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Michael78420
45 abonnés
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4,5
Publiée le 5 juillet 2023
Déjà ça commence très bien avec Hound Dog d'Elvis Presley. L'ambiance de la fin des années 1950 est bien installée aussi avec son lot de belles voitures, de cheveux gominés, de blousons de cuir. Ce quatrième opus de la série donne aussi dans la quête de présence extra-terrestre. Le héros est contraint de se rendre dans le hangar 51. On pense immédiatement à la fameuse zone. Quelques minutes plus tard, on observe une indication sur une caisse : Roswell. Plus de doute, les extra-terrestres sont là ! Cet épisode met aussi plus l'accent sur l'humour et sur les relations d'Indy (interprété avec une énergie éclatante par Harrison Ford, 66 ans à la sortie du film !) avec ses proches. Ce qui étoffe le personnage qui sort ainsi du combo de prof aventurier. Les effets spéciaux et les scènes d'action sont stupéfiantes. À noter cette réplique de la redoutable Irina (alias Cate Blanchet) en plein duel au sabre : "Tu te bats comme un jeune homme, impatient de commencer, pressé de finir !" On frise le chef d'œuvre, pour les amateurs du genre !
C'est celui que j'ai le moins apprécié. Ça part trop loin il y a carrément un alien à la fin enfin bref j'ai pas trop aimé. Il y a encore quelques scènes sympa mais ça a du mal à se renouveler.
En 1957, spoiler: entre hommes de main de Staline et agents du maccarthysme, le professeur Jones est licencié malgré ses états de service dans la lutte contre le nazisme avant et pendant la Seconde Guerre mondiale .
Indy est sur le point spoiler: d'être capturé lorsque le jeune "greaser" Mutt Williams apparaît et le sauve avant que leur recherche du "crâne de cristal" ne les mène au Pérou .
Dans la spoiler: forêt amazonienne, alors qu'il lutte contre les troupes d'Irina Spalko et un ancien collègue cupide qui le trahit , Henry Jones, Jr. renoue avec son passé qui lui réserve bien des surprises.
Les cinéastes ont conçu la conclusion comme un hommage aux spoiler: films de science-fiction des années 1950, avec une cerise sur le gâteau qui nous ramène à l'époque de Raiders of the Lost Ark .
Même si ce quatrième volet de la saga n’atteint pas le niveau de génie de la trilogie des années 1980, il reste un film fait avec amour dans le respect des personnages et de la série.
A l’approche du 5eme volet, j’ai revu le royaume du crâne de cristal avec l’espoir un peu fou que le temps passé et ma perte relative de mémoire pourrait donner une nouvelle chance à ce film ou tout du moins lui redorer un peu son blason. Peine perdue. L’introduction fait illusion. L’idée de la scène de base est bonne, l’ambiance des années 50 marche bien quoique le personnage ridicule de la méchante soviétique digne d’un bd pour enfants est un mauvais présage. Certains s’offusque d’une scène de frigo devenue mythique mais plus dure sera la vraie chute. Le personnage du fils d’Indy n’a rien à dire, pas plus que Marion, la badasse des années 30 qui ne sert à rien. Comment un personnage aussi adorable a pu être gâché de la sorte ? Le film évolue ensuite dans un Pérou affreux avec des effets spéciaux indignes d’un téléfilm. L’intrigue endort le spectateur comme un laxatif et que dire des indigènes sortis des pierres dont on ne saura jamais rien ? Après le laxatif, le trou noir : plus d’une heure dans la forêt amazonienne pour pas grand chose. Une scène clé avec des serpents/câbles qui ne ressemble à rien,, sauf à servir de private joke pour l’équipe de tournage en référence aux câbles utilisés dans le premier volet pour faire les serpents ?(hey oh, c’est gênant y a des spectateurs avec vous), le rejetons qui se prend pour Tarzan, un combat de sabres sur deux voitures à pleine vitesses, d’affreuses fourmis géantes . Mais pourquoi ? Le spectateur n’est pas venu au cinéma pour souffrir ! John Hurt joue aussi un personnage en tout point inutile. C’est sans doute les restes du père d’Indy que les scénaristes n’ont pas pris le temps d’effacer correctement après le refus de James Bond de rempiler. Après le trou noir, l’enfer. Le rythme est à l’arrêt. Vous reprendrez bien une poignée d’indigènes sortis des pierres ? Et tenez voilà un alien hideux ni plus ni moins. Et la triple chute d’eau façon parc d’attraction, vous en voulez pas ? Tans pis. Le film est rempli d’images grotesques de petits animaux rigolos qui auraient mieux fait de rester cachés. Le script s’attarde à légitimer l’âge d’Indy alors que c’est sans doute la seule chose qui est visuellement.crédible dans le film. spoiler: L’ovni a la fin ne me perturbe pas trop car l’intrigue finale a toujours été dingue dans la série et c’est les années 50 après tout ! En revanche la vrai fin, la scène de mariage plan-plan, elle pour le coup elle achève de plomber l’action tant l’intrigue sur la famille d’Indy a si peu apporté à ce film, malheureusement.
