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Par l'esprit, par l'esthétique, par la forme, on est tout proche du cinéma de Tim Burton. Inventif et délirant, féérique et impressionnant. (...) Une bonne surprise de cette fin d'année.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Bourré d'idées délirantes et d'apparitions succulentes (...), le film s'avère un spectacle visuellement splendide dynamité par un Jim Carrey polymorphe au sommet de son art.
L'adaptation très réussie des trois premiers volets de la saga imaginée par Lemony Snicket. Sombre comme du Dickens, gothique et pleine d'une espièglerie à la Roald Dahl.
Robert Gordon a très habilement reconstruit en un seul scénario les trois premiers des onze épisodes , ce qui permet d'en supprimer les longueurs et d'en supprimer les longueurs et d'en accentuer l'unité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
On songe, évidemment, à ce qu'aurait donné ce conte noir et rose si Burton l'avait mis en scène, mais le gentil Brad Silberling (...) s'en tire plutôt bien. Aidé par un scénario inventif, une photo superbe et des acteurs (...) en grande forme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Une entreprise fascinante si elle était au service d'un point de vue. Point de vue que Brad Siberling, réalisateur particulièrement anonyme, ne parvient jamais à imposer, malgré l'absolue réussite d'une direction artistique mise à son service. N'est pas Tim Burton qui veut...
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Un film qui aurait pu devenir une oeuvre de référence, un classique du genre renouvelant le conte pour adultes, mais qui déçoit par son manque de charisme et d'ambition générale. A force de vouloir plaire à tout le monde, on ne séduit personne.
En découvrant le film, on se dit d'abord que les studios Dreamworks ne se sont pas moqués de nous. L'opulence se lit à chaque plan (...) Mais sur sa liste de cadeaux de Noël, quelqu'un a oublié d'écrire "réalisateur". (...) Les plus indulgents - qui seront probablement les plus jeunes - parmi les spectateurs estimeront sans doute que le contrat est rempli (...). Les autres rêveront au film qui aurait pu surgir en d'autres mains.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Malgré d'évidentes qualités, ces Aventures... sont décevantes, tant cet apéritif au prochain Tim Burton ne fait qu'effleurer son riche potentiel, au nom d'un impératif de rentabilité écrasant la part d'âme enfantine nécessaire à ce type de projet.
Mélange savant entre Dickens pour le misérabilisme et Tim Burton pour la démesure visuelle, le film sombre pourtant rapidement dans une routine narrative, exposant qui l'ignominie du Comte Olaf, qui l'inventivité des enfants. Ce ronronnement du récit transforme alors ce faux film pour adultes en vrai déluge de bons sentiments pour têtes blondes.
Fidèle et inventif, riche en atmosphères lugubres, le film signé Brad Silberling offre une très honnête illustration de la série de Lemony Snicket, se proclamant d'emblée à l'opposée des gentilles histoires à l'eau de rose.
Ouest France
Par l'esprit, par l'esthétique, par la forme, on est tout proche du cinéma de Tim Burton. Inventif et délirant, féérique et impressionnant. (...) Une bonne surprise de cette fin d'année.
Zurban
Bourré d'idées délirantes et d'apparitions succulentes (...), le film s'avère un spectacle visuellement splendide dynamité par un Jim Carrey polymorphe au sommet de son art.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
L'adaptation très réussie des trois premiers volets de la saga imaginée par Lemony Snicket. Sombre comme du Dickens, gothique et pleine d'une espièglerie à la Roald Dahl.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Paris Match
Ce conte (...) est avant tout une merveille visuelle d'une beauté incroyable. (...) Dommage que son dénouement soit plutôt bâclé.
Positif
Robert Gordon a très habilement reconstruit en un seul scénario les trois premiers des onze épisodes , ce qui permet d'en supprimer les longueurs et d'en supprimer les longueurs et d'en accentuer l'unité.
TéléCinéObs
Rien ne manque à cette histoire à la Dickens pour gagner le coeur du public.
Télérama
On songe, évidemment, à ce qu'aurait donné ce conte noir et rose si Burton l'avait mis en scène, mais le gentil Brad Silberling (...) s'en tire plutôt bien. Aidé par un scénario inventif, une photo superbe et des acteurs (...) en grande forme.
aVoir-aLire.com
Les malheurs des orphelins Baudelaire somptueusement portés à l'écran sans rien trahir de l'univers de Lemony Snicket.
Chronic'art.com
Une entreprise fascinante si elle était au service d'un point de vue. Point de vue que Brad Siberling, réalisateur particulièrement anonyme, ne parvient jamais à imposer, malgré l'absolue réussite d'une direction artistique mise à son service. N'est pas Tim Burton qui veut...
L'Ecran Fantastique
Un film qui aurait pu devenir une oeuvre de référence, un classique du genre renouvelant le conte pour adultes, mais qui déçoit par son manque de charisme et d'ambition générale. A force de vouloir plaire à tout le monde, on ne séduit personne.
Le Monde
En découvrant le film, on se dit d'abord que les studios Dreamworks ne se sont pas moqués de nous. L'opulence se lit à chaque plan (...) Mais sur sa liste de cadeaux de Noël, quelqu'un a oublié d'écrire "réalisateur". (...) Les plus indulgents - qui seront probablement les plus jeunes - parmi les spectateurs estimeront sans doute que le contrat est rempli (...). Les autres rêveront au film qui aurait pu surgir en d'autres mains.
Les Inrockuptibles
Malgré d'évidentes qualités, ces Aventures... sont décevantes, tant cet apéritif au prochain Tim Burton ne fait qu'effleurer son riche potentiel, au nom d'un impératif de rentabilité écrasant la part d'âme enfantine nécessaire à ce type de projet.
MCinéma.com
Mélange savant entre Dickens pour le misérabilisme et Tim Burton pour la démesure visuelle, le film sombre pourtant rapidement dans une routine narrative, exposant qui l'ignominie du Comte Olaf, qui l'inventivité des enfants. Ce ronronnement du récit transforme alors ce faux film pour adultes en vrai déluge de bons sentiments pour têtes blondes.
Télé 7 Jours
Fidèle et inventif, riche en atmosphères lugubres, le film signé Brad Silberling offre une très honnête illustration de la série de Lemony Snicket, se proclamant d'emblée à l'opposée des gentilles histoires à l'eau de rose.