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    Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir
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    AMCHI
    AMCHI

    5 844 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 avril 2013
    Voici le second nanar français dans lequel ait participé Jerry Lewis. Pire que Retenez-moi...où je fais un malheur (l'autre nanar français de Jerry Lewis) dans la nullité et dans le ridicule. Qu'est donc venu faire Jerry Lewis pourtant excellent comédien qui nous a offert de nombreuses amusantes comédies dans cette bouse cinématographique ? A voir par curiosité mais à bien réfléchir c'est plutôt triste de voir Jerry Lewis essayant pitoyablement de nous faire rire.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    111 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 février 2014
    Un nanar cosmique dans lequel joue un Jerry Lewis doublé avec l’accent pied-noir, aussi drôle et fin que Michel Leeb bourré au Sidi-Brahim. Regarder un film de Philippe Clair, c'est comme plonger dans une autre dimension. Pourquoi s'infliger cela alors qu'il y a tant de merveilles à découvrir ? me demandera t-on. Oui c'est vrai, pourquoi? Serait-ce du masochisme ? Eh bien on va dire que 1) Il y a aussi des "chefs d'oeuvre" très surfaits et même carrément pénibles. 2) Il faut un sens de l'humour particulier pour apprécier le nanar cosmique. 3) On se rassure en se disant que si de tels films ont pu être produits et qu'ils ont fait des entrées, tout est possible. 4) C'est le même genre de curiosité qui te pousse à aller visiter un village paumé, à te rendre à une soirée fétichiste ou une taverne bavaroise, à prendre un ecstasy ou une omelette aux champignons magiques, à boire un cocktail douteux qui sent l'alcool frelaté en compagnie d'une amicale de camionneurs et d'un fossoyeur, à lire "20 ans" ou "SAS", à voir en live les Forbans, à diner chez des cathos gays versaillais, à aller à un vernissage sponsorisé par William Saurin... 5) Quand j'étais gamin j'étais fan de Jerry Lewis, et j'aime bien l'accent pied-noir. Alors Jerry Lewis avec un accent pied-noir, ça ne se refuse pas.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 décembre 2015
    Comédie balourde avec un Jerry Lewis gesticulant dans le vide. A noter que ce rôle a été repris par Michel Leeb au théatre. UN MUST!
    Incertitudes
    Incertitudes

    206 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 janvier 2014
    1984. Philippe Clair est à son apogée. Ses deux derniers films, Tais-toi quand tu parles et Plus beau que moi tu meurs, ont été des triomphes. Alors, sans trop savoir comment, il arrive à convaincre Jerry Lewis de tourner dans son nouveau film. Un Jerry Lewis has been aux États-Unis qui cherchait à relancer sa carrière en Europe. Sauf que le film ne sera qu'un demi succès. Environ 800 000 spectateurs en salles. Ce qui n'a rien de scandaleux mais qui reste largement en dessous des derniers succès de Philippe Clair. Récemment, il a avancé comme explication que lors des séances tests, parmi les spectateurs les plus jeunes, peu d'entre eux connaissaient Jerry Lewis et il aurait donc sous-estimé ce côté has been dans lequel était plongé le collègue de Dean Martin. De son côté, Lewis s'arrangera pour interdire l'exploitation du film aux USA. Déjà, analysons le film. Clovis Blaireau (Jerry Lewis) est un détective, fils d'un GI américain qu'il n'a jamais connu, et qui vit encore chez sa mère alors que le bougre a l'air d'avoir la quarantaine bien sonnée. Il est réveillé tous les matins (alors qu'il dort en compagnie de son chien pétomane) par des femmes obèses fréquentant la salle de sport tenue par sa mère (Jackie Sardou). Leurs exercices faisant effondrer le plafond, je me dis que si chaque matin c'est la même comédie, la note des travaux de l'appartement de Jerry doit être salée. Mais passons. Une fois au bureau, il reçoit la visite de Nadège de Courtaboeuf (Marthe Villalonga) qui lui demande de surveiller son mari, l'industriel Prosper de Courtaboeuf (Philippe Clair dont Prosper est le prénom véritable qu'il a vite fait changer car cela faisait trop Prosper youp la boum). Réclamant le divorce, elle souhaite que le détective le surprenne en train de la tromper alors qu'elle-même possède un amant qui veut la voler (Philippe Caroit). Pour achever de le convaincre, elle ira même jusqu'à pratiquement lui montrer ses nichons. Oui, oui. Les nichons de Marthe Villalonga. Évidemment, rien ne va se passer comme prévu car Clovis Blaireau et Prosper de Courtaboeuf vont se lier d'amitié. Jusqu'ici, j'ai envie de dire que tout va bien. On est en plein vaudeville. Ce n'est pas très recherché. Même si ça reste vulgaire et grossier comme tous les films de Philippe Clair dans les années 80, il y a quelques gags sympas comme le coup de l'alarme paralysante. Philippe Clair, en juif pied-noir excité, en fait des caisses comme à son habitude. Jerry Lewis aussi d'ailleurs mais bon, ça reste cohérent. Sauf qu'à l'instar de Tais-toi quand tu parles et de Plus beau que moi tu meurs (répliques qui apparaissent dans le film, le natif de Bab El-Oued aime s'autociter), Philippe Clair est obligé par son producteur de mettre en valeur la Tunisie, son pays d'origine. Pourquoi pas mais le souci, c'est que ça n'est jamais réellement justifié dans le "scénario". Je mets des guillemets car la notion de scénario chez Philippe Clair est toute relative. Prosper et son ami Clovis (qui n'en finit pas de changer d'accent, prenant tantôt l'accent pied-noir tantôt l'accent américain, c'est assez bizarre) se retrouvent donc en Tunisie, mêlés à une guerre des gangs opposant le gang des Spaghettis, le gang du Couscous et le gang du Hamburger qui espère rafler la mise en laissant s'entretuer les deux premiers. En pondant un tel script, et en trouvant un tel titre, je ne sais pas ce que Philippe Clair avait fumé mais ça devait être de la bonne. Et en fait, c'est là que le film va commencer à partir en sucette entre quiproquos foireux, filles à poil au bord de la piscine et courses-poursuites dans le plus pur style Benny Hill. Le tout plus ou moins en même temps. Le temps devient long. Très long. Et le spectateur qui ne rit plus, mais a-t-il rit ?, commence à être épuisé nerveusement par ce qu'il voit à l'écran et l'immaturité des deux personnages principaux qui semblent être retournés en enfance à force de cabotiner. Et c'est peut-être là qu'on peut y voir un début d'explication. Le public commence à être lassé de cet humour franchouillard. Leurs goûts évoluent. Le cinéma est en train d'évoluer avec l'avènement du café-théâtre. Les collègues de Philippe Clair (Max Pécas, Richard Balducci) plutôt que de s'entêter arrêteront de tourner. C'est tout le problème de Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir. Il est sorti avec dix ans de retard. Donc ce film, dans un sens, est assez fascinant parce qu'il montre un Philippe Clair au zénith de sa carrière, faisant une copie conforme de Tais-toi quand tu parles mais sous un autre nom. Mais ce film, au lieu de remplir les salles, sans non plus être un bide absolu tel que les connaîtront Si t'as besoin de rien, fais moi signe et Si tu vas à Rio, tu meurs, sera un sérieux coup d'arrêt pour son auteur qui n'arrivera jamais à relancer la machine. Ce n'est pas faute de l'avoir fait, ou d'avoir tenté de le faire, dans les années qui vont suivre, mais le cinéma français et plus particulièrement la comédie française est en train d'évoluer et cette évolution se fera sans lui. C'est ce qui est regrettable car malgré tout ce que l'on peut reprocher à Philippe Clair, et à juste titre, il reste un créateur (contrairement à un Christian Gion qui le copiera sans vergogne avec son Bourreau des cœurs) attachant, jovial, avec qui l'on devait bien se marrer sur les tournages. Il n'y a qu'à voir le bêtisier à la fin de Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir où je me dis que ça devait être un joyeux bordel. D'ailleurs le procédé du bêtisier à la fin du film sera repris par Jean-Marie Poiré dans Les Anges gardiens. Comme je l'ai dit, Par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir reste une curiosité. Le reflet d'une époque en train de changer. Un objet filmique non identifié mais fascinant tant en 1984 il est déjà démodé.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 796 abonnés 12 437 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 juillet 2019
