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    Swimming Pool
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    Marie Depuydt
    Marie Depuydt

    1 abonné 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2019
    François Ozon nous avait agréablement surpris avec huit femmes et son incroyable casting. C’est maintenant avec swimming pool qu’il nous épate à nouveau. Un film avec Charlotte Rampling et Ludivine Saigner qui nous cloue sur place avec un final inattendu. Sarah Morton une écrivaine londonienne part en séjour dans la maison de son éditeur en France pour trouver l’inspiration. Là-bas, elle fait la rencontre de la fille de celui-ci. Habituée par l’écriture des romans policiers, elle s’inspire de l’histoire de cette jeune fille.
    Charlotte Rampling est encore une fois impressionnante dans ce rôle d’écrivain très à cheval sur les règles et qui va peu à peu se laisser envouter par la jeunesse et la naïveté de sa colocataire.
    Quant à Ludivine Saigner elle incarne parfaitement le rôle de la petite fille riche qui joue avec les hommes et qui contrairement à Charlotte Rampling se moque totalement des règles.
    Le scénario, le jeu des acteurs et le décor sont vraiment spectaculaires. Cependant la fin est assez surprenante et soudaine.
    ADalton
    ADalton

    7 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 août 2019
    j'ai apprécié le cadre et la qualité de l'image l'été la piscine le chant des cigales (on imagine sinon)
    Ludivine divine volage sexuelle et fragile, Charlotte Rampling mature qui l'utilise pour nourrir son roman indéniablement mais on doute en permanence de ses bonnes intentions (mure et protectrice) ou mauvaises intentions, on finit par se dire que les femmes sont de divines sorcieres incroyablement imaginatives
    SB88
    SB88

    22 abonnés 1 145 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 août 2019
    On s'y laisse couler car le film est sans intérêt.
    J'ai aimé le jeu de Rampling mais vraiment déçue par la fin.
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 225 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2019
    Si au final, j'ai bien compris, c'est Charlotte Rampling spoiler: qui se faisait son scénario
    , elle meme. Le sujet est sommes toute interressant, mais j'aurais aimé, que la tension, entre les deux femmes devienne irrespirable. La, ce n'est jamais le cas, c'est dommage. Bonne note tout de meme aux deux actrices qui font le boulot.
    Tartiflette
    Tartiflette

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 juillet 2019
    J'ai failli passer à côté car je n'apprécie pas du tout les films de François Ozon et puis faute de mieux j'ai regardé lors de son passage sur Arte et je m'en réjouis. Je n'ai pas trouvé le film ennuyant. J'ai été vite entraînée par les personnages et la fin est une totale réussite qui explique tous les passages manquants de crédibilité (pour le regard féminin).
    leptitju
    leptitju

    9 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 juillet 2019
    Ozon c'est long. Comme toujours. Si le film est bien filmé et que le casting est talentueux, il reste englué dans un certain ennui et l'inutile érotisme. Bref encore un film sur des femmes vues par un homme. Ça vieillit mal et ça manque cruellement d'intérêt.
    Shawn777
    Shawn777

    574 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2019
    Ce film, réalisé par François Ozon et sorti en 2003, n'est pas mal du tout ! Le film est librement inspiré de "La Piscine" de Jacques Deray mais ne l'ayant pas vu, je ne pourrai donc pas comparer les deux œuvres. C'est l'histoire ici d'une écrivaine anglaise qui va se reposer dans la maison de son éditeur, dans le sud de la France. Là où elle pensait y trouver son éditeur, elle y trouve la fille de ce dernier qu'elle n'apprécie pas vraiment. Le synopsis à l'air un peu bateau et résonne énormément film d'auteur français un peu ennuyant, annoncé comme ça mais nous avons finalement une intrigue qui monte petit à petit en puissance. C'est vrai que le début peut-être un peu déroutant car nous suivons ces personnages sans trop savoir où le film veut aller et puis d'un coup, le film prend une tournure complètement différente. On regrette d'ailleurs presque que le film n'ait pas prit cette tournure un peu avant dans l'intrigue car cette partie est vraiment très intéressante et ne dure finalement pas très longtemps face au reste du film. Le côté thriller ne débute effectivement que pendant cette sorte de seconde partie et l'enquête est très bien faite avec ses retournements de situations etc. même si le dénouement final est peut-être un peu prévisible. Malgré tout, la première partie du film reste tout de même assez bonne, même si elle en est moins passionnante, elle nous permet de connaître et d'appréhender les personnages qui sont assez difficiles à cerner. De plus, le film reste assez flou sur beaucoup de points, notamment sur la relation entre les personnages et sur les personnages eux-même, ce qui laisse au spectateur un choix d'interprétation assez libre. Je pense d'ailleurs qu'il faut voir le film plusieurs fois afin de bien en comprendre tous les aspects et voir des éléments qui ne nous avaient tout de suite sauté aux yeux. La réalisation est quant à elle très bonne, tout simplement. Du côté du casting, nous avons principalement Charlotte Rampling et Ludivine Sagnier qui jouent très bien. "Swimming Pool" est donc un film très simple au premier abord mais qui s'avère par la suite très surprenant !
    Max Rss
    Max Rss

