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Votre avis sur Merlin l'enchanteur ?
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"Merlin l'Enchanteur," le 18e classique d'animation de Disney, offre une plongée divertissante dans le monde mythique de la légende arthurienne, bien qu'il ne capture pas entièrement la magie souvent associée aux titres les plus emblématiques de Disney. Réalisé par Wolfgang Reitherman, le film tire son inspiration du premier tome de la tétralogie de T.H. White, avec une adaptation scénaristique par Bill Peet. Malgré son origine prestigieuse, le film navigue dans une mer de contradictions artistiques et thématiques qui reflètent les turbulences de sa production.
D'un côté, "Merlin l'Enchanteur" se distingue par sa qualité d'animation et ses séquences visuellement attrayantes, notamment le duel transformiste entre Merlin et Madame Mim, qui reste un moment phare du film. Ces scènes montrent la force créative du studio avec des transformations pleines d'imagination qui captivent encore le spectateur moderne. La direction artistique de Ken Anderson et l'animation menée par des figures légendaires comme Milt Kahl et Frank Thomas ajoutent une dimension visuelle remarquable, bien que par moments inégale.
Cependant, le film pâtit d'une narration parfois décousue et d'un développement de personnages qui semble superficiel par rapport aux autres œuvres majeures de Disney. Le personnage d'Arthur, bien que central, manque parfois de profondeur, et sa voix, interprétée par trois acteurs différents, peut sembler incohérente, affectant l'immersion du spectateur dans son voyage. Les interventions de Merlin, bien que source de sagesse, basculent parfois dans un anachronisme distrayant, diluant l'impact de ses enseignements.
Musicalement, le film ne parvient pas tout à fait à capturer l'essence mélodique des classiques Disney, malgré les efforts des frères Sherman. Si quelques chansons comme "Higitus Figitus" ajoutent une touche légère et amusante, elles n'atteignent pas la résonance émotionnelle de titres antérieurs ou ultérieurs du studio.
En conclusion, "Merlin l'Enchanteur" est un film qui, malgré ses défauts, possède des moments de brillance grâce à ses prouesses techniques et son approche imaginative de la magie et de la transformation. Ce n'est peut-être pas le film le plus mémorable ou le plus cohérent de Disney, mais il offre suffisamment de charme et d'inventivité pour mériter une place respectée dans l'histoire de l'animation. Il illustre les défis de traduire une légende aussi riche que celle d'Arthur en animation, tout en offrant des aperçus de ce que Disney fait de mieux : émerveiller et divertir.
D'un côté, "Merlin l'Enchanteur" se distingue par sa qualité d'animation et ses séquences visuellement attrayantes, notamment le duel transformiste entre Merlin et Madame Mim, qui reste un moment phare du film. Ces scènes montrent la force créative du studio avec des transformations pleines d'imagination qui captivent encore le spectateur moderne. La direction artistique de Ken Anderson et l'animation menée par des figures légendaires comme Milt Kahl et Frank Thomas ajoutent une dimension visuelle remarquable, bien que par moments inégale.
Cependant, le film pâtit d'une narration parfois décousue et d'un développement de personnages qui semble superficiel par rapport aux autres œuvres majeures de Disney. Le personnage d'Arthur, bien que central, manque parfois de profondeur, et sa voix, interprétée par trois acteurs différents, peut sembler incohérente, affectant l'immersion du spectateur dans son voyage. Les interventions de Merlin, bien que source de sagesse, basculent parfois dans un anachronisme distrayant, diluant l'impact de ses enseignements.
Musicalement, le film ne parvient pas tout à fait à capturer l'essence mélodique des classiques Disney, malgré les efforts des frères Sherman. Si quelques chansons comme "Higitus Figitus" ajoutent une touche légère et amusante, elles n'atteignent pas la résonance émotionnelle de titres antérieurs ou ultérieurs du studio.
En conclusion, "Merlin l'Enchanteur" est un film qui, malgré ses défauts, possède des moments de brillance grâce à ses prouesses techniques et son approche imaginative de la magie et de la transformation. Ce n'est peut-être pas le film le plus mémorable ou le plus cohérent de Disney, mais il offre suffisamment de charme et d'inventivité pour mériter une place respectée dans l'histoire de l'animation. Il illustre les défis de traduire une légende aussi riche que celle d'Arthur en animation, tout en offrant des aperçus de ce que Disney fait de mieux : émerveiller et divertir.
Voir Merlin l'enchanteur, c'est vivre un moment de féerie. C'est se plonger avec joie dans les vieux Disney, où le rire se mêle à la joie, à la surprise, à la découverte. L'étude de l'amour avec les écureuils est un bonheur, tout comme l'apprentissage du monde extérieur dans la peau d'un poisson. Le film passe à la vitesse de l'éclair, même si l'on peut lui reprocher de faire un peu catalogue et surtout, de ne faire vivre à aucun moment une forte intensité dramatique. En somme, c'est un Disney mineur, mais des plus plaisants.
Un disney coloré, drôle, joyeux, magique. On le regarde encore avec plaisir.
