Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Jours tranquilles à Sarajevo évoque la guerre sans jamais la montrer, par petites touches, à travers cette bande de copains à la fois courageux et désabusés : de longs silences répétés, des regards perdus, l'attente d'un amant dont on n'a pas de nouvelles, l'absence d'un ami disparu... A la fin du film, on aura entraperçu un moment précieux, celui où la vie l'emporte haut la main, coûte que coûte.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Benjamin Esdraffo
On ressent devant ce film le sentiment étrange de ne pas trop savoir de quel pays il est originaire. Ce trouble, loin de faire du film le produit audiovisuel anonyme d'une coproduction internationale (...) confère à Jours tranquilles à Sarajevo une bonne part de son originalité.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Chez Senka et Zan, on boit, on s'inquiète, on rit aussi, avec ce détachement noble et presque aristocrate qu'ont les êtres capables de se transformer en acteurs, non pas seulement d'une pièce, mais aussi de leur propre existence.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Plutôt qu'un film sur la guerre, Jours tranquilles à Sarajevo est un film sur des individus, filmés avec patience, avec un regard et une écoute particulièrement généreux. En refusant toute forme de catégories, en s'interdisant de filmer les morts, le front, de s'attarder sur les ruines, François Lunel réalise une oeuvre politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Sophie Grassin
Il filme en creux les conséquences d'une guerre obstinément off, mais on n'y est en plein.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Isabelle Fajardo
Il signe un étrange film obsessionnel, un détonant mélange d'élégante désinvolture et de sincérité. Résolument du côté de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Ici, F.Lunel la montre à peine. Tout juste entend-on épisodiquement une rafale ou le son du canon. Pourtant, la guerre est bien présente et pesante : une façade criblée d'impacts de balles, des coupures d'électricité, l'absence d'un être cher parti au combat. Si ce choix s'avère intéressant, en revanche le rythme imposé au film, volontairement lent, est contestable. Comme les comédiens, on attend. Eux, à cause des incertitudes liées à la guerre, et nous que ça se termine.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Zurban
par Véronique Le Bris
Prenant prétexte des angoisses d'une jeune comédienne inquiète des absences répétées de son conjoint militaire, François Lunel filme la difficulté de continuer à vivre. Sans réelle émotion ni grande originalité.
Aden
Jours tranquilles à Sarajevo évoque la guerre sans jamais la montrer, par petites touches, à travers cette bande de copains à la fois courageux et désabusés : de longs silences répétés, des regards perdus, l'attente d'un amant dont on n'a pas de nouvelles, l'absence d'un ami disparu... A la fin du film, on aura entraperçu un moment précieux, celui où la vie l'emporte haut la main, coûte que coûte.
Cahiers du Cinéma
On ressent devant ce film le sentiment étrange de ne pas trop savoir de quel pays il est originaire. Ce trouble, loin de faire du film le produit audiovisuel anonyme d'une coproduction internationale (...) confère à Jours tranquilles à Sarajevo une bonne part de son originalité.
Chronic'art.com
Chez Senka et Zan, on boit, on s'inquiète, on rit aussi, avec ce détachement noble et presque aristocrate qu'ont les êtres capables de se transformer en acteurs, non pas seulement d'une pièce, mais aussi de leur propre existence.
Le Monde
Plutôt qu'un film sur la guerre, Jours tranquilles à Sarajevo est un film sur des individus, filmés avec patience, avec un regard et une écoute particulièrement généreux. En refusant toute forme de catégories, en s'interdisant de filmer les morts, le front, de s'attarder sur les ruines, François Lunel réalise une oeuvre politique.
Première
Il filme en creux les conséquences d'une guerre obstinément off, mais on n'y est en plein.
Télérama
Il signe un étrange film obsessionnel, un détonant mélange d'élégante désinvolture et de sincérité. Résolument du côté de la vie.
MCinéma.com
Ici, F.Lunel la montre à peine. Tout juste entend-on épisodiquement une rafale ou le son du canon. Pourtant, la guerre est bien présente et pesante : une façade criblée d'impacts de balles, des coupures d'électricité, l'absence d'un être cher parti au combat. Si ce choix s'avère intéressant, en revanche le rythme imposé au film, volontairement lent, est contestable. Comme les comédiens, on attend. Eux, à cause des incertitudes liées à la guerre, et nous que ça se termine.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Zurban
Prenant prétexte des angoisses d'une jeune comédienne inquiète des absences répétées de son conjoint militaire, François Lunel filme la difficulté de continuer à vivre. Sans réelle émotion ni grande originalité.