Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Gallo est sur la route. En chemin, il poursuit l'inlassable chimère, continue à sa manière et avec toute l'innocence de son regard électrique l'immense tâche d'un cinéma moderne ouvert à l'insoluble -la recherche de l'image perdue.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Nul doute, Vincent Gallo a puisé dans ce que le pouvoir d'évocation et d'incarnation spécifique au cinéma a de plus intense et témoigne - à l'instar d'un Gus Van Sant et d'un Monte Hellman - que si les grands espaces américains se prêtent naturellement à un cinéma d'action et de conquête.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
D'un niveau planant jamais démenti, stratosphérique tout le temps, d'un désespoir et d'une violence intime dépassant la raison, fou de solitude et amer, fier autant que minable, l'opus Gallo ne touche jamais terre.
Télérama
par Louis Guichard
Vincent Gallo se filme en loser magnifique, dans un road-movie sauvage sans mode d'emploi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
(...) ce film poignant sur la panne des êtres autopsie le spleen dans ce qu'il a de plus terriblement universel. Cet élixir, précieux à une heure de standardisation extrême, agit comme un poison doucereux. Plus on y repense, plus il prend de la valeur.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
The Brown Bunny c'est du cinéma, un documentaire sur le chaos des comportements, la fatigue, l'obsession, l'impudeur, la misère sexuelle (...). Un poème sur un homme inconsolable. Inadapté. Déraisonnable.
Positif
par Eric Derobert
Comm il y a des westerns crépusculaires annonçant la mort sans fin du western, The Brown bunny est un road movie crépusculaire qui ne sera évidemment pas le dernier.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Nicolas Schaller
A force de franchise radicale (masturbation nombriliste, diront certains) ce poème intime, bercé par de splendides chansons folk, se mue en un voyage hypnotique et poignant dans la peau d'un artiste hors norme. Seul contre tous.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Vicent Gallo a préféré se replier sur lui-même. Mais, dans son monde, on a clairement peu de place, sinon celle de l'admirateur transi. Qu'il laisse la porte entrouverte pour laisser entrer les autres (...), et son cinéma risque bien d'être dévastateur.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Le second film de Vincent Gallo est extrêmement déroutant (...). Et même si ce nouveau film ne possède pas la force de BUFFALO 66, il reste le regard touchant d'un écorché vif sur l'amour, la vie et la mort. Un propos sans fausse pudeur, auquel on peut rester totalement insensible mais qui mérite au minimum le respect.
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Un film personnel, faussement glamour mais habité par une souffrance véritable.
Brazil
par La Rédaction
Vincent Gallo par Vincent Gallo, deux heures de branlette interminable. Deviendra sans doute rapidement culte comme le film le plus nombriliste et stupide de l'histoire du cinéma...
Chronic'art.com
Gallo est sur la route. En chemin, il poursuit l'inlassable chimère, continue à sa manière et avec toute l'innocence de son regard électrique l'immense tâche d'un cinéma moderne ouvert à l'insoluble -la recherche de l'image perdue.
Les Inrockuptibles
Nul doute, Vincent Gallo a puisé dans ce que le pouvoir d'évocation et d'incarnation spécifique au cinéma a de plus intense et témoigne - à l'instar d'un Gus Van Sant et d'un Monte Hellman - que si les grands espaces américains se prêtent naturellement à un cinéma d'action et de conquête.
Libération
D'un niveau planant jamais démenti, stratosphérique tout le temps, d'un désespoir et d'une violence intime dépassant la raison, fou de solitude et amer, fier autant que minable, l'opus Gallo ne touche jamais terre.
Télérama
Vincent Gallo se filme en loser magnifique, dans un road-movie sauvage sans mode d'emploi.
aVoir-aLire.com
(...) ce film poignant sur la panne des êtres autopsie le spleen dans ce qu'il a de plus terriblement universel. Cet élixir, précieux à une heure de standardisation extrême, agit comme un poison doucereux. Plus on y repense, plus il prend de la valeur.
Le Monde
The Brown Bunny c'est du cinéma, un documentaire sur le chaos des comportements, la fatigue, l'obsession, l'impudeur, la misère sexuelle (...). Un poème sur un homme inconsolable. Inadapté. Déraisonnable.
Positif
Comm il y a des westerns crépusculaires annonçant la mort sans fin du western, The Brown bunny est un road movie crépusculaire qui ne sera évidemment pas le dernier.
Première
A force de franchise radicale (masturbation nombriliste, diront certains) ce poème intime, bercé par de splendides chansons folk, se mue en un voyage hypnotique et poignant dans la peau d'un artiste hors norme. Seul contre tous.
Aden
Vicent Gallo a préféré se replier sur lui-même. Mais, dans son monde, on a clairement peu de place, sinon celle de l'admirateur transi. Qu'il laisse la porte entrouverte pour laisser entrer les autres (...), et son cinéma risque bien d'être dévastateur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Le second film de Vincent Gallo est extrêmement déroutant (...). Et même si ce nouveau film ne possède pas la force de BUFFALO 66, il reste le regard touchant d'un écorché vif sur l'amour, la vie et la mort. Un propos sans fausse pudeur, auquel on peut rester totalement insensible mais qui mérite au minimum le respect.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un film personnel, faussement glamour mais habité par une souffrance véritable.
Brazil
Vincent Gallo par Vincent Gallo, deux heures de branlette interminable. Deviendra sans doute rapidement culte comme le film le plus nombriliste et stupide de l'histoire du cinéma...