Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,0
Publiée le 7 septembre 2014
Quelle déception. La seule fausse note de la filmographie de Aronofsky. Trop d'effets et tout est indigeste. Le film ne décolle pas vraiment tant la réalisation est lourde.
J'ai vraiment adhéré à "The fountain", un film aussi merveilleux visuellement que dans les idées véhiculées. Les acteurs sont excellents et très touchants. Le film est riche en symboliques et profondément philosophique. Une véritable ode à la vie face à la mort. De la pure poésie magnifiée par cette musique douce, triste et fantastique. Un véritable choc qui, je le pense, nécessite plusieurs visionnages pour tout "voir". Un chef-d'oeuvre en somme.
Un film fantastique très spécial mais très confus. Je dois dire que le scénario a vraiment quelque chose de particulier par rapport à la majorité des films mais c'est peu dur à suivre et surtout assez incompréhensible malgré qu'on comprends bien l'histoire de base d'un homme qui veut pas que la mort est quelque chose de naturel. Hugh Jackman est pas mal du tout dans son rôle, accompagnée par une jolie actrice comme Rachel Weisz, le reste du casting est convenable. Dès le début entre deux époques, on comprends rien du tout et cela nous donne pas envie de voir le film jusqu'au bout. L'histoire est lent à placer. Cependant, le film nous offre complémentent des images bluffants et c'est quand même une jolie odyssée rarement vu dans le cinéma. Les décors sont magnifiques et les costumes pas mal. Un film qui vaut la peine de voir une fois malgré que c'est un des scénarios dont je ne sais pas s'il est mal écrit ou c'est fais exprès pour nous attirer sur quelque chose que très peu de gens verraient.
Le chef d'oeuvre d'Aronofsky. Des images magnifique et une bo saisissante , on retrouve le thème de l'obsession présent dans tout les Aronofsky et ça fonctionne à merveille. Le spectateur passe par tout les sentiments. Hugh Jackman y est fantastique. Plus qu'un film, un miracle.
Après "Pi" et "Requiem for a dream", c'est au tour de"The fountain", le 3ème bébé d'Aronofsky. Je tiens à vous le dire. C'est mon préféré. Je ne peux m'empecher de frissoner et d'être totalement admiratif face à ces images et à cette intelligence. J'aimerais que les gens s'en rendent compte, ce film est une putain de poésie ! Il est extraordinaire. Si vous ne l'avez pas aimé, redonnez lui sa chance, si vous ne l'aimez toujours pas, redonnez lui sa chance, encore et encore, jusqu"a voir la beauté et la puissance de ce film. Plus qu'un long-métrage, une oeuvre d'art.
Entre mysticisme fumeux et prétentieux, ou fable ambitieuse sur la mortalité et la religion, "The Fountain" a beaucoup divisé son public. On y suit un chercheur déterminer à sauver sa femme mourante, avec en parallèle un conquistador chargé de découvrir l'Arbre de la Vie, et un explorateur du futur se dirigeant vers une supernova. Une intrigue relativement simple, mais complexifiée par un symbolisme très présent, et par des narrations entremêlées et non chronologiques. C'est cette complexification pas toujours justifiée, voire un peu lourde, qui a sans doute rebuté pas mal de spectateurs. Cependant, derrière cela, "The Fountain" aborde le thème de l'inéluctabilité de la mort de manière intéressante. Par ailleurs, la BO est superbe, et les images sont très travaillées, bien que parfois un peu kitsch. Quant à Hugh Jackman et Rachel Weisz, ils forment un beau couple à l'écran. Au final, "The Fountain" est à voir par chacun pour se faire un avis, mais risque de continuer à intriguer son public.
THE TREE OF LIFE. Et si Darren Aronofsky se foutain un peu beaucoup de nous. Un labyrinthe ou se mélange esthétisme et confusion de genre. Son poème viscéral s'égare dans le temps.
Au vu des commentaires, il ne me semble pas que The Fountain soit construit d'un scénario simple. Il mérite, à mon sens, d'être vu et revu pour réellement cerner l'ensemble des messages. Mais je vais simplement partager mon ressenti après une 2e lecture.
