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Votre avis sur Jerry Souffre-douleur ?
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"Jerry souffre-douleur", un film de Jerry Lewis, oscille entre comédie burlesque plaisante et longueurs décevantes. L'histoire suit Stanley Belt, un groom maladroit offert la chance de devenir une star après la mort d'une célébrité. Bien que certaines scènes soient drôles, notamment la transformation de Stanley en vedette, l'ensemble pâtit d'un manque de dynamisme et de gags constants. Le premier tiers du film est assez réussi avec une série de bons sketches qui se succèdent dont la formidable leçon de chant. Ensuite, le film connait un gros coup de mou avant rebondir légèrement le dernier tiers. Lewis brille par son expressivité clownesque, mais le film souffre de personnages secondaires ternes et bavards. En résumé, un divertissement léger, mais qui n'atteint pas les sommets d'autres classiques de Jerry Lewis. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Un très bon film hilarant réalisé et joué par Jerry Lewis avec Ina Baldin , Everett Sloane et Phil Harris .
« Mmhh, le film « Jerry souffre-douleur » est un sympa film burlesque ... mmhhh, il y a des situations qui font rire mais l’ensemble de ce film reste un peu long, terne ... disons, presque trop bavards à cause des intrigues qui expliquent un peu trop l’idée principale du film ... Mmhh ... Jerry Lewis joue le rôle d’un groom à la timidité maladive et à la maladresse incontrôlable, Stanley Belt qui se voit offrir la possibilité de devenir une star par une équipe endeuillée par la mort d’une vedette de cinéma dans un accident d’un avion, pour fuir le chômage et ne pas se séparer ... mais le groom Stanley Belt ne s’avère pas très doué ... Mmmhh, voilà, l’histoire est sympa et un peu légère ! Jerry Lewis est un bon clown expressif, certains de ses jeux ont un esprit de Tex Avery !Ce qui est dommage, c’est qu’il n’arrive pas à enchaîner d’un gag à un gag ... à égaler des films de Chaplin, Keaton ou de Laurel et Hardy. Il y a quatre séquences vraiment très drôles : rencontre de Stanley Belt et d’une vieille dame avec son ombrelle sur sa tête, Coiffure chez un barbier, cours de chant chez un professeur et là surtout la fabrication d’un smoking à partir de la peinture noire et du matériel de bricolage pour pouvoir passer à une soirée de gala ! Cette transformation est incroyable ! Et, c’est tout ... les gags sont peu nombreux dans le film à cause des personnages secondaires un peu fades et trop bavards, qui entourent Stanley Belt ! Mmhhh ! Bon, pas mal sans plus ! Enfin, j’avoue, le titre de ce film me gène un peu tant Jerry n’y est même pas un souffre-douleur ... »
Pas du niveau de "The Nutty Professor", cette réalisation de Jerry Lewis est nonobstant très estimable, l'acteur étant dans une forme éblouissante. La mise en scène est elle-aussi remarquable, le cinéaste utilisant l'espace et la profondeur de champ à la perfection. Tous les gags ne sont pas irrésistibles mais le personnage du garçon d'étage qui entraîne, à son corps défendant, tout le monde dans son sinueux sillage, devient peu à peu attachant.
Une séries de gags d'une autre époque bien passée maintenant, prêtant juste à sourire. Cela s'appelait le burlesque il paraît....
Je vous expose le tableau: Jerry Lewis est un modeste employé d’hôtel qui, un beau jour, se voit offrir la possibilité de devenir une vedette, tout ça parce qu’il y en a une autre qui a passé l’arme à gauche. Vous imaginez ça ? Une catastrophe ambulante comme Lewis aux mains d’agents peu scrupuleux. Ça promet. Ça promet d’être un film bête et méchant, mais sympa. Or, il se trouve que ce « Jerry souffre-douleur » est une comédie incroyablement fade. Peu de situations font rire. On a déjà connu Jerry bien plus « inspiré ». On ne peut retenir vraiment que deux scènes: celle où la vieille se pointe avec son ombrelle sur la tête et sous l’impulsion de Jerry, toute l’assistance se fout de sa pomme. Ou encore, celle qui se passe dans la maison du professeur de chant et dans laquelle la maladresse de Jerry fait encore des ravages. Ces deux passages font vraiment rire, mais deux passages drôles sur une heure quarante de film, c’est léger. Trop léger pour moi. Impossible pour moi d’accorder plus d’une étoile.
un film à la fois plaisant et à la fois décevant ,un peu comme si l'on prenait une douche écossaise
certains gags font rire soit mais jerry nous à habitué à mieux .un peu en panne d'inspiration
ce n'est pas un film raté loin de là ,la réalisation est superbe et c'est une très belle satire du star system
qui pourrait sans problème s'adapter à notre monde contemporain , lewis conte une belle morale
tiraillé toujours entre deux personnages entre une puérilité et un égocentrisme bien calculé
jerry continue de nous faire rentrer dans sa psyché .cependant la machine n'a l'air
pas aussi bien huilé que dans le tombeur de ces dames ou même dans le zinzin d'Hollywood
c'est surtout au niveau d'un scénario un peu bancal et aussi une myriade d'acteurs assez mal exploitée
que la déception est au rendez vous .Une armée pléthorique de faire valoir autour de jerry envahisse certaines scènes assez lassante au nom d'un mimétisme scénaristique devenant obsolescent et poussant le film vers le bas .malgré tout sans être un chef d'oeuvre the patsy demeure néanmoins assez sympatique dans l'ensemble à regarder avec quelques petits moments cultes .