    « Rien n'est grave sauf la mort ! » Jerry Lewis, l'un des papes du burlesque moderne, dans un film de Philippe Clair! Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? En tout cas Clair saisit ce qu'il pense être sa dernière chance pour se refaire la cerise auprès d'un public qui èvolue à la vitesse grand V! Conscient du potentiel de Lewis, Clair lui fait jouer en 1984 un dètective pas très adroit! Malheureusement la roue a dèfinitivement tournè pour Clair, entrainant le grimaçant Lewis dans une piètre comèdie entre Paris et la Tunisie! Le casting est à chialer et n'arrange rien à l'affaire où Marthe Villalonga, Jackie Sardou (mère de Lewis dans le film) et Philippe Castelli ne sont là que pour payer leurs impôts! Non seulement aucun gag ne fonctionne mais en plus l'histoire est à la ramasse en partant dans toutes les directions (le front de rèsistance du couscous dèpasse tout). On sauvera une cascade avec une Fiat 500, le final dans un dèluge de bombes...ainsi que les seins de Sophie Favier! Le gènèrique de fin est finalement le seul moment où l'on sourit! Le pauvre Jerry rempilera la même annèe avec Michel Gèrard dans un autre titre à rallonge, "Retenez-moi... ou je fais un malheur !"...
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 décembre 2019
    Pour moi qui n'ai jamais aimé Jerry Lewis, il ne m'a jamais fait rire, ce film est un supplice. Loin d'etre un bon nanar, c'est à mon avis personel un navet intersidéral. Il a la note qu'il mérite, nul (certains aimerons ce film sans doute, pourquoi pas ?).
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 septembre 2007
    Passé l'effet de surprise, à savoir une distribution de feu (Philippe Castelli, Jackie Sardou, Philippe Clair, Marthe Villalonga) et des blagues improbables (le coup de l'alarme paralysante), on se rend compte que le scénariste s'est barré avant la fin du film et qu'il a fallu terminer un peu à la va-comme-je-te-pousse. Jerry Lewis s'est donc perdu ici et doit bien faire ce qu'il peut pour sauver ce film parfaitement surprenant puisque mal foutu.

    Si on aime les filles à poil pour un oui ou pour un non, les blagues gros rouge et les accents pied-noir très prononcés, on peut être fan. Je ne vais pas me la jouer intello coincé, quand j'étais petit, je trouvais ce film formidable et même si ça a un peu changé, c'est vrai que c'est rigolo, que ça a très mal vieilli (même la musique d'Alan Silvestri qui a également fait la BO de Retour vers le futur, Forrest Gump ou Bodyguard) et que les acteurs n'ont pas véritablement l'air concerné par ce qui peut se passe.

    N'empêche, on s'amuse bien jusqu'au milieu du film et puis après... on attend que ça se finisse car il ne se passe plus rien. Précisons juste un truc rigolo, Connie Nielsen (Gladiator) se fait draguer par Jerry Lewis... Eh oui, elle aussi a du commencer par les rôles alimentaires... et ici, tout le monde vient à la soupe... A voir par curiosité.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 octobre 2019
    Un bon nanar de l époque, la musique du film par contre est sympathique . Les années 80/84 nous on permis d etre servit en comédie ringarde ridicule
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 août 2011
    j'adore ce film malgré qu'il soit vieux mais il ai tellement marrant !!!!!
    Les meilleurs films de tous les temps
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