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Un visiteur
1,0
Publiée le 8 décembre 2007
Bah 8 femmes, c'était trop de rebondissements, là c'est l'inverse, il ne se passe rien, mais alors rien du tout... Pas que je sois contre le cinéma lent (j'ai adoré Solaris par exemple), mais y a des fois, il faut savoir sortir d'une vision fantasmatique d'une actrice. Certes, la poitrine de Ludivine Sagnier est bien jolie, mais bon, une fois qu'on les a vus sur 2 ou 3 plans, on n'a pas besoin de les revoir toutes les 2 minutes. Et oui, Charlotte Rampling est belle pour son âge, mais 20 secondes sur son visage au vent, c'est un peu ennuyeux quand même. Bon, la chute a la limite est ce qu'il y a de mieux dans le film (au moins c'est mieux que la pseudo surprise de la fin de 8 femmes). Je n'ai pas vu Sous le sable, mais si ca ressemble à 8 femmes (qui était vraiment pas bien du tout) ou à ce film, bah je pourrais dire que je n'aime pas le cinéma de François Ozon.
Ce n'est pas du tout le meilleur Ozon (Sous le sable), mais c'est un film honorable qui s'en sort avec le très bon jeu de Charlotte Rampling et avec une belle surprise de fin. Mais Ozon réutilise toujours un peu les mêmes ficelles et elles risquent de s'user...
Ayant découvert Ozon dans le très excitant "Huit Femmes", j'ai, en une belle après-midi d'été, décidé de consacrer une partie de mon temps à la vision du très attendu "Swimming Pool". Quelle erreur... je me suis trouvé face à un film insipide, plat, d'une lenteur douloureuse, avec des personnages ininteressants et une intrigue nulle. Vraiment chiant.
Je n'aime pas trop les films d'Ozon d'ordinaire ! Mais là, j'ai été bluffé ! Et pourtant, je connaissais la fin ! L'exploration de ces sentiments inavouables que nous avons tous est réussie, et les comédiens sont vraiment formidables ! Allez-y absolument. De toute façon si ça ne vous plaît pas vous aurez droit aux charmes de Ludivine pour vous consoler !
J'ai pas été transcendé... En plus je n'ai pas réussi à comprendre le dénouement toute seule donc ça bouscule mon ego. Appeler ça un thriller, je trouve ça léger, c'est plutôt chiant qu'autre chose et le suspens. A part mater Ludivine Sagnier qui se ballade à poil pendant deux heures et couche à tire-larigot (plutôt vulgaire qu'érotique pour le coup en plus), l'intrigue met du temps à s'installer. Encore faut-il aussi la trouver. Bon, d'accord, j'ai pas aimé : ça se donne des airs de complexité, "attends tu vas voir la fin va être terrible", le scénario est inexistant et juste prétexte à des scènes faussement émoustillantes. Et puis la fin, balancée comme ça, sans qu'on t'explique le pourquoi du comment, c'est enrageant.
C'est un film surprenant qui dégage une ambiance vraiment très forte. Les actrices sont exceptionnelles. Mais Ozon nous livre ici un film difficile à saisir, un film où tout se passe dans la tête et qui pourra ennuyer certains.
Il est certain que ce film ne plaira pas à tout le monde car il dérange en abordant des thèmes tabous ou un brin dérangeant même subrepticement. Quoi qu'il en soit, ce film a des qualités certaines. Son caractère intimiste est très joliment planté par un début lent (trop lent ?) qui ne fait que préparer la suite. Les deux actrices sont impeccables. Ozon convainc une fois de plus qu'il est un des grands noms du cinéma français.
Une variation intéressante sur le processus de création. Charlotte Rampling en vieille fille aigrie, livre une composition saisissante et son face à face avec Ludivine Sagnier, fausse ingénue, parfume l'intrigue d'un soupçon de perversité.
Un très bon film qui nous tient en haleine avec des actrices formidables et une fin surprenante. Mon seul reproche serait la présence d'une ou deux scènes un peu trop perverses, voire vulgaires.
Ce film est simplement époustouflant! Grâce à l'ambiance qu'il crée et au jeu de Charlotte Rampling, Ozon manipule parfaitement le spectateur... tout en le laissant libre de ses interprétations. A ne pas manquer, si vous aimez les films qui poussent à réfléchir.
Un triller "à la sauce Derrick" ou l'on s'ennui du début à la fin. Le scenario servi sur une ambiance soporifique n'a pas suscité mon engouement, ni même mon attention. D'ailleur je ne me souviens que de la scene ou l'écrivain anglaise sans aucune raison "se tappe" Marcel le jardinier(il faut le voir pour le croire), c'est vous dire...