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Un visiteur
5,0
Publiée le 23 avril 2020
Véritable chef d'oeuvre plein de fraîcheur! Des enfants qui jouent avec beaucoup de naturel, des dialogues drôles, un noir et blanc magnifique... Assurément la meilleure adaptation du roman de Louis Pergaud au cinéma.
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4,5
Publiée le 25 février 2020
Film essentiellement tournè à l'aide d'enfants à la tête desquels on trouve l'inoubliable Petit Gibus dont la rèplique, « Si j'avais su, je ne serais pas venu . » , est restèe l'une des plus cèlèbres du cinèma français! Avec "La guerre des boutons", Yves Robert signe l'une des meilleures oeuvres sur le monde de l'enfance! Un monde qui n'a cessè d'osciller entre la rèvolte violente et la tendresse ironique! Une France tellement belle et solidaire qu'elle parait aujourd'hui venir d'un autre temps! Et pourtant qu'il faisait bon de vivre du côtè de Armenonville avec cet esprit champêtre! Soixante ans après, le film n'a pas pris une ride et on se passionne toujours pour ces enfants en culottes courtes! Les enfants font les quatre cent coups et les parents trinquent! Final magnifique entre les deux capitaines Lebrac & L'Aztec qui se retrouvent dans le même pensionnat...
Les vacances se terminent et ses cours des choses reprennent son droit de voir la rentrée des classes, commençons par la liste des présents absents, du maître d’école instituteur à la poigne en paille de fer, la bataille des boutons annoncent les hostilités gamineries. Les boy-scouts colonies sont sponsorisées par les francs-camarades, à vos cartables, craies, équerres, crayons, règles irrespectueuses aux balançoires, ce sera une sympathique réalisation, la révélation d’un paysage nature en noir et blanc mise en scène, douce terre de mon enfance......voilà se dévoile ce chef-d’œuvre régal.
C’est rigolo chez les pommes de terre cueillies et cuites de façon rustique, aux petites santés dédiées campagnardes provinciales, allez-y sur la dose accompagnée les repas goûters camarades de classe qui ne manquent pas de pot pour sonner les cloches. Y’a des clichés à prendre pour les touristes en 1962, béret sous les bras baguettes achetées à la boulangerie, chez l’épicier, du beurre et de la confiture, pour corser la consistance des plats, fromage et pâté de campagne jambon foie dégustation succulente.
Cette petite guéguerre infantile contraignante en a besoin dans ce scénario lu, vu et corrigé, une note copie ramassée contrôle, c’est mérité ces leçons devoirs accomplies 10/10.
Exceptè le film de 1936, j'ai vu toutes les versions de la La Guerre des boutons, même le remake britannique qui est complètement à cote de la plaque. Le chef-d'oeuvre d'Yves Robert est sans contexte le meilleur. À voir, revoir, re-revoir !!!
Très bon film à regarder en famille. Le scénario et les dialogue fonctionnent très bien. Avec le temps, le film a pris un coté Doisneau: description de la vie des français après-guerre.
Tout y est, la chronique de la France profonde, l'enfance rebelle de Lebrac, l’innocence du petit Gibus, l'humour, la bande de copain, l'ennemi pas si différent... Yves Robert signe un film magistral prenant jusqu'au bout quand il déploie le scénario qui va au-delà d'une simple guerre d'enfants entre villages. Il rend bien pâle les adaptations récentes du début des années 2010 pas au niveau.
La Guerre des Boutons est un film comique de Yves Robert qui est devenu un classique du genre . Le film raconte l'histoire de deux bandes d'enfants qui sont font la guerre . Ce film est connu surtout pour la réplique culte du Petit Gibus " Si j'avais su , j'aurais pas v'nu ..." avec un succès fulgurant avec 9 millions d'entrées en France derrière le film " Le Jour le plus long" en 1962 . C'est un film aux casting cinq étoiles : Michel Galabru , Jean Richard , Pierre Tchernia ... et avec des gosses comme André Treton dans le rôle de Lebrac .
" La guerre des boutons " sympathique comédie de Yves Robert .
C'est l'histoire de deux bandes de gamins de deux villages voisins ( Longeverne et Velrans ) qui se livre une guerre sans merci depuis des années . Jusqu'au jour où la guerre monte d'un cran quand la bande de Longverne mener par le grand Lebrac fait prisonnier un gosse du clan adverse . Pour l'humilier on lui enlève tout les boutons de ses vêtements . Cette nouvelle technique d'humiliation remporte alors un francs succès et les deux camps n'hésitent plus à l'employer . Les boutons volés à l'adversaire deviennent alors leur trésor de guerre ...
