La Felicita, le bonheur ne coûte rien : Critique presse
La Felicita, le bonheur ne coûte rien
Note moyenne
2,7
15 titres de presse
Zurban
Aden
Fluctuat.net
Le Figaro
Le Figaroscope
Positif
Première
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
Cahiers du Cinéma
L'Express
L'Humanité
Les Inrockuptibles
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Zurban
par Véronique Le Bris
Crise de la cinquantaine, résurrection, tout semble déjà vu. Mais l'art de Calopresti est justement de donner naissance à un film très singulier, inattendu, parfois énervant. Lui s'impose ici comme un brillant interprète, de plus en plus attachant.
Aden
par Philippe Piazzo
D'un côté, le récit a l'air d'empiler les scènes préfabriquées pour conduire le héros à penser comme le scénario l'a prévu (et le spectateur sait d'avance où l'on va) ; d'un autre côté, le tâtonnement du héros à l'intérieur de ce cadre trop fixe se confond avec la personnalité du réalisateur, ce qui donne une troublante profondeur à une leçon de vie prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Fluctuat.net
par Agathe Moroval
Ce drame psychologique n'est heureusement pas dénué d'humour, à l'image de la scène d'ouverture où l'on voit Sergio pleurer comme une madeleine devant un reality show. Le film manie habilement l'intrusion du fantastique dans le quotidien de son personnage, et tire parti de ce ton poétique et légèrement décalé. Mais la complexité du scénario ne suffit pas à le rendre profond, et on finit par se lasser des histoires à tiroirs et des flash backs...
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Cette démarche n'est toutefois pas des plus convaincantes : les préoccupations de Sergio demeurent désespérément celles d'un nanti. Restent à ce film une profondeur et un charme certains et le plaisir de retrouver autour de Mimmo Calopresti, qui joue le rôle principal, Vincent Perez, Valeria Bruni Tedeschi, la très belle Franca Neri et Laura Betti, en religieuse.
Positif
par Pierre Eisenreich
Filmé avec soin et plutôt bien dirigé, La Felicita... manque singulièrement de construction (...) La narration n'enfonce que des portes ouvertes (...) Tant de clichés sur une destinée humaine devenue surannée apparaissent comme une forme de démission dans l'Italie actuelle vidée de ses valeurs politiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Hugo Deschamps
A trop brasser, Calopresti trop appuie, et la crise existentielle à répétition en agacera plus d'un. Pourtant, le réalisateur dit des choses justes et profondes sur une génération qui a longtemps cherché des prétextes pour ne pas se regarder en face. Et pour ces raisons aussi, La Felicita ne compte pas pour rien
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Cette longue période de rejet, audacieuse dans son insistance à nous faire détester le personnage principal, constitue le meilleur du film, dont le virage progressif au "rose" est beaucoup plus convenu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Mimmo Calopresti dépeint et interprète avec justesse cet architecte qui voudrait bâtir une autre vie et chamboule tout avec un désespoir rebelle. Mais quand il s'agit de définir le vrai bonheur, simple comme un plat de pâtes, la sympathie du propos n'empêche pas qu'on reste sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
La Felicita aligne les clichés douteux (...) dans une forme qui, heureusement (c'est la seule lucidité du film), ne se prend jamais pour du cinéma, plutôt pour du roman-photo filmé.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette dérive d'un architecte qui se révolte contre la vanité et l'égoïsme de la société bourgeoise dans laquelle il évolue reste assez gratuite dans la mesure où la déprime du héros reste dans des limites convenables voire académiques. Du romantisme petit bras. Le cinéma italien est devenu très plan-plan.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Vague existentialisme post-soixante-huitard pour cette dérive lisse et dénuée de style.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
(...) le message manque sensiblement de nuance ; au point que, jalonnée de péripéties prévisibles et fragmentées (la fille sur le pont, l'accident de la route, la soirée bourgeoise, la virée au bord de la mer...), la crise existentielle de Calopresti risque plus de susciter l'agacement que la compassion, l'indifférence que l'adhésion.
Zurban
Crise de la cinquantaine, résurrection, tout semble déjà vu. Mais l'art de Calopresti est justement de donner naissance à un film très singulier, inattendu, parfois énervant. Lui s'impose ici comme un brillant interprète, de plus en plus attachant.
Aden
D'un côté, le récit a l'air d'empiler les scènes préfabriquées pour conduire le héros à penser comme le scénario l'a prévu (et le spectateur sait d'avance où l'on va) ; d'un autre côté, le tâtonnement du héros à l'intérieur de ce cadre trop fixe se confond avec la personnalité du réalisateur, ce qui donne une troublante profondeur à une leçon de vie prévisible.
Fluctuat.net
Ce drame psychologique n'est heureusement pas dénué d'humour, à l'image de la scène d'ouverture où l'on voit Sergio pleurer comme une madeleine devant un reality show. Le film manie habilement l'intrusion du fantastique dans le quotidien de son personnage, et tire parti de ce ton poétique et légèrement décalé. Mais la complexité du scénario ne suffit pas à le rendre profond, et on finit par se lasser des histoires à tiroirs et des flash backs...
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Cette démarche n'est toutefois pas des plus convaincantes : les préoccupations de Sergio demeurent désespérément celles d'un nanti. Restent à ce film une profondeur et un charme certains et le plaisir de retrouver autour de Mimmo Calopresti, qui joue le rôle principal, Vincent Perez, Valeria Bruni Tedeschi, la très belle Franca Neri et Laura Betti, en religieuse.
Positif
Filmé avec soin et plutôt bien dirigé, La Felicita... manque singulièrement de construction (...) La narration n'enfonce que des portes ouvertes (...) Tant de clichés sur une destinée humaine devenue surannée apparaissent comme une forme de démission dans l'Italie actuelle vidée de ses valeurs politiques.
Première
A trop brasser, Calopresti trop appuie, et la crise existentielle à répétition en agacera plus d'un. Pourtant, le réalisateur dit des choses justes et profondes sur une génération qui a longtemps cherché des prétextes pour ne pas se regarder en face. Et pour ces raisons aussi, La Felicita ne compte pas pour rien
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Cette longue période de rejet, audacieuse dans son insistance à nous faire détester le personnage principal, constitue le meilleur du film, dont le virage progressif au "rose" est beaucoup plus convenu.
Télérama
Mimmo Calopresti dépeint et interprète avec justesse cet architecte qui voudrait bâtir une autre vie et chamboule tout avec un désespoir rebelle. Mais quand il s'agit de définir le vrai bonheur, simple comme un plat de pâtes, la sympathie du propos n'empêche pas qu'on reste sur sa faim.
Cahiers du Cinéma
La Felicita aligne les clichés douteux (...) dans une forme qui, heureusement (c'est la seule lucidité du film), ne se prend jamais pour du cinéma, plutôt pour du roman-photo filmé.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Cette dérive d'un architecte qui se révolte contre la vanité et l'égoïsme de la société bourgeoise dans laquelle il évolue reste assez gratuite dans la mesure où la déprime du héros reste dans des limites convenables voire académiques. Du romantisme petit bras. Le cinéma italien est devenu très plan-plan.
Les Inrockuptibles
Vague existentialisme post-soixante-huitard pour cette dérive lisse et dénuée de style.
Libération
(...) le message manque sensiblement de nuance ; au point que, jalonnée de péripéties prévisibles et fragmentées (la fille sur le pont, l'accident de la route, la soirée bourgeoise, la virée au bord de la mer...), la crise existentielle de Calopresti risque plus de susciter l'agacement que la compassion, l'indifférence que l'adhésion.