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Votre avis sur Lara Croft Tomb Raider le Berceau de la Vie ?
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Ti Nou
Le premier épisode était déjà très discutable, ce deuxième fait pire. Jan de Bont signe un film d’aventure mou et sans souffle à l’intrigue basique. Même les quelques scènes d’action sont dénuées d’énergie.
stallonefan62
Une bonne suite dans l'ensemble avec toujours une Angelina Jolie au top !! Cependant j'ai trouvé l'histoire moins alléchante et un manque de rythme par moment avec beaucoup trop de dialogues !! Il en reste pas moins un opus fidèle aux jeux !!
shindu77
Franchement le premier volet était déjà très moyen, le second est pas loin de l'accident industriel. C'est tiré par les cheveux. La mise en scène des ratés à tous les niveaux et malheureusement le jeu des acteurs ne suffit pas à compenser le film.
Vu à sa sortie en salle…
Je me souvenais bien d’avoir eté déçu et vingt ans après, la déception est toujours là.
Autant pour le premier volet j’étais bienveillant, autant celui-ci, je ne lui trouve aucune circonstance.
Pourtant, avec Jan de Bont, il y avait tout lieu d’être optimiste ; avec l’auteur de « Speed » on pouvait espérer voir le niveau monter d’un cran. Malheureusement, le rendez-vous est raté.
Pourquoi un James Bond même mineur vous accroche, pourquoi ce « Lara Croft : Le berceau de la Vie » vous décroche ?
Pourtant, comme dans un James Bond, on y trouve le récurrent méchant qui se veut maître de l’Humanité, obsédé par le pouvoir, l’argent, un objet. Pourquoi ça ne fonctionne pas avec Lara Croft ?
Le méchant de Lara Croft, le docteur Reiss (Ciaran Hinds), peut très bien évoluer chez James Bond.
Dans la franchise Lara Croft, (si on peut parler de franchise !), il y manque tout simplement de l’intensité et de la surprise.
On sait que James Bond va s’en sortir, on sait qu’Indiana Jones va s’en sortir, mais comment vont-ils s’en sortir, là est
l’intérêt ?
Quelle issue a imaginé le réalisateur pour permettre au héros de s’en sortir ?
En revoyant tous les Indiana Jones cet été, je reste encore aux taquets ! Je souris encore quand il arrive à se sortir de situations invraisemblables. Indiana Jones conserve toute sa magie. Il en est de même pour les James Bond ou les « Mission Impossible ».
Avec Lara Croft, même en danger, il n’y a aucune surprise donc aucune intensité, donc aucune tension.
Voire encore mieux : aucune incarnation.
James Bond, Indiana Jones ou Ethan Hunt existent. J’y crois en tout cas.
En ce qui me concerne, quand je jouais aux premiers Tomb Raider je vivais avec nettement plus de tension mes aventures que le personnage interprété par Angelina Jolie.
Ce n’est pas de sa faute, la faute à la direction d’acteurs, la faute à un scénario terne sans aspérité, sans aucun relief, tout simplement paresseux.
La production doit penser que les aficionados du jeu connaissent suffisamment la personnalité de Lara Croft, qu’il est inutile d’ajouter de la profondeur au personnage, les fans s’en chargeront. Ils y mettront ce qu’ils veulent.
La production ne se focalise que sur l’action. Aux fans de compenser.
Malheureusement, ça ne fonctionne pas ainsi. Bâcler le personnage, c’est non seulement sous-estimer les fans ou autres cinéphiles, c’est surtout gâcher un personnage de cinéma.
C’est bien triste…
Je me souvenais bien d’avoir eté déçu et vingt ans après, la déception est toujours là.
Autant pour le premier volet j’étais bienveillant, autant celui-ci, je ne lui trouve aucune circonstance.
Pourtant, avec Jan de Bont, il y avait tout lieu d’être optimiste ; avec l’auteur de « Speed » on pouvait espérer voir le niveau monter d’un cran. Malheureusement, le rendez-vous est raté.
Pourquoi un James Bond même mineur vous accroche, pourquoi ce « Lara Croft : Le berceau de la Vie » vous décroche ?
Pourtant, comme dans un James Bond, on y trouve le récurrent méchant qui se veut maître de l’Humanité, obsédé par le pouvoir, l’argent, un objet. Pourquoi ça ne fonctionne pas avec Lara Croft ?
Le méchant de Lara Croft, le docteur Reiss (Ciaran Hinds), peut très bien évoluer chez James Bond.
