Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
En moins d'une heure, Natacha Samuel arrive à évoquer une guerre et une situation atroce, déjà très commentées, en nous forçant à avoir un regard nouveau.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Monde
par Florence Colombani
Les souvenirs épars de la vieille dame arrivent à nous avec une force intacte. Film de mémoire et de souffrance, Pola à 27 ans est aussi, en creux, une ode bouleversante à l'amour maternel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Le documentaire de Natacha Samuel, d'une grande force dans sa concision, tente de ressaisir un fragment de cette aventure aveuglante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sophie Grassin
De ces 55 minutes filtre l'évidente émotio de ce témoignage à valeur collective mais aussi le voyage vers une maison natale aujourd'hui démolie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Isabelle Fajardo
Mieux qu'un témoignage, le documentaire de Natacha Samuel est le beau portrait d'une grand-mère qui raconte ses souvenirs, mais ne peut vivre qu'au présent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Les témoignages de survivants des camps de concentration sont tellement rares que ce documentaire mérite qu'on s'y intéresse. Et surtout qu'on accepte le côté ardu et statique du début, où la vieille femme, assise face caméra, raconte l'horreur qu'elle a vécue avec un détachement déstabilisant, ou préfère parfois de longs silences pour exprimer l'indicible.
Zurban
par Claire Vassé
Ce documentaire, animé par le désir de comprendre l'incompréhensible de manière intime et non pas par le biais du concept intellectuel de tragédie historique, s'inscrit dans une tradition bien balisée. Mais on lui reconnaîtra un intérêt certain: filmer une belle personne davantage traversée par une force de vie inouïe que par le "devoir de mémoire".
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
En moins d'une heure, Natacha Samuel arrive à évoquer une guerre et une situation atroce, déjà très commentées, en nous forçant à avoir un regard nouveau.
Le Monde
Les souvenirs épars de la vieille dame arrivent à nous avec une force intacte. Film de mémoire et de souffrance, Pola à 27 ans est aussi, en creux, une ode bouleversante à l'amour maternel.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Le documentaire de Natacha Samuel, d'une grande force dans sa concision, tente de ressaisir un fragment de cette aventure aveuglante.
Première
De ces 55 minutes filtre l'évidente émotio de ce témoignage à valeur collective mais aussi le voyage vers une maison natale aujourd'hui démolie.
Télérama
Mieux qu'un témoignage, le documentaire de Natacha Samuel est le beau portrait d'une grand-mère qui raconte ses souvenirs, mais ne peut vivre qu'au présent.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Les témoignages de survivants des camps de concentration sont tellement rares que ce documentaire mérite qu'on s'y intéresse. Et surtout qu'on accepte le côté ardu et statique du début, où la vieille femme, assise face caméra, raconte l'horreur qu'elle a vécue avec un détachement déstabilisant, ou préfère parfois de longs silences pour exprimer l'indicible.
Zurban
Ce documentaire, animé par le désir de comprendre l'incompréhensible de manière intime et non pas par le biais du concept intellectuel de tragédie historique, s'inscrit dans une tradition bien balisée. Mais on lui reconnaîtra un intérêt certain: filmer une belle personne davantage traversée par une force de vie inouïe que par le "devoir de mémoire".