Chansons entêtantes, moments absurdes et sourire aux lèvres sont la parfaite définition de ce Disney.
Un pur moment de magie (petit Big up au moment de Merlin l'écureuil qui m'a fait réviser ma physique)
Un pur moment de magie (petit Big up au moment de Merlin l'écureuil qui m'a fait réviser ma physique)
Un bon Disney, "enchanteur" et magique. A voir en famille.
encore une preuve que les Disney sont toujours aussi bien et ne vieillissent pas d'un pouce.
Basé sur la légende du Roi Arthur, Merlin l'enchanteur fait partie de ces excellents disneys de la période entre Cendrillon et La petite Sirène. On y découvre l'enseignement du magicien au petit Arthur alors âgé d'onze ou douze ans, tout maigrichon et malmené par son frère Kay et son père le seigneur Hector. Étant un enfant adopté, c'est lui qui réalise les tâches comme le ménage et la vaisselle. Alors qu'il ne pensait qu'à être écuyer, il va tomber dans la maison de Merlin en forêt et celui-ci va lui enseigner qu'il faut avant tout se servir de sa tête, même (voire surtout) contre les plus grosses brutes. Merlin transformera Arthur ainsi que lui-même en animaux pour lui faire vivre des expériences. Il devra d'abord affronter un énorme brochet sous forme de petit poisson, puis se débrouiller contre une écureuil amoureuse dans les arbres (la séquence où il revient normal est très émouvante quand la petite écureuil se met à pleurer). Il sera aussi métamorphosé en oiseau vers la fin, et c'est Archimède, le petit hibou grincheux de Merlin, qui lui montrera comment voler et échapper à un immense faucon. La magie est présente tout au long du dessin animé et c'est ce qui fait toute sa qualité notamment pendant les chansons. Lorsque Merlin fait ses bagages pour aller au château d'Arthur, il fait voler ses affaires et les rapetisse afin qu'elles rentrent toutes dans son sac ; ce procédé sera d'ailleurs repris dans Mary Poppins deux ans plus tard. La magie opère également pendant la très célèbre scène où les éponges et les balais sont ensorcelés pour laver la vaisselle et le sol tout seuls. Merlin précise bien cependant que si la magie peut être très utile, elle ne résout pas tous les problèmes. La magie est aussi très critiquée par les habitants du château, notamment par le seigneur Hector qui dit assez vite au nez de Merlin et qui ne voit de tels actes que comme de la sorcellerie et des sorts maudits. Les dessins font très vieux mais ont conservé un charme fou et les musiques reflètent bien le merveilleux dont est imprégnée l'aventure. L'humour est également omniprésente : la maladresse de Kay (qui n'arrive pas à frapper Arthur et qui tombe par terre et se prenant les pieds au début puis tout à la fin), les moustaches des seigneurs qui frétillent quand ils sont en colère ou quand du vin tombe dessus, Merlin qui râle souvent et qui coince sa barbe partout, Arthur qui se casse la figure en descendant dans la cuisine, le loup tout maigrichon qui tire de vieilles tronches et qui n'arrive jamais à mordre quoi que ce soit, Archimède et ses gros yeux mécontents qui piaille sans arrêt, les anachronismes omniprésents du fait que Merlin parle de concept qu'il peut voir dans le futur, sans oublier les manières de la méchante Madame Mim, qui a l'originalité de ne se montrer que dans les dernières minutes. Merlin est étourdi et ne se transforme presque qu'en petits animaux à peine offensifs tandis que Mim se met à tricher dès le début de leur duel et se métamorphose en gros animaux à la face souvent hideuse. Bien qu'Arthur soit au centre de l'histoire, Merlin tient quand même un rôle tout aussi important et Excalibur n'apparaît que dans le prologue et à la fin, retirée par Arthur qui devient alors roi. Un dessin animé magique qui fait partie des meilleurs disneys !!
A la fois drôle et pédagogique, Merlin l'Enchanteur offre un grand moment de distraction. De nos jours, dans l'animation, c'est trop souvent que de l'humour (par ailleurs très souvent à deux balles). Et rien de plus. Quand je vois les films d'animations d'aujourd'hui, je constate que malgré leur humour, ils n'apportent pas grand chose. Merlin l'enchanteur possède de l'humour, mais pas de manière abusive. C'est ce que j'appelle un bon dessin animé moraliste, n'ayant rien de cruel et qui nous apporte pas mal de leçons bonnes à retenir. Même le duel de sorcellerie en contient (la taille ne compte pas toujours, c'est l'intelligence qui donne la vraie puissance).
S'il est vrai que Merlin l'Enchanteur n'égale pas sur le plan artistique Cendrillon, Pinocchio ou la Belle au bois dormant, il se révèle brillant dans sa manière de perpétuer l'habituel côté humoristique si particulier des anciens disney. L'animation est parfois d'un niveau vraiment remarquable à travers certains passages comme la scène de rangement des affaires de Merlin, la vaisselle qui se lave toute seule ou encore le fameux duel magique entre Merlin et Mim (une séquence comptant parmi les plus mémorables de l'histoire des dessins animés disney). On note aussi la présence d'anachronismes amusants (inoubliable le moment où Merlin revient de Saint Tropez) et jamais abusés, ce qui n'est pas le cas chez les dessins animés de nos jours.
