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🎬 RENGER 📼
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0,5
Publiée le 23 décembre 2020
Deux ans après Short Circuit (1986) de John Badham, on retrouve le robot expérimental dans une suite tout aussi mauvaise qu’inutile.
Dans le premier opus, Numéro 5 (qui se fait dorénavant appeler Johnny 5) devait fuir ses assaillants (éviter les scientifiques pour échapper à sa condition de robot et fuir les militaires pour éviter d’être réduit en pièces). Il est donc assez surprenant d’y retrouver Johnny 5 tout content de débarquer à New-York (mais tourné au Canada) quelques années plus tard et d’y retrouver tout sourire l’un des scientifiques qu’il tentait justement de fuir. Par contre, à aucun moment, le film ne fait mention de Stephanie & Newton, avec qui Johnny 5 prenait la fuite et retrouvait ainsi la liberté à la fin du 1er opus.
Un scénario franchement débile et inepte (une sombre histoire de fabrication de jouets pour mômes à l’effigie de Numéro 5 et des vilains bandits qui veulent braquer une banque). On est toujours dans le registre de la comédie familiale avec ses vilains idiots mais pas trop méchants et des gentils naïfs.
A la réalisation, on retrouve Kenneth Johnson, à qui l’on doit bon nombre de téléfilms, d’épisodes de séries TV et surtout, l’immonde nanar Justicier d'acier (1997) avec Shaquille O'Neal. A la distribution, quelques têtes connues telles que Michael McKean & Jack Weston. Sans oublier Fisher Stevens et son invraisemblable (et insupportable) accent pakistanais.
On se retrouve au final devant une piètre suite, qui aurait largement méritée une sortie DTV si elle ne surfait pas sur l’engouement du premier film. Un seul acteur (hormis le robot) est de retour dans cette suite, était-ce un choix des scénaristes ou des producteurs ? Toujours est-il que le film devrait plaire au moins de 10ans (mention spéciale à la grotesque attaque d’avions téléguidées). A défaut d’être drôle, c’est surtout très naze et pathétique dans son ensemble.
Autant le premier opus était un film sympathique, autant cette suite est une comédie familiale sans imagination. Un film à ajouter à la longue liste de suites inutiles et sans intérêt…
Un cran au dessus de son prédécesseur, grace a l'émotion qu'il degage mais aussi la musique qui fait partie des plus prenantes dans un film. Fisher Stevens est amplement suffisant dans ce film et démontre ici qu'il est capable de tenir le role principale d'un film.,et Steve Guttenberg aurait ete de trop. Dans short circuit 2 on voit une autre face de johnny 5, celle du robot qui veut etre humain a part entiere
Suite des mésaventures du robot possédant une conscience, sorti deux années après son ainé Short Circuit, Appellez-Moi Johnny 5 est un très sympathique long-métrage mêlant comédie et science-fiction, réalisé cette fois-ci par Kenneth Johnson. L'histoire se déroule à New York et nous fait suivre le robot expérimental qui va retrouver et aider son ancien cocréateur condamné à la vente de trottoir de jouets à l'effigie de sa création, ainsi que son nouvel associé. Seulement, les retrouvailles entre l'espiègle robot et son ingénieux papa vont donner lieu à de multiples déconvenues non prévues au programme à cause d'antagonistes malveillants. Ce scénario s'avère franchement très plaisant à visionner pendant toute sa durée d'environ une heure et quarante-cinq minutes. Ce décor plus urbain que dans le film originel est un excellent terrain de jeu pour Johnny 5 qui va découvrir les joies et les dangers de la ville à travers de nombreuses péripéties. L'ensemble est très bien rythmé, les situations s'enchaînant sans laisser le temps de s'ennuyer un seul instant. De plus, le récit évoque également via cette aventure un sujet sérieux, à savoir celui de l'intégration et de la naturalisation. Le ton est particulièrement marrant à la faveur de personnages agréables nous faisant vivre tout cela. On retrouve avec un immense plaisir Johnny 5, pour qui on ressent véritablement de l'empathie tant ce robot est attachant grâce de sa personnalité naïve, serviable, curieuse et bavarde. De plus, il est équipé de nombreux gadgets lui permettant de se sortir des situations compliqués dans lesquels lui et ses amis sont enlisés. Car oui, il est entouré par un duo complémentaire tout aussi appréciable, interprété par Fisher Stevens, qu'on avait déjà vu dans le premier film, et Michael McKean, dont le visage est nouveau dans cet univers. Cynthia Gibb vient compléter la distribution et apporter une touche féminine bienvenue. Les rôles des méchants sont eux moins iconiques mais tout aussi importants. On retiendra surtout celui joué par Jack Weston. Tous ces individus entretiennent des relations créant de l'émotion. Les dialogues sont amusants et certains passages parviennent même à toucher. Sur la forme, la réalisation de Kenneth Johnson est de bonne facture. Sa mise en scène évolue dans un environnement permettant à la machine de s'adonner à la découverte et la connaissance. De surcroît, les effets spéciaux sont totalement convaincants, notamment ceux rendant le robot plus vrai que nature. Ce visuel est accompagné par une b.o. aux compositions dans le ton, même si elle manque d'une identité propre. Cette série de rebondissements s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Appelez-Moi Johnny 5, qui, en conclusion, est un film méritant d'être découvert et une suite franchement réussie puisqu'elle s'avère légèrement au dessus du premier volet.
