerner. Parce qu'elle met au grand jour, et sur le mode ludique, d'aussi vastes interrogations, l'aventure drôlement absurde d'Amélie, revisitée avec pertinence par Corneau, n'aura pas été vaine...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Est-ce à dire que Corneau n'a pas trouvé l'actrice capable de dépasser le texte d'origine et de sortir de l'adaptation plate ? Loin de là, car la prestation de Sylvie Testud est le grand bonheur du film, son rythme, son élan. Dans le rôle de l'ingénue humiliée, l'actrice semble être au diapason de son personnage-modèle : drôle, burlesque, inattendue.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le cinéaste compense le dialogue en japonais (beau travail de Sylvie Testud) par une lecture (off) en français de passages du roman, qui sont souvent redondants par rapport aux images. Au lieu d'une histoire fouillée sur une Occidentale au Japon, c'est une série de vignettes drolatiques sur les aléas de la vie de bureau en Extrême-Orient.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
On rêvait d'un affrontement de corps et de regards, d'une lutte d'espaces, d'une relation sado-maso folle et incontrôlée. Mais non, la police littéraire est là qui veille à ce que l'image soit anesthésiée.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La seconde raison tient dans la caricature qu'offre le film de la culture japonaise, fût-elle d'entreprise. Réduisant les personnages à des pantins sadiques, voire racistes, Stupeur et tremblements, en s'amusant à ruiner la fascination séculaire exercée en Occident par le Japon, n'est pas loin de verser lui-même dans l'ethnocentrisme grossier.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
A la ramasse depuis quelques années (...), Alain Corneau, lui, ne fait que dupliquer le bouquin avec une fidélité illustrative passablement besogneuse qui oblitère le caractère alerte du récit et s'accommode assez mal de l'ambiguïté des relations évoquées. L'image est vilaine contredisant l'affiche du film et les moments les plus enlevés sont ceux où l'infortunée héroïne (Sylvie Testud, digne, au milieu d'un casting 100 % japonais) cite en voix off des passages du livre. Ce qui, pour une (pauvrette) transposition cinématographique, la fiche un peu mal.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Zurban
par Véronique Le Bris
Des subtiles remarques sur les différences culturelles qui dynamisent la lecture, il ne reste qu'une voix off peu convaincante et des survols virtuels et artificiels de la métropole tokyoïte. Regrettable aussi, la prestation froide et désincarnée de Sylvie Testud, qui possède pourtant un réel talent d'actrice. Bref, on continuera de préférer le livre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Il faut dire que l'oeuvre est magistralement servie par Sylvie Testud, sorte de Pierrot lunaire, capable de faire passer toutes les émotions qui pouvaient assaillir son personnage.
Les Echos
Si tous les comédiens japonais sont excellents, Sylvie Testud (...) est carrément idéale. Sa frêle silhouette, ses yeux limpides, confèrent à Amélie sa part d'enfance irrésolue. Non seulement la jeune actrice s'exprime tout au long du film dans un japonais parfait (qu'elle a acquis au prix de trois mois de répétitions intensives), mais elle possède ce détonant mélange d'énergie et de légèreté qui fait de son personnage une victime active et jamais abattue.
Aden
Un récit initiatique provocateur, porté par Sylvie Testud (révélée par Karnaval et Les Blessures assassines) - parfaite, comme toujours.
Cinopsis.com
C'est raffiné, finement cruel et délicieusement relevé d'un humour décalé.
Le Parisien
Ce n'est plus du cinéma, c'est de la régate. Et un régal. César en vue pour Sylvie Testud.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Alain Corneau signe une oeuvre fluide, aérienne, tournée presque en huis clos (les bureaux du building pour l'essentiel). Peut-être LA réconciliation du réalisateur avec le public après la débandade commerciale et artistique de son PRINCE DU PACIFIQUE. Il a trouvé ici ses deux princesses. L'auteur du roman, et sa comédienne.
Première
Corneau s'amuse à transfigurer cette relation maître-esclave en tragédie grecque, apportant mille et un raffinements à ce bras de fer mental plein de paradoxes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Fidèle à l'humour et au ton de l'écrivain, le cinéaste n'en donne pas moins sa propre identité au film grâce à une mise en scène ingénieuse.
Télérama
Le cinéaste a le bon goût de laisser l'énigme en l'état. De s'incliner devant une différence qu'il serait présomptueux de vouloir trop cerner. Parce qu'elle met au grand jour, et sur le mode ludique, d'aussi vastes interrogations, l'aventure drôlement absurde d'Amélie, revisitée avec pertinence par Corneau, n'aura pas été vaine...
Chronic'art.com
Est-ce à dire que Corneau n'a pas trouvé l'actrice capable de dépasser le texte d'origine et de sortir de l'adaptation plate ? Loin de là, car la prestation de Sylvie Testud est le grand bonheur du film, son rythme, son élan. Dans le rôle de l'ingénue humiliée, l'actrice semble être au diapason de son personnage-modèle : drôle, burlesque, inattendue.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le cinéaste compense le dialogue en japonais (beau travail de Sylvie Testud) par une lecture (off) en français de passages du roman, qui sont souvent redondants par rapport aux images. Au lieu d'une histoire fouillée sur une Occidentale au Japon, c'est une série de vignettes drolatiques sur les aléas de la vie de bureau en Extrême-Orient.
Cahiers du Cinéma
On rêvait d'un affrontement de corps et de regards, d'une lutte d'espaces, d'une relation sado-maso folle et incontrôlée. Mais non, la police littéraire est là qui veille à ce que l'image soit anesthésiée.
Le Monde
La seconde raison tient dans la caricature qu'offre le film de la culture japonaise, fût-elle d'entreprise. Réduisant les personnages à des pantins sadiques, voire racistes, Stupeur et tremblements, en s'amusant à ruiner la fascination séculaire exercée en Occident par le Japon, n'est pas loin de verser lui-même dans l'ethnocentrisme grossier.
Libération
A la ramasse depuis quelques années (...), Alain Corneau, lui, ne fait que dupliquer le bouquin avec une fidélité illustrative passablement besogneuse qui oblitère le caractère alerte du récit et s'accommode assez mal de l'ambiguïté des relations évoquées. L'image est vilaine contredisant l'affiche du film et les moments les plus enlevés sont ceux où l'infortunée héroïne (Sylvie Testud, digne, au milieu d'un casting 100 % japonais) cite en voix off des passages du livre. Ce qui, pour une (pauvrette) transposition cinématographique, la fiche un peu mal.
Zurban
Des subtiles remarques sur les différences culturelles qui dynamisent la lecture, il ne reste qu'une voix off peu convaincante et des survols virtuels et artificiels de la métropole tokyoïte. Regrettable aussi, la prestation froide et désincarnée de Sylvie Testud, qui possède pourtant un réel talent d'actrice. Bref, on continuera de préférer le livre.