    196 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 mars 2019
    Je ne crois pas qu'Ozon soit le genre de mec à faire un film juste pour faire un film. Mais, avec ce "Swimming pool", tout ce qu'il a réussi à faire, c'est nous pondre un navet couplé à une prétention de tous les instants. Je me demande encore quelle idée son idée quand il a fait ce truc là. En plus d'être extrêmement prétentieux, le film devient même complètement grotesque. Un peu comme si Ozon venait de comprendre qu'il n'a rien proposé pendant plus d'une heure et que d'un coup, comme frappé par une révélation, il venait de comprendre qu'il fallait faire quelque chose pour que l'on se souvienne de son film. Et on ne peut même pas compter sur les actrices. Charlotte Rampling donne l'impression de s'ennuyer à mourir. Et Ludivine Sagnier, bien que dynamique et volontaire, est difficilement supportable.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    680 abonnés 2 990 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2019
    En manque d’inspiration, Sarah Morton trouve refuge dans la maison estivale de son éditeur : elle s’approprie les lieux, découvre une piscine sous bâche qui laisse pourtant, une fois la couverture soulevée, entrevoir quelques feuilles mortes. Un cadavre qui va peu à peu s’incarner à mesure que la fille deviendra personnage : d’abord un corps, magnifique, érotique, sensuel, rivalisant avec sa romancière qui apprendra, à terme, de son protagoniste au point d’en épouser les comportements et les formes, jeu de miroir rendu par un subtil travail de mise en scène où les plans semblent se refléter dans l’eau. L’auteure donne vie à Julie et s’en nourrit – le foie gras vient remplacer le fromage blanc –, elle s’alourdit, dévore un dessert composé de choux à la crème, porte en elle le poids d’une autre qui ne demande qu’à s’incarner par les mots. Julie constitue une projection à la fois idéale et détestable de son auteure-modèle. Une fois le corps croqué vient la « chaire » (appuyée au stylo) : la culotte est ramassée puis conservée, le journal intime est dérobé. Julie est jolie, évoque juillet. Sarah était morte. L’onomastique parle, tout comme les regards et, plus largement, le corps féminin. Ce dernier respire le désir ; c’est lui qui s’inscrit au cœur de l’histoire en train de s’écrire, cet amour assassiné. Le désir est un manque, et le combler exige la mort. Pour se faire, Ozon filme la révolution d’une écriture qui ne passe plus par un support papier mais se dématérialise : Julie écrit ses pensées dans un journal privé que Sarah exploite à travers les lignes froides et marchandes du traitement de texte. Nous glissons du stylo maintenu par la jeune femme dénudée aux touches frappées par des doigts ridés. Il y a d’ailleurs un plan magnifique, tout en mouvement, qui part du visage de Sarah en train d’écrire pour gagner la porte, puis revient à Sarah. La fenêtre est ouverte, un nouveau dossier a été créé sur le bureau informatique : une porte ouverte sur l’inconnu, le mystère, la création. Et ce qu’il y a de plus fort, c’est que les degrés de lecture ne s’effacent guère à mesure que le symbolique prend le pas : tout se superpose, s’emboîte. Les corps se cherchent dans une danse à laquelle le spectateur aimerait participer encore et encore, lui qui frémit, s’impatiente, cherche la clef. Jamais cinéaste n’avait capté avec autant de justesse le processus de création d’un roman policier et exposé en concomitance sa réception par le lecteur-spectateur. Du grand art.
    RealPrime
    RealPrime