Dans la franchise Lara Croft, (si on peut parler de franchise !), il y manque tout simplement de l’intensité et de la surprise.
On sait que James Bond va s’en sortir, on sait qu’Indiana Jones va s’en sortir, mais comment vont-ils s’en sortir, là est
l’intérêt ?
Quelle issue a imaginé le réalisateur pour permettre au héros de s’en sortir ?
En revoyant tous les Indiana Jones cet été, je reste encore aux taquets ! Je souris encore quand il arrive à se sortir de situations invraisemblables. Indiana Jones conserve toute sa magie. Il en est de même pour les James Bond ou les « Mission Impossible ».
Avec Lara Croft, même en danger, il n’y a aucune surprise donc aucune intensité, donc aucune tension.
Voire encore mieux : aucune incarnation.
James Bond, Indiana Jones ou Ethan Hunt existent. J’y crois en tout cas.
En ce qui me concerne, quand je jouais aux premiers Tomb Raider je vivais avec nettement plus de tension mes aventures que le personnage interprété par Angelina Jolie.
Ce n’est pas de sa faute, la faute à la direction d’acteurs, la faute à un scénario terne sans aspérité, sans aucun relief, tout simplement paresseux.
La production doit penser que les aficionados du jeu connaissent suffisamment la personnalité de Lara Croft, qu’il est inutile d’ajouter de la profondeur au personnage, les fans s’en chargeront. Ils y mettront ce qu’ils veulent.
La production ne se focalise que sur l’action. Aux fans de compenser.
Malheureusement, ça ne fonctionne pas ainsi. Bâcler le personnage, c’est non seulement sous-estimer les fans ou autres cinéphiles, c’est surtout gâcher un personnage de cinéma.
C’est bien triste…
Artriste
Suite sortie seulement deux ans après le premier opus qui n'était déjà pas une grande réussite, Lara Croft Tomb Raider Le Berceau De La Vie n'apporte strictement rien, pour un résultat tout simplement mauvais. L'histoire nous fait suivre la jeune archéologue qui va cette fois-ci s'aventurer jusqu'à un temple jadis construit par Alexandre le Grand afin d'y trouver une orbe lui servant de carte pour enfin trouver la boîte de Pandore. Cette aventure est hélas encore plus longue que la précédente puisqu'elle nous fait vivre près d'une heure cinquante minutes d’ennuis tant ce scénario est convenu. Rien de change dans cette nouvelle mouture inutile et inintéressante. La faute en grande partie dû aux personnages insipides, campés par un casting plus que discutable. Angelina Jolie retrouve son rôle mais celui-ci n'évolue pas d'un iota. A ses côtés Gerard Butler ne convainc pas. Le reste des acteurs ne méritent même pas d'être mentionnés tant leurs performances sont abjects. Tous ces individus nous offrent des échanges qui sonnent faux, ne provocants absolument aucunes émotions si ce n'est du rejet. Il faut dire qu'ils ne sont pas aidés par des répliques ineptes. L'ensemble est réalisé de façon plutôt correcte par Jan de Bont à qui on ne peut pas enlever le fait d'avoir essayé de créer des scènes d'actions plus ambitieuses. Les décors sont globalement appréciables et les effets-spéciaux en demi-teintes. Le rendu esthétique reste toutefois convenable, contrairement à la b.o. légèrement moins désagréable que sa grande sœur, mais pas bonne pour autant avec ses sonorités inappropriées. Reste une fin sans idées à l'image de toute l'intrigue, venant ainsi mettre un terme à Lara Croft Tomb Raider Le Berceau De La Vie qui n'aurait jamais du voir le jour.
Comment dire ? Déjà un titre aussi long était suspect. Vu en 2022, soit 19 ans après la sortie du film, les gadgets de communication font pitié et les effets spéciaux ont pris un sacré coup de vieux. Angelina Jolie en fait des tonnes comme dans le premier. Mais on s'ennuie. Un point pour les yeux de l'héroïne. À réserver au fan du jeu.
Un film d'aventures dans la lignée des "Indiana Jones" mais sans le génie de Spielberg. Ça se laisse regarder mais ce n'est pas follement passionnant.