Il est bien difficile de comprendre comment Spielberg à pu se mettre dans cette galère alors qu’il sortait d’une série de grands films. Même les films ratés ont leur part de mystère.
Ce n'est évidemment pas le meilleur, loin de la, il y a beaucoup de défauts, notamment la faute à des effets spéciaux pas terrible... Mais l'esprit d'Indiana Jones est toujours là, Harisson Ford est toujours en forme, bref j'aime cet opus et ne le trouve pas si désastreux. Notamment par rapport au dernier qui viens de sortir...
Le vilain petit canard de la saga. Ce film est certes le moin bon de tous, mais n'en reste pas moins un bon Indiana Jones. Certains passages, certaines scènes peuvent paraître grotesques, et certains personnages pas assez développés, cependant on ressent tout de même la patte Spielberg qui fait que ce film reste un bon divertissement !
A la sortie de ce quatrième volet, on aurait pu imaginer une brutale prise de conscience. Une réunion au sommet, entre les pontes du l’entertainment, qui auraient repris point par point tout ce que ce film a de raté pour repartir sur des bases saines. On aurait pu imaginer une sorte de nouveau dogme appliqué aux blockbusters, qui préciserait que revenir des décennies après sur une franchise qui fit la gloire de son époque, c’est probablement une mauvaise idée. Que les marmottes en CGI, c’est laid. Que les falaises et la jungle en CGI, aussi. Que le principe du « toujours plus » a ses limites, qu’on nomme le grotesque : trois chutes du Niagara successives, par exemple. Une bombe atomique et un frigo, par exemple. Un combat à l’épée entre deux jeeps. Une transformation en Tarzan. Etc., etc., etc. Que le jeu sur la nouvelle génération, en plus d’occasionner une pâle copie, gêne fortement, d’autant qu’il fut déjà exploité avec talent dans La Dernière Croisade. Shia LaBeouf qui se peigne en toutes circonstances est aussi crédible sur sa Harley que Johnny face à un verre de Perrier, et les scènes de ménage entre les sexagénaires certes moins embarrassantes que le mariage final, mais tout de même bien dispensables. Que l’idée de laisser intervenir Georges Lucas, qui après avoir souillé Star Wars vient essuyer ses mains grasses sur cette franchise, aurait dû être évitée comme la peste. C’est la fête du slip : on mélange Eldorado et Roswell, canal parapsychique et crâne aux vertus proche de l’anneau, on fait remonter l’archéologie aux aliens et on finit comme un mauvais épisode de Stargate. On se serait flagellé un moment, on aurait juré qu’on ne s’y laisserait plus reprendre, et on aurait bossé des scénars originaux. Mais non. Jurassic World et Terminator Genisys sont là pour le prouver : la dilution par le numérique paie. La nostalgie des parents et l’absence de goût de leur progéniture suffit au système pour se pérenniser. Alors pourquoi se priver ? Reste à savoir quelle leçon aura tiré papy Spielberg de cette expérience, qui prouve tout de même avec la belle séquence d’ouverture qu’il sait tout à fait mettre en scène. S’il rempile comme prévu en 2018, il aura le choix entre cette recette et une autre, un brin plus séduisante, vintage et nostalgique, qui commence à pointer depuis Mad Max Fury Road et Le Réveil de la Force… que cette dernière soit avec lui.
Quel calvaire cet épisode. Tout est sur joué. Les effets spéciaux sont moches et servent des scènes d action aussi grotesque qu interminables. Le scénario est quant à lui digne d une série B avec en point d orgue un final ridicule. Bref, le 4 eme opus est un incident industriel ...
Ce quatrième épisode tardif reprends tout les codes qui ont fait le succès de la franchise : musique, humour, action. C’est divertissant même si ce scénario à base de crâne extra-terrestre est perché. Beaucoup de séquences sont trop exagérés aussi et la fin est sérieusement WTF ! 3 étoiles tout juste pour un film qui deviens moins bon plus il progresse.
Mascarade et totale destruction de l'univers Indiana. Je ne ddirais pas plus de ce qui a été dit mais la seule question que je me pose est : POURQUOI ? Du coup, même pas envie de voir le prochain la semaine prochaine.
Le scepticisme ambiant concernant ce 4ème opus des aventures d'Indy me dépasse. Pour ma part il est clairement dans la droite lignée des précédents, ça bouge, les personnages qu'ils soient alliés ou antagonistes (ou les deux) sont intéressants et travaillés et le casting est top. Certes Harrisson Ford se fait vieux mais rien de choquant, les péripéties de son personnage iconique sont toujours palpitantes et concernant l'aspect fantastique du métrage, ce n'est, il me semble, pas la 1ère fois que la saga dévie quelque peu donc une fois encore pas de problème, c'est même plutôt sympa au final, ça ouvre de nouveaux horizons, d'autant plus lorsque l'on a visité le Pérou et ses influences Inca. Sympa également de retrouver un personnage féminin bien connue de la saga et concernant Shia Laboeuf je l'ai toujours apprécié et il est encore une fois à la hauteur. Indy 4 est à mon sens une fois de plus un grand film d'aventure et avec des SFX un peu plus au point il aurait pu être parfait.