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Un visiteur
2,0
Publiée le 26 novembre 2012
Ozon s'essaie au triller psychologique mâtiné de fantastique et se noie dans le bassin des grands (Lynch, Polanski, Schroeder, etc). Il déroule mollement un récit attendu (la romancière anglaise coincée qui fantasme à mort sur une jeune écervelée potentiellement psychopathe : laquelle est folle ?), sans jamais nous surprendre, mais, plus grave, sans jamais nous troubler. Tout cela est dramatiquement scolaire. Et la fin, lourdement explicative, enterre définitivement le film (il nous la fait même deux fois pour être sûr qu'on ait bien compris, brandissant fièrement sa bascule mentale vers le double, pourtant vieille comme le cinéma). Un vrai coup d'épée dans l'eau.
Que dire de ce navet d'une platitude à pleurer! d'une ludivine sagnier dans un rôle plus vulgaire et plus écervelé tu meurs ! d'une charlotte raimpling plus ennuyeuse que jamais !!! un film d'une effroyable insignifiance!! NEXT !!!
Une vieille ecrivain coincée du cul, une nympho qui se tape tous les mecs du village et une piscine qui semble être le personnage principal mdrrrr tout ça sur fonds de meurtre réel ou inventé pour un roman on en sait rien. Très très très passionnant j'ai adoré. 0.5/5
C'est long, long et re long. La fin est nulle à chier on y comprend rien est ce que ça a été inventé est ce réel ? ok y'a du suspens mais ce presque huit clos, ces trempettes et bronzages incessants dans la piscine pfffff c'est d'un ennuie pas possible.Et cte vieille pfiou invivable cette femme mdr.
Un film qui a une vraie atmosphère de film policier presque en huis clos et le jeu d'acteur de Rampling et Sagnier permet une belle confrontation. Maintenant je trouve qu'à la fin on laisse le spectateur dans un mystère insondable ce qui gâche un peu tout car au final le film aurait très bien pu se passer de cette chute implicite. On en vient alors à se poser des questions sur ce qui a vraiment été réel ou non et restant sans réponses. Pour ma part je penche pour l'idée que tout a été inventé par la romancière et que nous sommes plongée en tant qu'acteur spectateur dans cette intrigue.
Je ne suis pas une grande fan d'Ozon. Le film cherche à être trop mystérieux, se prend au sérieux et se perd dans sa narration très lente. Reste les deux actrices, très biens.
Ozon et l'art de la mise en scène qui implique un côté hermétique pour certains. Le duo d'actrices, fascinantes, trouble et perd le spectateur dans une ambiance pesante.
Estival, féminin, complexe, Swimming pool réunit surtout deux actrices dont le talent n’était plus à prouver. Centré autour d’un même lieu, toujours, tournant autour d’une fascination malsaine dont on ignore la véritable coupable, le film finit s’achève sur une hésitation après avoir posé un tas de question et provoqué une montagne de troubles.
J'avais détesté "8 femmes", m'étais ennuyé ferme à "Sous le sable", et en pur masochiste, je suis allé voir celui là. Un film lent, presque paresseux sinon long, on s'y laisse prendre finalement avec l'impression d'une étude psychologique doublée de rebondissements plus ou moins vraisemblables. Seulement, il y a la fin... et là on ne voit vraiment pas pourquoi il s'embarque dans quelque chose de si puéril. Enfin tout dépend de ce que l'on comprend de la fin. A vous de voir. Si personne ne m'explique en quoi cette fin grandit le film, c'est mon dernier Ozon. A moins qu'il n'ait cherché à embrouiller au final parce qu'il ressentait le côté vain de son film qui aurait pu simplement être un budget TV. Qu'il aille voir "Le sixième sens", il verra ce qu'est une fin qui construit un film au lieu de le détruire.