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Couscous
37 abonnés
434 critiques
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1,0
Publiée le 12 juillet 2016
Une histoire à la ramasse, une réalisation dérisoire et des personnages trop clichés. Les décors sont très mal fait comme les scènes d'actions ou l'on voit les doublures.. Visuellement la seule satisfaction reste Angelina Jolie.
Des acrobaties dans tous les sens et la plupart du temps parfaitement inutiles. Des tirs qui touchent tout sauf Lara Croft... De gros abus dans les effets spéciaux (haha, le requin ! xD) qui sont placés à tout va. Un scénario qui endort mais au moins, le méchant a plus de charisme que précédemment. Il n'empêche que c'est plus mauvais que le précédent malgré le casting et Angelina Jolie, toujours dans le rôle mais moins drôle. Je n'ai aimé que le gamin qui appuie sur tous les boutons de l'ascenseur, tordant :)
Lara Croft, c'est bien la seule qui peut mettre une droite à un requin avant de s'en servir comme un dauphin... La version féminine du terme bad-ass nous fait part de sa seconde aventure sans charme, si ce n'est physique.
une purge ! horrible ! des ralentis d explosions ou de sauts digne d un bon naz Steven Segal ou Chuck Norris. un scénario bâclé. une BO qui pourrait être utilisé pour un film allemand de M6 l après midi.
2001 : le commerce du jeu vidéo est en plein essor. Parmi la ribambelle de titres aussi convenants qu’audacieux, Lara Croft, sorte d’oracle, dont l’univers riche et varié met sur les devants de la scène une aventurière au fort caractère. Surfant sur sa forte popularité, les studios hollywoodiens accordent leur confiance à Simon West (« Les ailes de l’enfer ») afin d’adapter à l’écran l’environnement et l’esprit du jeu de la meilleure des manières. Le résultat séduit, les critiques sont généreuses. C’est donc avec l’assurance d’avoir déjà dans sa poche une grande quantité de fans indémodables que voit le jour en 2003 « Lara Croft Tomb Raider le Berceau de la Vie », un nouvel opus centré sur la très fameuse boîte de Pandore aux abords du Kilimandjaro. Sitôt passé l’explication, le film prend rapidement un air à la Indiana Jones, alternant scènes d’action spectaculaires et énigmes casse-tête. S’il n’est pas d’une originalité grandissante, Jan De Bont (« Speed », « Twister ») donne à son long-métrage beaucoup de fraicheur et d’assurance, le tout orchestré par un Alan Silvestri en quête de renouveau. Intéressant sans être passionnant, ce Lara Croft vaut également pour ses seconds rôles attrayants à l’image de Djimon Hounsou et Simon Yam qui sont concernés par leur sujet. Et cela ne peut faire que plaisir à voir.
A peine mieux regardable que le premier opus, encore une énième adaptation de jeux videos foireuse. Pourquoi prendre autant de soins à souiller une brique de l'univers geek. Et que dire d'A Jolie ? Ce n'est certainement pas ce film où l'on peut admirer ses talents d'actrice mais juste sa plastique...
Comme le premier volet, ce film a le mérite de faire passer un bon moment au spectateur. Pas le temps de s’ennuyer, l’action est omniprésente du début à la fin avec des scènes toutes aussi spectaculaires les unes que les autres. Les acteurs sont bien dans leur rôle à l’image de Angelina Jolie qui incarne à merveille le rôle de cette jeune et audacieuse aventurière au remarquable sang-froid quelque soit la situation dans laquelle elle se trouve. Quelques raccourcis ou facilités par-ci par-là au niveau du scénario mais dans l’ensemble un bon divertissement sans prise de tête avec de magnifiques décors et une jolie fille. Que demander de plus. Un film à voir.
Une suite réussite. L'histoire est bien construite, avec ce qu'il fallait de trucages. Ce nouveau Lara Croft est réalisé a la perfection. Les scènes d'actions sont épatantes, un rythme fou. Des effets spéciaux époustouflants, d'une qualité sans précédentes. La mise en scène est impeccable, avec des angles de vue parfait. Le scenario est malin, simple, léger, et très efficace. Angelina Jolie au top de l'action. Très impressionnant. Mais cette suite n'arrive pas a la hauteur du premier opus, les scènes d'actions sont démontrais mais la morale n'est pas interprété. Dommage. 3,5/5
Presque aussi mauvais que le premier, même si je trouve qu'il est un peu mieux réalisé. Personnellement il n'y a pas grand chose à retenir de ce film, à part le jeu d'Angelina Jolie qui s'est quand même énormement amélioré par rapport au premier opus !
