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CeeSnipes
282 abonnés
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2,5
Publiée le 14 avril 2012
En 1984, la saga Superman est à son apogée point de vue qualité (à mon goût évidemment), donc on lance un spin-off, Supergirl, avec la charmante Helen Slater en tête d'affiche et Faye Dunaway en méchante plutôt cabotine et finalement très peu intéressante car très effacée dans un scénario plus à la gloire des aventures estudiantines de Linda Lee aka Supergirl et Lucy Lane jouée de façon très satisfaisante par Maureen Teefy.
Alors évidemment, comme prévu, avec un budget aussi ridicule, on n’échappe absolument pas au gros ridicule sur certaines parties. Le fait d'avoir fait une méchante sorcière tout droit sortie d'Hocus Pocus ou encore pire, des Sorcieres d’Eastwick y est pour beaucoup même si le duo Faye Dunaway - Brenda Vaccaro n'a rien à envier du duo Maureen Teefy - Helen Slater.
Le film reste franchement sympathique mais terriblement ridicule et cheap sur certains points, malheureusement trop visibles. Mais bon, on ne s'ennuie pas et on s'amuse, même.
Personnage rencontré dans les DC Comics depuis 1958, Supergirl se voit gratifiée en 1984 dun long-métrage dun délicieux ridicule. Jeune femme un peu niaise sur les bords, Kara Zor-El (Helen Slater) vit à Argonville (ne cherchez pas sur une carte, ça se trouve dans le Monde du Dedans, par opposition au Grand Espace où se situe notre système solaire, vous suivez ?). Par une imprudence coupable, le respectable Zaltar (Peter OToole) laisse la demoiselle samuser avec le précieux omégahèdre, source de leur énergie. Comme elle est moins dégourdie que son éminent cousin Superman (cest une vraie blonde que voulez-vous ), patatras voilà ty pas quelle envoie lobjet vital hors dArgonville ! Reste plus quà aller le récupérer. Il a atterri sur Terre et manque de pot, cest la vilaine Selena (Faye Dunaway, on croit rêver !) qui la trouvé la première. Le jeu de Peter OToole na jamais été aussi insipide, il faut dire que son rôle nincitait guère aux efforts. Pour ses débuts au Cinéma, Helen Slater ne montre pas de réel talent si ce nest celui dafficher un large sourire. Le film oscille entre le fantastique et la comédie gentillette (notamment lors des passages dans le lycée). Les dialogues savèrent consternants tandis que les effets spéciaux exécrables se succèdent. Je vous conseille tout particulièrement larrivée de Kara sur Terre, ses acrobaties réalisées avec filins sont à se tordre de rire. Comme "Supergirl" découle de la franchise Superman, des passerelles sétablissent pour le lier aux films avec Christopher Reeve (poster de lui, mêmes prisons en deux dimensions, la sur de Lois Lane !). En acceptant de se fourvoyer dans cette catastrophe annoncée, Marc McClure (le photographe de presse Jimmy Olsen) opère la seule connexion sur le plan des acteurs. Les trucs les plus réussis sont encore les deux génériques ! Ny allons pas par quatre chemins : cest fichtrement mauvais. Un projet qui aurait mieux fait de ségarer dans la zone fantôme plutôt que dêtre tourné
La petite cousine de Superman a du plomb dans les ailes...mais la carrosserie est parfaite ! C'est tout ce dont on est capable de se souvenir après une diffusion de Supergirl, réalisé par Jeannot Szwarc pourtant le très bon réalisateur de Quelque part dans le temps. Helen Slater avait signé pour trois films...mais il n'y eut pas de suite à Supergirl boudée par le public et la critique. Il s'agit du premier film d'Helen Slater qui a pris 8 kilos de muscles pour se préparer au role. L'actrice est certes bien mignonne mais bien fade face au cabotinage assumé de Faye Dunaway qui visiblement s'amuse beaucoup. On se demande cependant ce qu'elle est venue faire dans cette galère avec Peter O'Toole et Mia Farrow ! Les scènes de vol sont cependant assez jolies et bien réalisées, la réalisation vive et sympa, la musique de Jerry Goldsmith superbe. Le film ne manque pas d'humour et de charme (un peu désuet). En revanche, la dernière demie-heure est kitsch au possible. Le spectateur ne peut s'empecher de rire face à l'histoire ridicule et aux acteurs qui s'endorment...Un film un peu ovni dans les films dits de super-héros mais on ne peut s'empecher de regarder le film jusqu'au bout.
