Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Moyen métrage coup de poing, basé sur les souvenirs du vrai policier qui participa à cet interrogatoire, le film de Bernard Boespflug ne prétend pas donner des leçons, juste rappeler que nul n'est censé ignorer la loi.
Cine Libre
par Jean-Max Méjean
Un bel exemple, à travers des faits réels mais romancés, d'incitation à la réflexion citoyenne et civique à une époque où l'on en parle beaucoup mais où les prises de conscience ne sont pas vraiment encouragées par peur sans doute de dénoncer un système qui fonctionne de manière occulte et touche tous les rouages de la société.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'Humanité
par Michaël Melinard
(...) la mise en scène épurée, proche du polar psychologique " à la française ", mélange avec bonheur la couleur et le noir et blanc. Et il y a aussi Marseille, ville souvent associée au grand banditisme par le cinéma, la littérature et l'actualité. Première plongée dans la fiction du cinéaste, ce court métrage d'une richesse étonnante est servi par une distribution impeccable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Alain Grasset
Toutes proportions gardées, nous ne sommes pas loin du traitement américain du Watergate.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
MCinéma.com
par Stéphanie Thonnet
Même s'il souffre par moments d'une théâtralisation excessive, ce film qui se veut une pièce à conviction remplit parfaitement sa mission.
Zurban
par Eric Quéméré
Mais les faits sont ici romancés et, s'éloignant du documentaire, Bernard Boespflug s'inscrit plutôt dans la tradition du film noir, aidé en cela par un excellent trio de comédiens qui donnent à cette garde à vue historique toute son intensité.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Nicolas Schaller
En revanche, les commentaires rétrospectifs des deux flics, sensés être filmés en vidéo par un journaliste télé, alourdissent le propos et réduisent le film à un reportage pour France 3 Régions. Entre télé et ciné, Boespflug aurait dû choisir.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
(...) la mise en scène, à la fois trop théâtrale et trop statique, est datée, et le propos, déjà bien usé. Reste une belle leçon de civisme, toujours bonne à prendre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les quelques afféteries formelles inutiles et maladroites de la mise en scène se conjuguent à la naïveté d'un projet qui demande finalement peu de choses au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le film se concentre essentiellement sur la force de persuasion des deux flics, force tranquille et démagogique, plus que sur le réel retournement du détenu provisoire, et établit avec lourdeur et complaisance une reconstitution paresseuse, se reposant trop facilement sur les bonnes intentions judiciaires, quasi justicières, de son (et ses) sujet(s).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Laure Croiset
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marine Landrot
Ce huis clos dans les locaux de la police financière tombe à plat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Moyen métrage coup de poing, basé sur les souvenirs du vrai policier qui participa à cet interrogatoire, le film de Bernard Boespflug ne prétend pas donner des leçons, juste rappeler que nul n'est censé ignorer la loi.
Cine Libre
Un bel exemple, à travers des faits réels mais romancés, d'incitation à la réflexion citoyenne et civique à une époque où l'on en parle beaucoup mais où les prises de conscience ne sont pas vraiment encouragées par peur sans doute de dénoncer un système qui fonctionne de manière occulte et touche tous les rouages de la société.
L'Humanité
(...) la mise en scène épurée, proche du polar psychologique " à la française ", mélange avec bonheur la couleur et le noir et blanc. Et il y a aussi Marseille, ville souvent associée au grand banditisme par le cinéma, la littérature et l'actualité. Première plongée dans la fiction du cinéaste, ce court métrage d'une richesse étonnante est servi par une distribution impeccable.
Le Parisien
Toutes proportions gardées, nous ne sommes pas loin du traitement américain du Watergate.
MCinéma.com
Même s'il souffre par moments d'une théâtralisation excessive, ce film qui se veut une pièce à conviction remplit parfaitement sa mission.
Zurban
Mais les faits sont ici romancés et, s'éloignant du documentaire, Bernard Boespflug s'inscrit plutôt dans la tradition du film noir, aidé en cela par un excellent trio de comédiens qui donnent à cette garde à vue historique toute son intensité.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
En revanche, les commentaires rétrospectifs des deux flics, sensés être filmés en vidéo par un journaliste télé, alourdissent le propos et réduisent le film à un reportage pour France 3 Régions. Entre télé et ciné, Boespflug aurait dû choisir.
TéléCinéObs
(...) la mise en scène, à la fois trop théâtrale et trop statique, est datée, et le propos, déjà bien usé. Reste une belle leçon de civisme, toujours bonne à prendre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Les quelques afféteries formelles inutiles et maladroites de la mise en scène se conjuguent à la naïveté d'un projet qui demande finalement peu de choses au cinéma.
Les Inrockuptibles
Le film se concentre essentiellement sur la force de persuasion des deux flics, force tranquille et démagogique, plus que sur le réel retournement du détenu provisoire, et établit avec lourdeur et complaisance une reconstitution paresseuse, se reposant trop facilement sur les bonnes intentions judiciaires, quasi justicières, de son (et ses) sujet(s).
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Ce huis clos dans les locaux de la police financière tombe à plat.