Numéro 5 est de retour pour cette suite toujours fait sur la même la ambiance que le premier volet "Short Circuit". Le réalisateur change, le casting est peu différent également et Johnny 5 est toujours attachant. Bon divertissement.
Respectueux du matériau d'origine, cette suite de la comédie familiale ne change pas formule d'un iota. Short Circuit 2 est toujours aussi kitch mais reste assez léger et plein de rebondissements pour plaire à toute la famille.
Ce film n'est pas un chef d'oeuvre, mais on suit les aventures hilarantes mais aussi émouvantes du robot vivant dans la grosse pomme. Mais ce film est aussi une légère reflexion au droit à la différence vécu par les questions de ce cher Johnny 5 et de son propriétaire indien essayant de se faire une place dans ce grand pays. Que du plaisir à revoir ce savoir-faire cinématographique sans aucune prétention des années 80-début 90.
La suite de Short-circuit, la suite des aventures du petit robot. Un petit film agréable. Un divertissement gentil qui participe à l'histoire du genre et s'inscrit dans la genèse de Chappie. Un petit film pas mal qui plaira aux grands enfants nostalgique des années 80. Le petit robot de Short Circuit est malgré tout toujours aussi attachant.
Après un premier opus terriblement original et drôlissime, voici la suite des aventures de Johnny 5. Un seul acteur est rescapé de Short Circuit (Fisher Stevens) mais l'arrivée de nouveaux personnages compensent le vide laissé par Ally Sheedy et surtout Steve Guttenberg. Nouvelle histoire, nouveau décor, une suite fidèle au premier film et des gags à foison, Short Circuit 2 est une gentille comédie robotique emmenée par un Numéro 5 en quête de compréhension vis-à-vis de notre société... Petite morale humaniste, grosses péripéties et gags en tout genre font donc de cette séquelle un film très sympathique n'arrivant bien entendu pas à égaler le premier volet, largement supérieur grâce à un budget plus équivoque, des acteurs plus connu, un scénario plus original et des effets animatroniques plus convaincants... Ne boudons toutefois pas notre plaisir, Short Circuit 2 restant une suite de qualité où l'on s'amuse autant que ce cher Numéro 5.
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3,0
Publiée le 25 septembre 2017
"Je ne suis pas un numèro" s'exclame le robot Johnny 5, un prototype militaire classè top secret, èquipè de gadgets sophistiquès, qui parle, pense et souffre comme un être humain! Conçu par Eric Allard, spècialiste en robotique et en effets spèciaux, ce hèros de mètal au coeur pur a fait ses premiers pas au cinèma dans le rèussi "Short Circuit" de John Badham! Kenneth Johnson, qui signe avec cette comèdie à suspense son premier long-mètrage, l'entraîne dans de nouvelles pèripèties! Les mauvaises rencontres que fait cette crèature naïve et armèe seulement de bonnes intentions provoquent ici une sèrie de gags et de mèsaventures filmès dans les rues de New York! Une suite attachante ou l'humour et la tendresse font bon mènage avec l'invention! De plus, les F / X tiennent bien la route et ne sont jamais ridicules! En voiture Simone...
Ce film, vu au Cinéma dans ma jeunesse (il y a de cela 26 ans !), a mal résisté à une deuxième vision à la télévision. En effet, autant « Short Circuit » dont ce film est la suite, revu quelques mois plus tôt, était bâti sur un casting sympa, un vrai réalisateur et un scénario original pour l’époque, autant on est ici dans la pure suite qui vieillit mal : casting à moindre frais (un seul survivant du premier film), réalisateur tâcheron (Kenneth Johnson n’est pas John Badham, le réalisateur du premier volet, et ne le deviendra jamais) et surtout les deux scénaristes du premier volet ici en très grand mal d’inspiration. Un film qui plaira quand même à vos enfants – en tout cas, il a plu aux miens – et c’est déjà pas mal.