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MadRom
61 abonnés
403 critiques
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2,0
Publiée le 26 juin 2011
Au delà de l'aspect visuel,le film se perds dans son histoire , très peu d'explications (le roman de sa femme the foutain est ce juste une fiction dont les images proviennent de l'imagination de Croe?Une réalité passé?Comme est ce possible que l'astronaute soit en 2500 alors que l'arbre se meurt au même moment que la femme de Croe qui elle meurt en 2006 on ne peut que supposer un univers parallèle)permettent de suivre l'histoire.Quant à la fin c'est un gros délire et un peu n'importe quoi.Bref si certains on adoré la poésie qui se dégage du film moi j'ai l'impression que le réalisateur a eu le culot de penser "j'ai pas d'idée pour expliquer ceci ou cela alors je vais sortir l'excuse "je laisse aux public le soin d'interpréter par eux même"".
pas évident de mettre une note, ce film est vraiment à part, poétique mais très lent. en tous cas, j'adore Hugh Jackman, il peut jouer les gros durs mais ici il est totalement l'inverse.
Une histoire d'amour qui défia le temps. Le film de Darren Aronofsky souléve bon nombre de questions et nous avons tous notre propre interprétation du film. Je ne pense pas que The Fountain est qu'une seule interprétation, c'est à nous, spectateur d'interpréter à notre façon. Hugh Jackman est super dans le film, tout comme la magnifique Rechel Weisz. Un film poétique et magnifique sur le plan visuel.
Du grand Aronofsky; trois destins, tout trois reliés par la confrontation à la mort, l'acceptation, l'inéluctable. Un film touchant, très poétique, et très beau visuellement.
J'ignore ce qui est passé par la tête d'Aronofsky lorsqu'il s'est lancé dans cette fable à dormir debout, mais ça ne m'étonnerai pas que le prétentieux réalisateur ait voulu péter plus haut que son cul en jouant les apprentis Kubrick dans la conception d'un 2001 moderne, sans idée, débordant de répétitions et surtout épris d'une tonalité mélodramatique à outrance obligeant Hugh Jackman à pleurer toutes les larmes de son corps et froncer les sourcils jusqu'à la crampe pour nous montrer que non content d'être triste, il est fâché. Pourtant, sa femme se démène comme une folle pour lui faire comprendre que sa propre mort ne lui fait plus peur, qu'elle la conçoit comme une libération... Mais non, il faudra des années et des années au Dr. Creo pour qu'il parvienne à saisir ce raisonnement. Alors, là où les partisans du film y voient le drame d'un homme en proie à un amour obsessionnel, d'une grâce absolue dans sa quête désespérée de retrouvé sa femme, j'y vois plutôt l'histoire mielleuse d'un imbécile borné et imbus de lui-même, éreintant à force de geindre et strictement incapable de comprendre le raisonnement banal d'une Rachel Weisz qui, malgré toutes ses tentatives de sourires charmeurs, n'en demeure pas moins une fois de plus insupportable.
Au coeur de ce psycho-drame irritant, Aronofsky se lance dans une "réflexion" aberrante sur la création, qu'il ne semble lui-même pas comprendre. Ca parle de doctrines bouddhistes, d'arbre de vie, de mythes mayas, sans ne jamais rien développer, ça pleure encore et encore, ça part dans un trip visuel archi-dégueulasse censé soutenir une réflexion qu'on ne comprend toujours pas, ça repleure à nouveau, ça balance des musiques hyper pompeuses pour bien nous faire comprendre à quel point on assiste à une poésie d'une tristesse rare, et ça pleure, et ça pleure...
J'ai beaucoup de peine à concevoir que le créateur de cette merde soit le même que celui de The Wrestler.
Très difficile de savoir où nous mènent ces trois histoires parallèles, une réelle, une fictive et une dernière encore plus difficile a appréhender: l'inconscience. Vers l'acceptation de la mort? de la mort d'un être aimé? En tous les cas, Darren Aronofsky nous livre là un des plus beau poème cinématographique qu'il m'est été donné de voir (avec Big Fish et d'autres du même niveau, bien que sur une dimension totalement différente). Les trois histoires rivalisent de beauté esthétique, l'image est somptueuse, incroyable de lumière et d'effets colorés, servie d'une BO qui prend l'âme, parcourt le corps et nous extasie, nous hérisse la pilosité dans un final où les trois dimensions du film se rejoignent dans une explosion lumineuse et esthétiquement impressionnante. C'est très philosophique, et on ne comprend pas forcément au premier abord où le film veut en venir, il faut vraiment y réfléchir. J'y ai repensé pendant plusieurs semaines, avant de comprendre (mais chacun se fera sa propre interprétation, pour sûr). C'est donc un film à l'esthétique incroyable, à voir pour ceux qui ne craignent pas de réfléchir pendant plusieurs jours, ou pour ceux qui veulent prendre une claque de réalisation aux couleurs chaudes qui en mettent pleins le yeux et le coeur, sans une once d'action! Epatant!
Darren Aronofsky nous livre ici une fresque épique et onirique dont l'esthétique merveilleuse sert magnifiquement une intrigue particulièrement émouvante et portée par le jeu grandiose des deux comédiens.
Je ne suis pas ressortis inchangé de ce film. L'effet que nous fait "The fountain" dépend surement du rapport qu'on a avec la maladie, l'amour ou même la mort mais c'est sans aucun doute l'un des films qui m'a le plus ému. Et la façon dont est mis en scène la trame du film est simplement sublime. Les images et la musique renforce les émotions qu'arrive à nous faire partager l'exellent Hugh Jackman qui siigne ici un de ses meilleurs rôle.
Un film qui traite de l'acceptation de la mort et du deuil, comment avoir la force de dire au revoir à sa moitié. Terrible question à laquelle tente de nous répondre ce film, je trouve contrairement à beaucoup que Jackman est toujours aussi excellent dans ses films, ici cela ne fait pas exception. Le passé nous dévoile le livre d'Izzie tandis que le futur est l'acceptation intérieure de Thomas durant son présent, assez complexe au premier abord, les cartes se dévoilent progressivement durant le film si on a toutefois accroché. Une poignante interprétation qui donne des frissons sur une étape qui a touché, touche ou touchera chacun d'entre nous, un véritable beau moment de cinéma.
Mais quesque c'est mauvais, lent, lent et encore lent, l'histoire n'a que peu d'interet, et c'est chiant, passez votre chemin, car ce film n'a pas d'interet.
Un film teinté d'onirisme et d'une beauté graphique époustouflante. Le propos lui est plus dilué et les acteurs s'en sortent pas mal. Une curiosité à voir.