Il s'agit effectivement de l’acceptation, pour le couple, de la mort et de la séparation. Les différentes époques pourraient faire penser à une peur, une question intemporelle. Mais au final, ces époques proviennent de l'écriture, du livre de Izzi. Ne serait elle pas en train de raconter, de manière plus romancé la quête de son mari? ça recherche (medecine) de l'arbre de vie (religion/croyance)? Elle mets des mots (prends du recul) sur ça vie.
Mais en même temps, par son livre, on découvre l'histoire de son mari ( son dévouement à ça femme).
L'homme (moine?) me semble abstrait. - la connaissance : recherche incessante du mari sur la question de la mort jusqu'à l'éveil par l'acceptation. - la symbolisation de l'enfermement de son esprit par la bulle. Omnibulé par la question du comment réussir à guérir ça femme?
L'écriture semble, d'après ce que j'ai compris, un des moyens des garder l'âme éternelle, ainsi que les souvenirs. Comme les empreintes que porte un arbre sur son tronc et les "tatouages" de l'homme sur son bras (symbolisation des moments vécus qui restent gravés).
Il faut approfondir encore et encore, car il me semble qu'il y'a beaucoup de choses à en dire....
13 706 abonnés
12 423 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 25 avril 2014
Le film le plus controversè de Darren Aronofsky qui sort dècidèment de l'ordinaire par la singularitè de sa grammaire cinèmatographique! Voilà une oeuvre quasi hallucinogène, indèfinissable et incomprèhensible qui ne ressemble à aucune autre où il est difficile de statuer sur ce mètrage qui comporte un amalgame de choses! Les uns crient au scandale, les autres au gènie! Mais au fait de quoi ça parle "The Fountain" ? Et bien c'est l'histoire d'un amour fou qui se rèincarne à travers les âges! Hugh Jackman confirme son talent de comèdien en n’hèsitant pas à pleurer toutes les larmes de son corps avec un rèalisateur enivrant qui le pousse dans ses derniers retranchements! La mise en scène, èpique, autant que flamboyante, se hisse à la dèmesure de son sujet! Assurèment du jamais vu en 2006! Alors chef d'oeuvre ou accident industriel ? Faites-vous votre avis car chacun a sa propre vèritè, sa propre vision de la vie! Pourquoi vouloir tout comprendre après tout ? Ok, l'histoire est audacieuse mais l'ensemble est tout même très confus et dècousu avec des personnages qui tournent en rond! Ce qui est dommage car les images sont très belles malgrè un cotè ultra kitsch! A voir donc pour le plaisir des yeux et aussi pour l’èmouvante Rachel Weisz qui rend ce voyage stupèfiant à travers l'espace et le temps lumineux...
Difficile de comprendre comment ce film de Darren Aronfsky a pu passer complètement dans l'ombre. Une mise en scène magnifique, des images de qualité et une bande son envoutante. Certes la complexité du film peut en rebuter plus d'un, mais l'émotion que le film entraine dépasse cela. Il manque certains liens entre les différents étages du film, voila la seule critique qu'on peut lui faire.
