Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré quelques imperfections et naïvetés, ce film nous révèle à quel point Cuba n'est pas à l'abri de la corruption, de la violence et du machisme du monde capitaliste. Il y a une parfaite adéquation entre le sujet et la forme de ce drame populaire dénué d'afféteries, tourné en vidéo et in vivo avec des jeunes black du cru ; la caméra épouse le rythme des poursuites en rollers ou en auto, et des combats clandestins. Une belle série B d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Version moderne d'Electre, un film de gang âpre, juste et documenté, qui montre aussi la face sombre de Cuba.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Dans ses meilleurs moments, cette fiction rejoint le documentaire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Philippe Piazzo
A mi-chemin entre la telenovela sud-américaine et le film d'action amateur, Black raconte comment une jeune fille venge la mort de son frère assassiné par un proxénète mafieux. Son principal mérite : dénoncer la domination et l'exploitation (notamment sexuelle) des jeunes Cubaines par leurs propres compatriotes mâles.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Camille Brun
Heureusement, l'histoire est accrocheuse et le réalisateur réussit malgré tout à nous attacher au personnage de Dayana. Et même si son parcours est semé d'embûches agaçantes pour le spectateur, on le suit jusqu'au bout.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Malgré la beauté des interprètes féminines et quelques moments de crudité documentaire, le film de Pierre Maraval ne s'affranchit guère de naïvetés de série B, qu'il exploite. Pour ne rien dire des maladresses de la réalisation et de l'interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Mathieu Carratier
En exhibant sous toutes les coutures son héroïne hypersexuée, le film en oublierait presque son but : dénoncer le mavhisme et la corruption qui règnent à La Havane.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Malgré quelques imperfections et naïvetés, ce film nous révèle à quel point Cuba n'est pas à l'abri de la corruption, de la violence et du machisme du monde capitaliste. Il y a une parfaite adéquation entre le sujet et la forme de ce drame populaire dénué d'afféteries, tourné en vidéo et in vivo avec des jeunes black du cru ; la caméra épouse le rythme des poursuites en rollers ou en auto, et des combats clandestins. Une belle série B d'aujourd'hui.
Les Inrockuptibles
Version moderne d'Electre, un film de gang âpre, juste et documenté, qui montre aussi la face sombre de Cuba.
TéléCinéObs
Dans ses meilleurs moments, cette fiction rejoint le documentaire.
Aden
A mi-chemin entre la telenovela sud-américaine et le film d'action amateur, Black raconte comment une jeune fille venge la mort de son frère assassiné par un proxénète mafieux. Son principal mérite : dénoncer la domination et l'exploitation (notamment sexuelle) des jeunes Cubaines par leurs propres compatriotes mâles.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Heureusement, l'histoire est accrocheuse et le réalisateur réussit malgré tout à nous attacher au personnage de Dayana. Et même si son parcours est semé d'embûches agaçantes pour le spectateur, on le suit jusqu'au bout.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Malgré la beauté des interprètes féminines et quelques moments de crudité documentaire, le film de Pierre Maraval ne s'affranchit guère de naïvetés de série B, qu'il exploite. Pour ne rien dire des maladresses de la réalisation et de l'interprétation.
Première
En exhibant sous toutes les coutures son héroïne hypersexuée, le film en oublierait presque son but : dénoncer le mavhisme et la corruption qui règnent à La Havane.