On y voit beaucoup de stars : Faye Dunaway, Mia Farrow, Peter O'Toole qui se démènent, mais la magie de prend pas bien : scénario peu intéressant, effets spéciaux approximatifs, musique endormante, bref on peu oublier rapidement.
Supplément non-négligeable à l'univers de Superman, les aventures de Supergirl permettent de donner aux rôles secondaires du film de l'homme à la cape rouge une présence intéressante et bien charmante. Et donc même si "Supergirl" ne manque pas d'incohérences, le lien entre les deux univers est parfait (le film vaut surtout pour cet aspect là) et Helen Slater est toute mignonne dans son petit costume où elle s'émerveille de la nature et des petits lapins. C'est gentil et enfantin tout ça, mais on se laisse prendre au jeu.
Loin de son cousin et des « Superman » avec C. Reeves de la même époque, ce film kitch prend un sérieux coup de vieux de début à la fin, autant dans les dialogues que les effets spéciaux. Un scenario tiré par les cheveux et des acteurs en début de carrière n’arrangent pas la soupe. A voir pour les fans, à éviter pour tout les autres.
Opposé la magie noire contre la force kryptonienne était une bonne idée sur le papier, mais elle fonctionne moins bien sur grand écran. Le personnage mérite pourtant d'être connu.
La filmographie de Jeannot Szwarc atteste un goût pour le divertissement populaire, qu’il s’agisse d’une première carrière à Hollywood où sont exclusivement mis en scène des films à grand spectacle (Les Dents de la mer 2, Supergirl) ou de grands sentiments (son chef-d’œuvre Quelque Part dans le temps, Santa Claus) entre une attaque d’insectes (Bug) et un long métrage d’espionnage (Enigma), ou de la seconde carrière faite en France autour de trois comédies savoureuses (La Vengeance d’une blonde, Hercule et Sherlock, Les Sœurs Soleil). C’est dire que le réalisateur a su non pas imposer une vision artistique singulière mais communier avec ce qui constituait, pour les deux pays en question, une mode du divertissement cinématographique : ses films sont en adéquation avec l’air du temps, s’inscrivent dans une mouvance plus générale qui est celle de leur contexte culturel, qu’ils confortent sans jamais prétendre changer. En 1979 sortait Superman, en 1980 Superman 2, en 1983 Superman 3. En 1984 sort Supergirl, produit dérivé d’une licence à succès confié à Jeannot Szwarc. Et son pire film, pour l’occasion. Car il faut bien admettre que les péripéties d’une nunuche en cape rouge et collants bleus laissent à désirer, la faute à un scénario inepte inutilement étiré sur plus de deux heures – ce qui est affreusement long – et qui confond féminisation avec explosion de bêtise stéréotypée, à des acteurs que l’on ne dirige visiblement pas, à des effets visuels réalisés dans l’urgence, à une musique rébarbative, pourtant signée Jerry Goldsmith. Szwarc reste un bon artisan, mais doit composer avec des exigences industrielles qui le dépassent et un matériau impropre annonçant la catastrophe du quatrième opus de la saga Superman. Le film vaut donc pour une seule chose : rappeler que la course aux profits, qui prend sa source dans la volonté de renchérir sur une licence lucrative, ne conduit un blockbuster qu’à se saboter lui-même. Supergirl est un désastre.
Ce film est vraiment vraiment mauvais. Clairement les années 80 n'étaient pas les meilleurs pour les films de super-héros. Il n'y a pas grand chose à sauver dans ce film, à part peut-être Helen Slater qui joue à peu près décemment et une certaine fantaisie dans les décors. Et la musique de Jerry Goldsmith qui sort du lot dans ce champs de médiocrité. Le casting est franchement moyen (même malgré la présence de Faye Dunaway ou de Peter O'Toole). Les personnages sont très peu intéressants : surtout celui d'Ethan qui est d'une bêtise consternante. Le scénario est sans queue ni tête. Ça fait presque mal au crâne tellement c'est mauvais. Les effets spéciaux sont catastrophiques (on voit bien que les studios n'ont pas beaucoup investi). À jeter aux oubliettes.
