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D'après une pièce de théâtre nommée "Jeff", le dénommé Robert de Nesle tourne un vaudeville rudimentaire d'une bêtise confondante, à côté duquel ceux de Feydeau sont des trésors de subtilité...
Précisément, Jeff (Jean Parédès) ne trouve rien d'autre, pour échapper à la suspicion d'un mari jaloux, que de se travestir en tante russe de l'épouse de ce dernier. Le film n'a ni queue ni tête et semble n'avoir que le projet de passer des robes à Parédès, comique en vogue à l'époque.
Après les présentations d'usage déjà sottes du premier acte, le deuxième prend la forme d'un banquet à la mode russe chez des amis bourgeois, avec danses et chants locaux à la gloire de la tante, interminable beuverie qui pourrait amuser si elle n'était pas composée de figures et de gags aussi grossiers.
Le film poursuit dans la crétinerie assumée qui consiste en une accumulation de comportements irrationnels et de personnages improbables. Dans ce fouillis et cette profusion pseudo-comique, on trouvera bien un ou deux instants cocasses. C'est la moindre des choses.
Précisément, Jeff (Jean Parédès) ne trouve rien d'autre, pour échapper à la suspicion d'un mari jaloux, que de se travestir en tante russe de l'épouse de ce dernier. Le film n'a ni queue ni tête et semble n'avoir que le projet de passer des robes à Parédès, comique en vogue à l'époque.
Après les présentations d'usage déjà sottes du premier acte, le deuxième prend la forme d'un banquet à la mode russe chez des amis bourgeois, avec danses et chants locaux à la gloire de la tante, interminable beuverie qui pourrait amuser si elle n'était pas composée de figures et de gags aussi grossiers.
Le film poursuit dans la crétinerie assumée qui consiste en une accumulation de comportements irrationnels et de personnages improbables. Dans ce fouillis et cette profusion pseudo-comique, on trouvera bien un ou deux instants cocasses. C'est la moindre des choses.
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