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_Royal_
128 abonnés
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2,5
Publiée le 21 juillet 2011
Quand le clone du Joker se met à harceler le clone de Rocky, ça donne ce remake des Nerfs à Vifs, qui dans le fond aurait pu et même mérité d'être très bien. En plus, surpasser l'original n'était vraiment pas difficile. Mais voilà, autant le clone du Joker se débrouille plutôt bien, même s'il ne s'agit pas de son rôle le plus adapté, autant le Rocky est d'une débilité tellement affligeante qu'il devient très vite difficile de suivre ce personnage carpette, insupportable de couardise. Et rien de tel pour gâcher un film qu'un rôle carpette.
EXELLENT! Les interprétations sont exellentes surtout De Niro qui est absolument terrifiant. Le scénario tient en haleine. Du pur stress qui se fait rare aujourd'hui. CHEF D'OEUVRE
Un très bon film, une très belle mise en scène et qui bénéficie d'une magnifique prestation de Robert De Niro. Ce dernier, qui joue pour la première fois le rôle d'un détraqué mental, prend de plus en plus d'ampleur au fur et à mesure du film. Au final, De Niro devient véritablement très oppressant et la fin s'en ressent. En effet, la fin du film s'inscrit dans un climat assez angoissant, la scène du bateau est très intéressante et Bobby De Niro crève l'écran. Bref, Les nerfs à vif est un film réussi et relativement aboutit, largement mit en avant par de très bon acteurs. A voir!
Génial ! Robert De Niro est a la fois seduisant et terrifiant , pour moi c'est vraiment LE film qui montre qu'il sait jouer des roles vraiment trés variés parce-qu'on l'a jamais vu jouer un psychopathe avant celui-la . Du gros Scorcese avec un suspense a peter les plombs
Un film qui porte bien son nom,moi qui croyais qu'il n'y avait plus que les films d'horreur qui pouvait me faire sursauter.J'avais beaucoup aimé l'épisode Lac Terreur des simpson alors quand j'ai sus que c'était une parodie j'ai pas hesité une seconde .Robert De niro est éffrayant et intrigant,a chacune de ces apparitions on sursaute.Point négatif des doublages qui sont a chier mais qu'elle voit ont-il mit a N.Nolte a J.Lange et a J.Lewis
Un bon thriller, bien construit, avec une tension qui monte crescendo et quelques situations inattendues qui prennent le spectateur par surprise. Ce film doit énormément à la prestation de Robert De Niro dans le rôle du méchant, à l'instar d'un Nicholson dans "Shining". On regrettera toutefois que la conclusion de cette histoire troque la pression psychologique, laquelle fonctionnait si bien tout au long du film, contre une forme de violence plus conventionnelle qui tourne un peu au "grand guignol". Il y a un ou deux points du scénario qui auraient mérité d'être éclaircis davantage, afin de mieux comprendre comment l'ex-taulard s'est débrouillé pour commettre certains de ses méfaits. Mais "Les Nerfs À Vif" de Martin Scorsese reste un film vivement recommandable, en tout cas pour tous ceux qui aiment le genre.
7e et avant-dernière (à ce jour) collaboration du duo Scorsese-DeNiro. Remake du film de 1962, je ne sais pas ce qu'il vaut par rapport à l'original mais il faut reconnaître que le résultat est là dans cette terrible histoire de vengeance où Robert DeNiro (encore une fois excellent) est tout simplement diabolique.
Scorsese s'approprie un film de commande (un remake qui plus est) pour donner libre cours à sa façon de raconter un thriller pas très original au premier abord. Une mise en scène délirante en permanence en mouvement, une sorte d'angoissant tourbillon paranoïaque dans lequel cette famille soit-disant sans histoires se retrouve entraîner. La cause du chaos est l'erreur du père de famille, dont Robert De Niro sera la victime puis l'artisan de la destruction de la famille. De Niro qui s'en donne à cœur joie dans l'excès: musclé, tatoué de la tête aux pieds, pervers, avec un accent traînant à couper au couteau (à voir en VO)... Il en fait des tonnes, mais c'est le rôle qui l'exige. Les autres acteurs sont au diapason, surtout Juliette Lewis qui est bluffante. Voilà donc l'hommage de Scorcese au cinéma de divertissement hitchcockien, certes excessif mais avant tout jubilatoire.