Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
MCinéma.com
par Stéphanie Tonnet
L'air de rien, sans effets ni paroles inutiles, et sous couvert de photographier une famille italienne d'aujourd'hui, Gabriele Muccino (remarqué pour Juste un baiser) nous éblouit avec un film universel, brillant et habité par des acteurs parfaits. On frôle le chef-d'oeuvre.
Positif
par Jean A. Gili
Le film repose sur un scénario bien écrit, qui parvient à donner de l'épaisseur à chacun des personnages (...) Quant à la mise en scène, d 'une grande fluidité eu égard à la nature d'un récit qui induit de nombreuses actions simultanées, elle brille par l'absence de tout temps mort (...) L'interprétation constitue l'un des points forts du film (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Ghislain Loustalot
Gabriele Muccino (...) décrit avec finesse et un réalisme proche du documentaire les problèmes de la vie de famille (...) un formidable témoignage sur le temps qui passe, sur la prise de conscience amère qui surgit à la quarantaine (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
par Ophélie Wiel
Hélas, cette ronde des sentiments n'est pas assez captivante pour que l'on s'intéresse aux problèmes existentiels de ces bourgeois, qui à force d'hystérie oublient d'être émouvants. Le réalisateur souligne avec tant de tendresse le comportement de ses héros qu'il semble répugner, paradoxalement, à ne pas tout montrer d'eux.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le tout n'est pas exempt de quelques scènes caricaturales, dans l'hystérie ou le mélo, mais on ne boude pas son plaisir grâce à un rythme enlevé et des acteurs tous convaincants.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Juste mais cruelle peinture de la société italienne, Souviens-toi de moi est trop démonstratif pour satisfaire. Reste le numéro d'actrice époustouflant de Laura Morante, à la fois énervante et profondément touchante quand elle manque de confiance en elle.
Aden
par Philippe Piazzo
Récit saccadé, personnages volubiles et surexcités : le film est mené sur un rythme hystérique mais il ne se passe rien, ou si peu.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Hélène Frappat
Muccino ne laisse à ses personnages d'autre chance que de remplir la grille stéréotypée du téléilm italien (...) Un film édifiant, en somme, qui pourra rester en mémoire comme l'instantané, non pas d'une génération ou d'un peuple, mais de l'idéal majoritaire, franchement abject, qu'un cinéma national construit de son propre pays.
Ciné Live
par Christophe Chafedaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Désolé, mais on n'est pas sûr de souhaiter se souvenir de toi, ô comédie d'adultère bourgeois poétique comme un reportage de Marie-Claire Maison, très longue publicité opposant deux actrices magnifiques (Laura Morante et Monica Bellucci), dans un duel plutôt remporté, à notre grande surprise, par la seconde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
L'air de rien, sans effets ni paroles inutiles, et sous couvert de photographier une famille italienne d'aujourd'hui, Gabriele Muccino (remarqué pour Juste un baiser) nous éblouit avec un film universel, brillant et habité par des acteurs parfaits. On frôle le chef-d'oeuvre.
Positif
Le film repose sur un scénario bien écrit, qui parvient à donner de l'épaisseur à chacun des personnages (...) Quant à la mise en scène, d 'une grande fluidité eu égard à la nature d'un récit qui induit de nombreuses actions simultanées, elle brille par l'absence de tout temps mort (...) L'interprétation constitue l'un des points forts du film (...)
Première
Gabriele Muccino (...) décrit avec finesse et un réalisme proche du documentaire les problèmes de la vie de famille (...) un formidable témoignage sur le temps qui passe, sur la prise de conscience amère qui surgit à la quarantaine (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Hélas, cette ronde des sentiments n'est pas assez captivante pour que l'on s'intéresse aux problèmes existentiels de ces bourgeois, qui à force d'hystérie oublient d'être émouvants. Le réalisateur souligne avec tant de tendresse le comportement de ses héros qu'il semble répugner, paradoxalement, à ne pas tout montrer d'eux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
TéléCinéObs
Le tout n'est pas exempt de quelques scènes caricaturales, dans l'hystérie ou le mélo, mais on ne boude pas son plaisir grâce à un rythme enlevé et des acteurs tous convaincants.
Zurban
Juste mais cruelle peinture de la société italienne, Souviens-toi de moi est trop démonstratif pour satisfaire. Reste le numéro d'actrice époustouflant de Laura Morante, à la fois énervante et profondément touchante quand elle manque de confiance en elle.
Aden
Récit saccadé, personnages volubiles et surexcités : le film est mené sur un rythme hystérique mais il ne se passe rien, ou si peu.
Cahiers du Cinéma
Muccino ne laisse à ses personnages d'autre chance que de remplir la grille stéréotypée du téléilm italien (...) Un film édifiant, en somme, qui pourra rester en mémoire comme l'instantané, non pas d'une génération ou d'un peuple, mais de l'idéal majoritaire, franchement abject, qu'un cinéma national construit de son propre pays.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Désolé, mais on n'est pas sûr de souhaiter se souvenir de toi, ô comédie d'adultère bourgeois poétique comme un reportage de Marie-Claire Maison, très longue publicité opposant deux actrices magnifiques (Laura Morante et Monica Bellucci), dans un duel plutôt remporté, à notre grande surprise, par la seconde.