Deux ans après le premier épisode, Le Berceau de la Vie marche un peu sur les mêmes traces. Pour quiconque ayant joué aux jeux vidéos, puisqu'à la base Lara Croft est une héroïne de jeux vidéos, cette héroïne n'est jamais qu'un mélange entre Indiana Jones et Nathan Drake de la saga Uncharted de Naughty Dog sortie sur Playstation 3. Ce qui est d'ailleurs assez bizarre, c'est que la Paramount a voulu en faire deux films à une époque où la folie pour la jolie aventurière s'était quelque peu tassée. Et là alors qu'il y a eu un reboot réussi de la part de Crystal Dynamics en 2013, rien à l'horizon. Pourquoi ? Les fans de film d'aventures ont peu à se mettre sous la dent. Peut-être que cela vient de la difficulté à trouver une interprète tant Angelina Jolie est faite pour incarner Lara Croft et qu'il n'est plus évidemment question qu'aujourd'hui elle reprenne son rôle à cause de son âge et de sa nouvelle carrière de réalisatrice. C'est dommage parce que la franchise a du potentiel. Le film de ce vieux routier qu'est le néerlandais Jan De Bont (ancien directeur photo de Verhoeven) qui n'a plus tourné depuis accumule les lieux exotiques (Asie, Afrique). De quoi voir du pays même si Lara n'est pas là pour faire du tourisme. Si De Bont filme quelques paysages, c'est pour mieux introduire la prochaine scène d'action où les performances de Lara Croft/Angelina Jolie en matière d'acrobaties comme de fusillades sont mises en valeur par moult ralentis. Si Lara Croft/Angelina Jolie (désolé mais vu le potentiel de séduction de l'une et de l'autre, j'ai du mal à les différencier) sont mises en valeur dans les séquences mouvementées, elles le sont aussi dans scènes de parlotte où je me suis plu à admirer sa garde-robe différente à chaque fois. On passe du maillot de bain deux pièces à une tenue d'équitation à une tenue de plongée, etc. Et le scénario dans tout ça ? Bah, je m'en suis foutu un peu à vrai dire et ça n'a pas semblé non plus inquiéter les scénaristes qui ont inventé l'habituel artefact à aller récupérer dans un lieu oublié de tous (sauf de Lara et du méchant évidemment) rappelant Les Aventuriers de l'arche perdue et La Dernière Croisade. Non, si on regarde Tomb Raider Le Berceau de la Vie, c'est avant tout pour la plastique d'Angelina Jolie autour de laquelle le film est construit reléguant les autres personnages au rang de simples faire-valoir.
Bonne suite du 1er opus. L'histoire est très intéressante et Angelina Jolie toujours aussi surprenante. Mon seul regret: il manque ce petit quelque chose qui aurait pu rendre le film génial, dommage.
Cette suite est meilleure que le premier en tout points. La mise en scène de Jan de Bont est plus sobre, l'action est mieux gérée et les décors exotiques sont enfin exploités. Angelina Jolie apporte un peu plus de nuance à son personnage et son duo avec Gerard Butler fonctionne pas mal. L'histoire est proche du premier Indiana Jones avec un méchant digne des films James Bond. Rien de très original cependant, il y a quelques baisses de régime à certains moments, mais dans l'ensemble c'est un divertissement correct. (Pas mal)
"Lara Croft Tomb Raider" (2003), second du nom, est une suite bien moins séduisante que son ainée de 2001. Pour incarner l'héroïne, Angelina Jolie est toujours fidèle au poste bien qu'elle pâtisse aussi de la faiblesse du film, toujours sexy et charismatique mais le charme a du mal a opérer dans cette aventure sans substance. De même pour ses acolytes (Chris Barrie, Noah Taylor) pourtant efficaces et drôles dans le premier opus, le sont beaucoup moins cette fois-ci (car mal dirigés et mal utilisés). En lieu et place de Daniel Craig, un Gerard Butler fade qui n'a aucune prestance dans son personnage souffrant d'un manque cruel de développement de même pour Djimon Hounsou, son talent n'est pas exploité a juste titre, relayé à un quasi figurant. Dans le rôle du méchant, Ciarán Hinds ne dépasse pas le cadre de l'attendu. Ces observations négatives du casting sont imputables au scénario (pas de développement des personnages, les secondaires sont très clichés, pas d'objectif clair avec une succession de scènes pas du tout fluide qui nous transporte de coin à l'autre du globe sans que l'on est eu le temps de s'imprégner des lieux tout juste visionner) ainsi qu'à la mise en scène inégale du réalisateur néerlandais Jan de Bont. En outre, la pseudo-romance entre les protagonistes peine a être crédible comme le reste du métrage d'ailleurs avec des scènes proches du nanar (le requin, la course sur la muraille de Chine), des combats dignes d'une série B, des décors variés mais peu travaillés, et des effets spéciaux moins réussis que dans le premier opus. La photographie est convenable, mais n’a rien de spéciale par rapport à une grosse production. Enfin, la musique de Sylvestri ne casse pas des briques et devient vite répétitive (on aurait pu s'attendre a une musique thème efficace qui reste en tête et identifie la franchise). En somme, Tomb Raider le berceau de la vie est une suite évitable, qui a gardé les défauts du premier film, et a affaibli ses qualités. Si l’on tient compte du budget de 100 millions de dollars, du casting, du fait que les personnages et le style avait déjà été placé dans un premier film, cette suite aurait du être beaucoup plus aboutie, malheureusement ce n'est pas le cas.
Le second opus des aventures de Lara Croft reprend les même ingrédients que le premier film. Comme pour le premier film, l'ensemble n'est pas désagréable à regarder mais le scénario et les personnages sont toujours aussi faibles. Il reste toutefois quelques belles scènes d'action un peu invraisemblables qui nous tiennent en halène jusqu'au finish final.
Ce 2ème opus est un ratage complet. Même défaut que le premier avec en plus une romance clichée qui casse le rythme du film, des effets visuels de moins bonne qualité et des scènes d'actions encore plus grotesques. Le grand méchant du film n'est finalement pas Riess mais Jan De Bont... Plus qu'à attendre le reboot.