certains gags font rire soit mais jerry nous à habitué à mieux .un peu en panne d'inspiration
ce n'est pas un film raté loin de là ,la réalisation est superbe et c'est une très belle satire du star system
qui pourrait sans problème s'adapter à notre monde contemporain , lewis conte une belle morale
tiraillé toujours entre deux personnages entre une puérilité et un égocentrisme bien calculé
jerry continue de nous faire rentrer dans sa psyché .cependant la machine n'a l'air
pas aussi bien huilé que dans le tombeur de ces dames ou même dans le zinzin d'Hollywood
c'est surtout au niveau d'un scénario un peu bancal et aussi une myriade d'acteurs assez mal exploitée
que la déception est au rendez vous .Une armée pléthorique de faire valoir autour de jerry envahisse certaines scènes assez lassante au nom d'un mimétisme scénaristique devenant obsolescent et poussant le film vers le bas .malgré tout sans être un chef d'oeuvre the patsy demeure néanmoins assez sympatique dans l'ensemble à regarder avec quelques petits moments cultes .
« il dit toujours que les yeux sont les fenêtres de l’âme si les volets sont ouverts ! » L'acteur-rèalisateur Jerry Lewis passe derrière la camèra pour la cinquième fois et met en scène des dirigeants d'Hollywood (Everett Sloane, Peter Lorre, John Carradine...rien que ça) qui s'efforcent de faire remplacer par un inconnu, garçon de courses, un acteur tuè dans un accident d'avion! Evidemment, l'inconnu en question est Jerry Lewis en personne qui trouve un rôle à sa mesure entre un mime pour une danse Yèyè et la confection d'un smoking (gènial) qui reste le meilleur moment du film! Destruction, moments burlesques et gentiment poussifs tels que ce ce cri infernal que pousse un professeur de diction provoquant une soudaine poussèe de poils sur le sourcil gauche de Lewis! Entre temps, Ina Balin lui fait savoir qu'elle sera avec lui jusqu'au bout quoi qu'il arrive et qu'elle lui dira en même temps qu'elle l'aime! Ce n'est pas le meilleur film de l'acteur-rèalisateur mais quel tombeur ce Lewis...
L'idée de départ est très bonne, elle annonce en plus une mise en abyme intéressante et ambitieuse pour Jerry Lewis qui doit faire rire le spectateur tout en incarnant un comique pas drôle.
Quand il est directement au cœur du sujet, avec un summum époustouflant lorsque le comédien réussit à se fabriquer un costume chic avec un habillage "cool", du matériel de bricolage et de peinture, le film parvient à être drôle...
Mais hélas le défaut inhérent aux films de Jerry Lewis, qui est heureusement aux abonnés absents dans des sommets comme dans "Docteur Jerry et Mister Love" ou encore "Le Tombeur de ces dames", à savoir un scénario totalement décousu et qui sort souvent inutilement de son sujet de base gâche en grande partie l'ensemble.
De plus certains gags tombent totalement à plat, et on peut se demander pourquoi le réalisateur-acteur s'est entouré d'aussi excellents seconds rôles que Peter Lorre (dans son dernier rôle !!!), John Carradine, Everett Sloane et Keenan Wynn si c'est pour les sous-employer autant.
Bref Jerry Lewis a beau être un comique extrêmement talentueux et imaginatif, si celui-ci n'est pas au service d'un scénario un minimum solide ça ne marche pas.
Quand il est directement au cœur du sujet, avec un summum époustouflant lorsque le comédien réussit à se fabriquer un costume chic avec un habillage "cool", du matériel de bricolage et de peinture, le film parvient à être drôle...
Mais hélas le défaut inhérent aux films de Jerry Lewis, qui est heureusement aux abonnés absents dans des sommets comme dans "Docteur Jerry et Mister Love" ou encore "Le Tombeur de ces dames", à savoir un scénario totalement décousu et qui sort souvent inutilement de son sujet de base gâche en grande partie l'ensemble.
De plus certains gags tombent totalement à plat, et on peut se demander pourquoi le réalisateur-acteur s'est entouré d'aussi excellents seconds rôles que Peter Lorre (dans son dernier rôle !!!), John Carradine, Everett Sloane et Keenan Wynn si c'est pour les sous-employer autant.
Bref Jerry Lewis a beau être un comique extrêmement talentueux et imaginatif, si celui-ci n'est pas au service d'un scénario un minimum solide ça ne marche pas.
soniadidierkmurgia
La comparaison avec les chefs-d'œuvre de Lewis que sont « Le tombeur de ces dames » ou « Docteur Jerry and Mister love » est plutôt douloureuse pour "Jerry souffre-douleur". Ici les gags sont moins nombreux et un tantinet moins drôles, comme si après plusieurs années de créativité intense, le génial réalisateur se trouvait tout à coup en panne d’inspiration. De ce fait les grimaces paraissent un peu plus accentuées et quelquefois dénuées de propos. Malgré tout, les décors sont comme d’habitude soignés et l’on sent que Jerry Lewis aime diriger les comédiens. Encore une fois on remarquera un hommage à Georges Raft qui comme dans « Le tombeur de ces dames » fait une très courte apparition. Le film donne au final une jolie leçon de morale : il est vain de vouloir absolument faire de quelqu’un ce qu’il n’est pas. On ne sera pas venu pour rien.
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