A l'occasion de la sortie en France du déjà controversé Noé, je me suis enfin décidé à boucler la filmographie du réalisateur Darren Aronofsky en regardant The Fountain. Un film qui ne me tentait pas des masses et pour cause, c'était le film du metteur en scène aux critiques les plus partagées. On y distinguait deux camps : ceux qui adoraient et ceux qui détestaient. Pas vraiment de "moui c'était pas mal" comme choix, soit on crachait sur le film en s'exclamant inutilement "JE VIENS DE PERDRE 1h36 (s'agit d'être précis) DE MA VIE" (plus dix secondes à taper ce message) ou soit on tombait sous le charme de cette fable sur plusieurs niveaux. Et au vu du synopsis et de la bande annonce, je me rangeais plutôt du côté du premier camp. Alors quelle fut ma surprise lorsque le générique pointa le bout de son nez et que mon œil faillit verser sa larme. Tandis que la magnifique (mais vraiment, rarement entendu ça) composition de Clint Mansell clôturait le long-métrage et résonnait à mes oreilles, je n'avais qu'une pensée : chef d’œuvre. « Wow » fut le premier mot (onomatopée plutôt) qui sortit de ma bouche qui refusait quant à elle de se fermer. J'étais resté bouche bée devant tant de splendeurs à tel point que j'en conclus que ce film était le plus bel exemple sur les faux-semblants. Si repoussant au début et pourtant si attachant à la fin, il ne faut jamais juger une œuvre cinématographique avant de l'avoir vue et The Fountain en est la parfaite preuve. C'est à se demander comment ce film n'a pas pu être classer comme culte. Pourquoi 2001 : L'Odyssée de l'Espace (que j'adore également) aurait le droit à sa place au panthéon du cinéma et pas The Fountain ? Certes les deux long-métrages sont extrêmement différent mais le point négatif le plus récurrent chez les détracteurs du film d'Aronofsky est sa complexité, soit disant le film serait inutilement compliqué et se rapprocherait plus de la prétention que de l'envie à faire passer un message. Mais qu'en est-il de 2001 ? On peut reprocher la même chose au film de Kubrick et il reste bien imparfait surtout lorsqu'on le voit de nos jours (ce ne sont pas les effets spéciaux qui sont ici remis en question).
Le film d'Aronosky est sûrement plus maladroit que celui de Kubrick (largement compréhensible lorsque le spectateur est doté d'un peu de jugeote) mais quand quelque chose que l'on ne comprend pas est capable de nous nouer la gorge et de nous émouvoir au plus haut point, c'est que le puissance émotionnel du long-métrage atteint des niveaux rarement vu au cinéma. Cela est dû en grande partie au duo d'acteurs, même si Rachel Weisz se fait plus discrète que Hugh Jackman, vraiment investis dans le projet et montrant leurs capacités à se dépasser dans tout types de rôles, surtout concernant Jackman. L'acteur australien incarne à tour de rôles trois personnages différents dans des cadres spatio-temporels différents qui recherchent tous à sauver quelque chose, le conquistador veut sauver son Espagne, le médecin, sa femme et le bouddhiste (un genre de bouddhiste) désire sauver son arbre de vie qui se meurt petit à petit. Trois espaces temps qui font de ce The Fountain un film à totaux par les nombreuses thématiques qui y sont abordés mais concernant toujours la mort (et la vie selon les points de vues). Ces trois histoires maladroitement reliées vont au final se rejoindre comme si plusieurs sources d'eau différentes coulaient finalement dans la même fontaine.
La mise en scène est tout aussi brillante que peut l'être son scénario avec des plans de toutes beautés surtout lors des scènes irréelles où Aronosky se permet toutes formes de folies visuelles et de plans se rapprochant de la mélancolie de Sunshine.
Après tout, c'est peut-être le destin de ce The Foutain que de gagner le cœur de la communauté cinéphile au fil des années avant d'être ériger au rang de film culte, à la manière de Sunshine.
C'est tout le mal que je lui souhaite car une telle perle ne mériterait pas de tomber dans l'oubli aussi vite.
Voila voila... Je ne s'aurais trop quoi dire sur ce film... a vrai dire apres le visionnage je me suis retrouver sans voix, assis devant l'écran noir, les yeux fixe dans le vide. Je n'osais pas bougez, ce film est magnifique, les images sont merveilleuse mais le fon lui est d'une terrible violence. Il s'agit la de ce genre de film qui vous marque une semaine durant et puis toute votre vie vous serais forcer d'y revenir. Il n'est pas d'usage que fasse une critique constructive et technique d'un film comme cela tellement il met déjà dur d'avoir une réel avis sur le sujet. Il s'agit "simplement" d'un long métrage comme on en vois rarement, des oeuvres aussi universelles qu'introspectives. Ce qui est sur que jamais je ne pourrais réellement m'en détaché et que toute ma vie j'aurais toujours une retissance a mettre le DVD dans le lecteur comme si ce film pouvait voir en moi. Touchant, magnifique, BO de Clint Mansel et le Kronos Quartet d'une intensitée folle, mise en scène et réalisation hyper soignée. Du grand cinema qui prend aux tripes et qui touche des parties insoupçonnés de nos âmes. En vous remerciant, bon film !