Après le succès rencontré par le premier film "Tomb Raider" (en dépit de ses qualités douteuses), une suite n'a pas tardé à voir le jour. Angelina Jolie est donc de retour, plus sexy que jamais, dans le rôle de Lara Croft, sur les traces de la boîte de Pandore. Vu que deux ans séparent les deux films, les producteurs et scénaristes n'ont pas eu le temps d'apprendre : le scénario est toujours aussi mauvais, frôlant le cliché à tous les points de vue et la réalisation a pris un coup de vieux avec ses effets numériques. Jan de Bont sert tout de même le spectacle avec plus d'habileté que Simon West, versant moins dans le côté techno abrutissant du premier opus. Ici, l'aventure se veut plus classique avec toujours une veine fantastique. Du Tomb Raider pur jus donc qu'il est tout de même impossible de prendre au sérieux tant l'ensemble ne ressemble à rien. Heureusement qu'Angelina Jolie est là pour maintenir l'intérêt et que le spectacle n'a aucun temps mort, permettant de se laisser apprécier avec une bonne dose de second degré.
Redzing
Angelina Jolie reprend du service, pour un film pas vraiment plus convaincant que son prédécesseur. Ce mélange d'aventure et d'espionnage peine à trouver son identité propre, tant il nous livre des personnages stéréotypés (on a l'impression qu'à chaque apparition, Ciaran Hinds essaie d'avoir l'air encore plus méchant !), et surtout un scénario qui pille sans vergogne dans divers classiques. On notera par exemple que la mise en place est un copié-collé du premier Indiana Jones (un rival vole l'objet convoité, les agents gouvernementaux qui posent les enjeux, l'ex-conquête nécessaire à la mission, etc.). Et question mise en scène, l'ensemble est anodin, et les CGI sont assez moches. Cependant, Jan de Bont n'est pas le premier tâcheron venu, et offre des scènes d'action correctes. Mais le film demeure très faible.
2001 : le commerce du jeu vidéo est en plein essor. Parmi la ribambelle de titres aussi convenants qu’audacieux, Lara Croft, sorte d’oracle, dont l’univers riche et varié met sur les devants de la scène une aventurière au fort caractère. Surfant sur sa forte popularité, les studios hollywoodiens accordent leur confiance à Simon West (« Les ailes de l’enfer ») afin d’adapter à l’écran l’environnement et l’esprit du jeu de la meilleure des manières. Le résultat séduit, les critiques sont généreuses. C’est donc avec l’assurance d’avoir déjà dans sa poche une grande quantité de fans indémodables que voit le jour en 2003 « Lara Croft Tomb Raider le Berceau de la Vie », un nouvel opus centré sur la très fameuse boîte de Pandore aux abords du Kilimandjaro. Sitôt passé l’explication, le film prend rapidement un air à la Indiana Jones, alternant scènes d’action spectaculaires et énigmes casse-tête. S’il n’est pas d’une originalité grandissante, Jan De Bont (« Speed », « Twister ») donne à son long-métrage beaucoup de fraicheur et d’assurance, le tout orchestré par un Alan Silvestri en quête de renouveau. Intéressant sans être passionnant, ce Lara Croft vaut également pour ses seconds rôles attrayants à l’image de Djimon Hounsou et Simon Yam qui sont concernés par leur sujet. Et cela ne peut faire que plaisir à voir.
darkvash
Aprés l'excellentissime premier opus, revoila Lara Croft. Je vais faire bref, rien de neuf, premiere scéne elle arrive en jet ski, fait un salto qui sert à rien. Plus tard, elle est à moto et fait des sauts comme si elle avait 14 ans, les effets spéciaux sont degueulasses, même pour l'époque, le scénario d'une nullité affigeante et lara semble avoir perdu deux bonnets dans le soutien gorge (si si, vu les deux films à la file), mais cela releve du détail.
J'ai oublié de dire que la belle semble, entre le premier et le deuxieme opus, parler toutes les langues du monde. Elle est pas belle la vie.
Allez, j'espere que le reboot fera table rase sur ces deux belles daubes.
J'ai oublié de dire que la belle semble, entre le premier et le deuxieme opus, parler toutes les langues du monde. Elle est pas belle la vie.
Allez, j'espere que le reboot fera table rase sur ces deux belles daubes.
Coté explorateurs, Angelina Jolie a un charme bien plus plaisant que son alter ego masculin Harrison Ford dans Indiana Jones. Toutefois, l'héroïne de Tomb Raider ne dispose pas d'un scénario d'aussi bonne qualité et surtout de scènes aussi culte que son rival. Ce deuxième épisode de l'héroïne de la saga vidéo-ludique vaut donc plus pour la plastique de son interprète que pour la qualité homographique de l'œuvre. Toutefois, le tout se laisse suivre si on ne cherche pas à rechercher une cohérence dans tout ça, oui n'oublions pas que c'est un jeu vidéo à la base, le but est de divertir, de mettre quelques séquences d'actions au milieu d'une pseudo intrigue mythologique et pour le cout, c'est réussi !