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1,0
Publiée le 11 septembre 2021
Le plus gros problème de ce film est qu'il n'a absolument aucune valeur de divertissement pour le spectateur. Rien d'intéressant ou de spectaculaire ne se produit principalement en raison de son histoire sans imagination qui est au-delà du ridicule et n'est même pas complètement claire par moments. Beaucoup de choses sont prises pour acquises et ne sont pas expliquées ou approfondies. Le résultat de tout cela est que la moitié du temps il n'a pas de sens et l'autre moitié du temps il est tout simplement ridicule. Par exemple lorsque Supergirl arrive sur Terre elle découvre d'abord ses incroyables super pouvoirs et que décide-t-elle de faire ensuite elle décide qu'elle veut aller dans une école terrestre. L'histoire est complètement remplie d'éléments d'intrigue ridicules et totalement étranges qui sont extrêmement boiteux et sont encore plus mauvais portés à l'écran par le réalisateur Jeannot Szwarc qui a également réalisé Les Dents de la mer 2. Les principaux méchants du film joués par Faye Dunaway et Brenda Vaccaro sont censés être aussi le relief comique du film tout comme Lex Luthor et Otis l'étaient dans Superman. Mais leurs personnages ne sont absolument pas drôles. Leurs dialogues sont parfois douloureusement mauvais et leurs actions et motivations sont tout simplement trop ridicules pour nous faire rire. Même d'autres excellents acteurs comme Mia Farrow, Peter O'Toole et Peter Cook ne parviennent pas à apporter un peu de vie ou de crédibilité à ce film. La seule chose positive que je puisse dire le concernant est la partition musicale de Jerry Goldsmith qui est excellente...
« Supergirl » a été une déception pour moi, malgré un certain attachement nostalgique aux années 80. Les effets spéciaux, très datés aujourd'hui, et un jeu d'acteur peu convaincant rendent le film difficile à apprécier pour un public moderne. Le film est franchement ennuyeux et manque cruellement de dynamisme. Même si Helen Slater offre une performance sincère, elle est entravée par un script faible et une direction qui peine à insuffler de l'énergie ou une cohérence à l'ensemble. « Supergirl » est un film qui n'a pas su trouver son public ni à l'époque, ni aujourd'hui, plombé par un mélange confus de tonalités et un manque flagrant de sophistication dans sa réalisation. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Contrairement à la saga "Superman", j'en attendais particulièrement beaucoup de cette jeune femme puisque qu'étant fan de la série du même nom. Je me suis enfin rendu compte de pourquoi j'avais détesté la mise en scène bâclée, les dialogues sans grand intérêt ainsi que des scènes de combats et de vol mal faites. Parce qu'il s'agissait d'un homme dans une mise en scène féminine. Pour le casting, le choix fut juste parfait pour le rôle titre, une jeune femme magnifique au visage naturel superbe et au physique très bon tout en étant dans un costume qui à certes bien vieillit mais qui n'est pas vulgaire. Un film m'étant également en vedette la première femme super-héroïne avant que n'apparaissent bien plus tard Catwoman, Elektra, La femme invisible ou les belles Wonder Woman et Captain Marvel. Du féminisme dans ces années 80 et une parfaite mise en avant du machisme ayant bien vécu avant et existant toujours de nos jours.
Des effets numérique bons, des dialogues très bien faits, des acteurs et actrices très bons, des situations des bien faite, des scènes d'action percutantes. Rien à vois avec les nanars masculins. spoiler: Seuls les scènes avec les 2 femmes dans leur repère de pierres n'étaient pas franchement nécessaire. Une mise en scène de vol donc très bien imaginé pour ce personnage puisque comparer à son égal masculin, cela correspond largement plus à celle-ci, la côté quasi poétique du moment la rend très bien. Des plus, elle à un charme naturel qui joue énormément dans son jeu. Pour finir, cette unique version long-métrage de Supergirl ayant été très largement huée n'est en aucun cas un navet loin de là. Un contenu très bon, un très bon jeu pour superbe adaptation. Une très belle réussite féministe.
Ce n'est pas un chef d'oeuvre c'est certain, Supergirl est assez laborieux. Un scénario pas assez travaillez ce qui est bien dommage. Le soucis est que les Américains semblent encore avoir du mal avec les super héroïnes et regarder encore ce qu'ils proposent ces temps-ci au cinéma. Des effets spéciaux qui laisse à désirer mais avec la superbe musique de Jerry Goldsmith avec un soupçon de romantisme qui adhère très bien a certain passage du film.
Mais j'ai quand même néanmoins un grand coup de cœur pour ce film qui fait assez série b mais qui me rappel juste de très bons souvenirs et en particulier pour la grâce et la naturel de l'actrice Helen Slater qui est a tomber à la renverse. Elle est le rayonnement de ce film et ne me laisse pas de marbre. C'est le genre de Femme ne laissant que peu de gens de la gente masculine indifférent, qui donnerait envie de se mettre a la poésie et a faire preuve d'imagination et de romantisme pour l'atteindre. Toujours est-il qu'aujourd'hui Helen Slater continue sa carrière pas aussi exaltant que ses début laissez voir mais qui est toujours aussi belle.