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Dans Northfork, l'ennui vient bien des états d'âme des personnages. Et pour une fois, toute la force du film vient du cadre, de la lumière, de la façon de saisir la terre et tous les éléments naturels qui la composent. Comment une vallée pourrait elle s'exprimer autrement ?
La critique complète est disponible sur le site Aden
Les frères Polish ont, par ailleurs, un talent certain pour camper un univers étrange, mais toute cette superbe machinerie tourne à vide, faute d'histoire crédible. Dommage.
Refusant de laisser l'imaginaire enfantin l'habiter, le film cultive une esthétique solennelle à la De Chirico qui convient mal à sa morale toute simple, selon laquelle la poésie vaut mieux que l'industrialisation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce film nous apparaît essentiellement académique et glacial, de même que le génie "visuel" ressemble comme deux gouttes d'eau à de la poésie à quatre sous. Tout est lent, empesé, les Polish se regardant filmer à grands coups d'effets de grue et de surimpressions paysagistes.
Les Américains ne sont jamais si ridicules que lorsqu'ils font leurs poètes, où qu'ils font leurs Européens. La poésie du cinéma américain n'est surtout pas dans cet amas foutraque de clichés immatures.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Les frères Polish, dont c'est déjà le troisième film, persistent à décrire des univers étranges mais totalement dépourvus de substances et de signification. Ici, à défaut d'une histoire, ils sont au moins arrivés à dégager un thème, celui des ange, qu'ils déclinent péniblement sous toutes ses formes imaginables, avant de conclure sur du vide.
La critique complète est disponible sur le site Première
MCinéma.com
Le casting, James Woods en tête, se met au diapason de cette fable lyrique et enchanteresse, qui assume son parti-pris esthétique de bout en bout.
Aden
Dans Northfork, l'ennui vient bien des états d'âme des personnages. Et pour une fois, toute la force du film vient du cadre, de la lumière, de la façon de saisir la terre et tous les éléments naturels qui la composent. Comment une vallée pourrait elle s'exprimer autrement ?
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Poésie surréaliste, revêche au premier abord, ce film lent devient planant si l'on se laisse emporter, guidé par les symboles et la musique légère.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Les frères Polish ont, par ailleurs, un talent certain pour camper un univers étrange, mais toute cette superbe machinerie tourne à vide, faute d'histoire crédible. Dommage.
Le Monde
Refusant de laisser l'imaginaire enfantin l'habiter, le film cultive une esthétique solennelle à la De Chirico qui convient mal à sa morale toute simple, selon laquelle la poésie vaut mieux que l'industrialisation.
Libération
Ce film nous apparaît essentiellement académique et glacial, de même que le génie "visuel" ressemble comme deux gouttes d'eau à de la poésie à quatre sous. Tout est lent, empesé, les Polish se regardant filmer à grands coups d'effets de grue et de surimpressions paysagistes.
Positif
Les Américains ne sont jamais si ridicules que lorsqu'ils font leurs poètes, où qu'ils font leurs Européens. La poésie du cinéma américain n'est surtout pas dans cet amas foutraque de clichés immatures.
Première
Les frères Polish, dont c'est déjà le troisième film, persistent à décrire des univers étranges mais totalement dépourvus de substances et de signification. Ici, à défaut d'une histoire, ils sont au moins arrivés à dégager un thème, celui des ange, qu'ils déclinent péniblement sous toutes ses formes imaginables, avant de conclure sur du vide.
Télérama
Plus que les eaux du lac, c'est cette mièvrerie new age qui finit par engloutir Northfork.