Cette suite est meilleure que le premier en tout points. La mise en scène de Jan de Bont est plus sobre, l'action est mieux gérée et les décors exotiques sont enfin exploités. Angelina Jolie apporte un peu plus de nuance à son personnage et son duo avec Gerard Butler fonctionne pas mal. L'histoire est proche du premier Indiana Jones avec un méchant digne des films James Bond. Rien de très original cependant, il y a quelques baisses de régime à certains moments, mais dans l'ensemble c'est un divertissement correct. (Pas mal)
le premier volet de la saga Tomb Raider était déjà très moyen et se second volet et encore pire car pour un film d'action et d'aventure il n'y a que très peu de scène d'action au total dans tous les films il doit y avoir que 10 minutes à peu près d'action ce qui est faible voir trop faible pour un film d'action et d'aventure.
Le scénario est quant à lui très faible il se passe pratiquement rien pendant le film on s'ennuie on trouve le temps long même certains acteurs sont mauvais Angelina Jolie n'importe rien au rôle de Lara Croft à part ça plastique qui est jolie et agréable à regarder mais ce n'est pas ce qu'on recherche dans un film d'action la principale trame mets du temps à arriver.
Le scénario est quant à lui très faible il se passe pratiquement rien pendant le film on s'ennuie on trouve le temps long même certains acteurs sont mauvais Angelina Jolie n'importe rien au rôle de Lara Croft à part ça plastique qui est jolie et agréable à regarder mais ce n'est pas ce qu'on recherche dans un film d'action la principale trame mets du temps à arriver.
MaCultureGeek
Si vous pensiez, la sueur au front, que l'on ne pouvait pas faire pire que Lara Croft : Tomb Raider, laissez moi vous dire, non sans douleur, que vous aviez tord. Car si le film d'origine avait ses défauts et son charme de nanar invétéré, cette suite garde tout ce qui y était si désastreux, perdant ce côté débile involontaire qui était terriblement jouissif. Le changement de réalisateur y est, je pense, pour beaucoup. La mise en scène, autrefois très mauvaise et clipesque, tombe ici dans les tréfonds les plus obscurs du téléfilm bon marché ( sans en être un, en plus ). Ca sent, ça refoule, ça pue le film sans budget, l'oeuvre opportuniste faite avec trois sous pour récolter quatre clopinettes. Un film mort-né que celui-ci, un échec avant même qu'il ne sorte. En commençant la franchise par Lara Croft : Tomb Raider, y'avait pas moyen d'espérer le succès, pour cette suite ( critique, du moins ). L'oeuvre était foutue à la seule présence de Lara Croft dans le titre. Pas un brin plus fidèle aux jeux que le film de base, encore plus idiot et gras, celui-ci se complet dans sa propre médiocrité comme Uwe Boll dans le mauvais goût. Se croyant suffisamment bon pour enchaîner clichés sur clichés, pour nous amener tellement d'idioties qu'on est rapidement incapable de les compter, ce "Berceau de la vie" donne plutôt naissance à un divertissement mort né ( comme annoncé plus haut ). Laid et complètement idiot, douteux et répugnant, ce nouvel opus marque la fin d'une saga que l'on désirait; la fin des haricots, certes, mais le début de notre bonheur à tous. La fin de cette monstruosité filmique que nous livra, non sans manque de talent, l'étrange Simon West, pourtant bon réalisateur de film d'action. La fin du massacre, la fin de l'insulte aux fans. La fin de l'action remplaçant les phases d'exploration, de la connerie la plus désopilante prenant le pas sur la réflexion aventurière. Car rien n'est bon dans cette duologie désastreuse. Écriture insupportable, scénario inepte, dialogues idiots, acteurs à la ramasse ( encore qu'on remarquera, non sans surprise, la prestation étonnante de Gérard Butler, bon jusque dans les films les plus mauvais ), mise en scène laide et sans aucun style ( ayant encore moins de personnalité que celle de Simon West ), bande-son techno/rock nauséabonde et combats clipesque, gerbants et répétitifs vous y attendront. Qu'en est-il donc des phases d'exploration? Dites-vous bien que je les cherche encore...
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