    81 abonnés 1 732 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juillet 2018
    Un véritable choc des cultures entre une presque retraitée et une jeune en soiffe de fête et de sexe. Une piscine ou un ordi portable, des chaussures de villes ou des ballerines contre des tongs ou pieds nus. Une cohabitation spéciale entre c’qui pourrait être mère/fille. Mais c’est pas l’cas, en tout cas, la jeune femme à une silhouette de rêve à ne rien en vié, toujours à faire bronzette, tandis que la vielle femme poursuit son ouvrage. Une presque aristocrate anglaise comme c’qui a de plus ordinaire avec ses bonne manières et son bon p’tit planning bien fait contre une ado qui en mais rien à faire d’elle avec ses cheveux pas en pétard mais presque et ses tenues provocantes contre une simple chemise de nuit. Quelques scènes libertine mais rien d’exceptionnel, fallait presque en avoir plus et plus coriace pour que cette belle femme soit bien libertine. Mais quelques longueurs auraient pu être évitées.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    308 abonnés 2 950 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2019
    intrigant, mystérieux, 2 personnages qui s'affrontent du sensuel face à la froideur. le spectateur est baladé dans le délire, le fantasme de la romancière et la projection du personnage coincé de Rampling sur la libérée Sagnier. au final un exercice de style habile et réussi ; Ozon sait filmer ses actrices.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    271 abonnés 2 875 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2016
    Une curiosité de plus dans le parcours filmique de François Ozon. Réflexion sur le passage du temps et la jalousie, il oppose deux actrices radicalement différentes à tous points de vue, mais qui trouvent ici un terrain d'expression qui leur est hautement favorable. Le film se nimbe de mystère et sait distiller une atmosphère particulière jusque dans ses derniers plans. Curieux et dérangeant, un peu facile par moments dans ses effets mais avec un évident pouvoir de fascination.
    Eric C.
    Eric C.

    236 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2016
    Le film en lui même est déjà passionnant, savamment construit, avec lenteur mais sans faille, mais le final le rend encore plus intéressant avec une dimension émotionnelle et psychologique encore plus intense. Le début est marqué par l'opposition frontale entre une romancière anglaise Charlotte Rampling, froide, austère, coincée, assez égocentrique sur son statut de romancière à succès et la jeune fille de son éditeur qui débarque dans la maison que celui ci lui a prêté dans le sud de la France. Là apparaît Ludivine Sagnier, libre, fraîche, dévergondee, libertine et provocante. Ludivine Sagnier livre une prestation hors norme, sensuelle et erotique, jouant de son corps parfait autour de la piscine qui sera le centre de l'intrigue qui ira en se complexifiant. Peu à peu un rapprochement, une connivence, une amitié va s'installer entre les deux femmes contraires jusqu'à se transformer en rapport mère fille. Puis on avance dans le film par une approche plus polar et quasi hitchkockienne. Le final, le roman terminé, viendra bouleverser nos certitudes et faire s'installer le doute, de nouveau.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 février 2016
    Excellent film. Ozon nous emmène dans le sud de la France pour nous raconter l'histoire d'une romancière anglaise en manque d'inspiration (immense Charlotte Rampling). L'arrivée de Julie, la fille de son éditeur (magnifique Ludivine Sagnier) va perturber sa quiétude. Ozon filme ses deux actrices avec un charme presque insolent et nous entrâine dans une roivalité fascinante. Le dénouement du filml est totalelment inattendu. Les décors sont magbifiques. A voir absoluement.
    Karim A.
    Karim A.

    44 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Ludivigne Sagnier elle est jolie.
    spoiler: Ce que j'aime dans ce film, c'est comment Charlotte Rampling casse son coté coincé et old school pour venir en aide à Ludivine.
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