Le réalisateur Yves Robert signe en 1962 , avec " La guerre des boutons " , une sympathique comédie devenu un classique du cinéma français qui connaîtra un immense succès populaire . Le réalisateur Yves Robert alors au début de sa carrière en tant que réalisateur ( qui avait mis en scéne quelques années plus tôt son 1er film " ni vu , ni connu " avec louis de funès plutôt bien accueillit par le public ) verra sa carrière vraiment décoller grâce à l'immense succès de " La guerre des boutons " qui lui permettra de réaliser par la suite une pléiade de comédie et films devenu cultes ( Alexandre le bienheureux , le grand blond avec une chaussure noire , le retour du grand blond , un éléphant sa trompe énormément , on ira tous au paradis , la gloire de mon père , le château de ma mère ...) . " La guerre des boutons " est l'adaptation d'un roman de Louis Pergaud . C'est la seconde adaptation du roman à voir le jour sur grand écran , le roman ayant déjà été adapter au cinéma en 1936 sous le nom de " La guerre des gosses " . D'autres adaptations du roman verront également le jour nottament une adaptation britannique sortit en 1995 sous le titre " la guerre des boutons , ça recommence " puis en 2011 deux autres adaptations verront le jour sous le nom de " la guerre des boutons " réalisé par Yann Samuel et de " la nouvelle guerre des boutons " réalisé par Christophe Baratier ( réalisateur des choristes ) mais tout ça c'est une autre histoire . Revenons en à ce qui nous intéresse à savoir cette adaptation signé Yves Robert sortit en 1962 , la plus célébre et la plus populaire , qui s'avère vraiment sympathique . L'histoire est sympa et assez originale avec deux bandes de gamins rivales qui vont se livrer une guerre sans merci ce qui va donner lieu à des situations cocasses ( les gosses qui décident de se battre tout nu pour éviter de se faire abîmer leurs vêtements en se faisant piqué leurs boutons par le clan adverse ) . Je pense quand même qu'on aurait pu exploiter un peu plus le filon comique du film ( l'histoire ayant un bon potentiel comique à exploiter ) en créant d'autres situations comiques . Même si le film n'est pas la comédie du siécle , qu'on ne rit pas tout le temps et aux éclats on passe tout de même un très bon moment avec cette bande de garnements qui s'en donnent à cœur joie . l'histoire en plus d'être drôle s'avère prenante et on se demande jusqu'où iront les gamins pour humilier le clan d'en face et comment va se terminer cette histoire . A travers cette " guerre " de bambins en culotte courte le réalisateur Yves Robert dépeint l'enfance et nottamant l'enfance de cette époque ( celle du début des années 60 ) avec les gamins qui voient le monde à leur manière et qui veulent exister notamment en faisant partit d'un groupe ou d'une bande et qui sont totalement insouciant et irresponsable ne pensant qu'à s'amuser et à faire des bétises en ne prenant pas conscience des conséquences que sa peut avoir . ce qui va les confronter au monde des adultes ( instituteur , parents ... ) qui tente de les responsabiliser parfois de façon assez dur ( surtout à cette époque) . Mais eux on envie de profiter à fond de leurs enfance entre insouciance et amusement et n'on pas envie de devenir aussi bête que ses adultes qui ne les comprennent pas . Dailleurs la phrase de Lebrac à la fin résume bien tout ça ( " et dire qu'un jour on sera aussi bête qu'eux " ) . Yves Robert dépeint très bien ce passage de l'enfance . Le film a viellit mais contient un charme indéniable de ses vielles comédies d'antant avec leur ambiance désuète des années 60 . Le film est porter par une belle brochettes de jeunes acteurs qui jouent les gosses dont André Treton parfait et charismatique dans le rôle de l'inoubliable Lebrac le chef de la bande du village de Longeverne et Martin Lartigue excellent et drôle dans le rôle d'un autre garnement inoubliable du film le fameux petit gibus faisant partit de la bande de Lebrac . Il crève l'écran par sa spontanéité . Qui ne se souvient pas de sa célèbre réplique drôle devenu culte " si j'aurai su , j'aurai pas venu " . A noter l'apparition de Michel Galabru qui joue le père d'un des gamins du film dans l'un de ses premiers rôles importants au cinéma . Le succès du film lui apportera un début de notoriété avant d'être révéler pleinement 2 ans plus tard au grand public avec son rôle culte du lieutenant gerbert dans " le gendarme de St Tropez " qui sera également un immense succès et qui en fera une vedette du cinéma français .
" La guerre des boutons " est une sympathique comédie des années 60 devenu un classique qui connu à sa sortit en 1962 un immense succès populaire ( près de 10 millions d'entrées soit l'une des comédies les plus rentable du cinéma français ) .
Seconde adaptation du roman de Louis Pergaud (après La Guerre des gosses de Jacques Daroy et Eugène Deslaw en 1936), ce classique de la comédie pose un regard plein de tendresse sur la jeunesse des campagnes françaises des années 60 (même si le roman a été écrit en 1912). Malgré quelques aspects sombres (notamment sur la violence envers les enfants encore fréquente à cette époque), le film d’Yves Robert est souvent drôle et possède des moments et des répliques qui restent inscrits dans le cinéma français (la bataille en tenue d’Adam, le célèbre "Ah bah,si j’aurais su, j’aurais pas venu"…). Un bon moment, servi par de jeunes comédiens pleins de fraicheur (dont le plus marquant est évidemment Martin Lartigue dans le rôle du Petit Gibus) et des visages plus connus qui interprètent les pères (Jean Richard, Michel Galabru et Pierre Tchernia), qui reste toujours très plaisant à voir plus de 60 ans après sa réalisation.
Un film sans doute extrêmement vieillissant avec une histoire que tout le monde maintenant et qui ne surprend plus du tout. En plus la réalisation est en générale vraiment mauvaise même si certes le film date de 1962.
Au delà de la comédie et de l'émotion, le film d'Yves Robert est une photographie, la captation d'un mode de vie. Celui de la campagne française d'après guerre et notamment de sa jeunesse qui tout en suivant le chemin de ses ainés, voulait s'en détacher. Un film culte, car touchant et très sincère.
Faire jouer une centaine de gosses sans tomber dans la niaiserie ou dans les attitudes têtes à claques était une gageure. Et sur ce point Yves Robert réalise un véritable sans faute. La mise en scène est inventive, parfois poétiquespoiler: (la course entre les grands troncs d'arbres) , l'univers de l'enfance est parfaitement restitué alternant la cruauté spoiler: (la chasse au renard) et la tendressespoiler: (le lapin blessé), tentant de singer sans les comprendre les codes des adultes. Le film se permet une certaine lucidité sociale, face à l'école qui peine à faire de l'instruction civique c'est sur le terrain que les valeurs républicaines sont testés. Frais, passionnant, intelligent, parfois un peu brouillon mais qu'importe, c'est un très grand film.