S'il y a un reproche que je ferais à ce film, c'est que les leçons que Merlin transmet à Arthur ne lui servent finalement à rien. Je présume que ces leçons ne s'adressent pas seulement à Arthur mais aussi aux enfants spectateurs. Mais pour moi, quand dans un film, le héros apprend une leçon, il est important que cette leçon lui soit utile et l'aide par exemple à surmonter une difficulté dans l'intrigue. Or, aucune de ses leçons n'aideront Arthur à devenir roi. C'est à mon sens un défaut, mais qui heureusement ne gâche pas mon appréciation générale du film.
Merlin l'Enchanteur ne fait pas partie des plus grands dessins animés disney, mais il n'en reste pas moins une pièce d'animation très estimable, pleine de bonnes idées et d'intelligence. On n'en fait plus des dessins animés comme ça aujourd'hui.
S'il est vrai que Merlin l'Enchanteur n'égale pas sur le plan artistique Cendrillon, Pinocchio ou la Belle au bois dormant, il se révèle brillant dans sa manière de perpétuer l'habituel côté humoristique si particulier des anciens disney. L'animation est parfois d'un niveau vraiment remarquable à travers certains passages comme la scène de rangement des affaires de Merlin, la vaisselle qui se lave toute seule ou encore le fameux duel magique entre Merlin et Mim (une séquence comptant parmi les plus mémorables de l'histoire des dessins animés disney). On note aussi la présence d'anachronismes amusants (inoubliable le moment où Merlin revient de Saint Tropez) et jamais abusés, ce qui n'est pas le cas chez les dessins animés de nos jours.
S'il y a un reproche que je ferais à ce film, c'est que les leçons que Merlin transmet à Arthur ne lui servent finalement à rien. Je présume que ces leçons ne s'adressent pas seulement à Arthur mais aussi aux enfants spectateurs. Mais pour moi, quand dans un film, le héros apprend une leçon, il est important que cette leçon lui soit utile et l'aide par exemple à surmonter une difficulté dans l'intrigue. Or, aucune de ses leçons n'aideront Arthur à devenir roi. C'est à mon sens un défaut, mais qui heureusement ne gâche pas mon appréciation générale du film.
Merlin l'Enchanteur ne fait pas partie des plus grands dessins animés disney, mais il n'en reste pas moins une pièce d'animation très estimable, pleine de bonnes idées et d'intelligence. On n'en fait plus des dessins animés comme ça aujourd'hui.
Un film d’animation drôle et efficace de Disney avec des personnages attachants, une histoire passionnante et une très bonne animation.
Un Disney de 1963, The sword un the stone, le titre original est plus intéressant que le titre français à mon sens il reflète bien mieux ce film. Beaucoup de choses qui en font un dessin animé attrayant mais je reste mitigé et perplexe, il me manque plusieurs choses. D'abords c'est une rigolade : combat de magie, personnages centraux trop caricaturés ; ensuite un manque d'inspiration, la fin m'a même parue grotesque la première fois que je l'ai vu, avec Merlin qui dit aller à Saint-Tropez. Il n'y a pas ici le souffle que l'on retrouve dans beaucoup de film qui retrace cette légende qui sans devoir être dramatique est ici pas mal saucissonnée dans de la guimauve. De bonne choses, des scènes amusantes qui en font un classique mais je ne souhaite pas être trop indulgent à la réflexion, je ne vois pas dans ce film l'originalité, la ferveur des premiers Disney et pas même de subtilité dans le message transmis..
Encore un Walt Disney à critiquer. Je pense que ma critique ne sera pas longue. Bon, vu les dessins animés de nos jours, ce Walt Disney reste assez basiques au niveau dessins mais c’est normal on est en 1964. Un dessin animé qui restera dans l’ensemble bon et agréable à regarder même si il n’est pas aussi original que ça. Les séquences avec les métamorphoses sont très sympas, c’est le meilleur passage du dessin animé. J’ai apprécié également l’humour qu’on retrouve au château ainsi que Merlin un peu disjoncté. Bref encore un happy end mais c’est normal, c’est fait pour les enfants à la base même si les parents apprécient. En résumé ce n’est pas exceptionnel mais sa reste regardable, surtout pour les enfants.
Mon dessin animé depuis toujpurs, et même encore maintenant. Une belle histoire, scenario plaisant, de superbes personnages, (Archimède et Madame Mime en tête). même si bien sur, niveau animation et réalisation ça a énormément vieillit, c'est un dessin animé bourré de charme, des dialogues parfois très drôles. Je le répète, mon dessin animé préféré. J'adore!!!
Un pur chef d'oeuvre de plus pour Disney. Ce merlin enchanteur et magique est époustouflant de par la qualité du scénario et de l'animation du début à la fin.
Alors la je ne dis pas que le dessin animé est forcément nul,mais déjà il est très vieux et mal fait.Sinon les enfants pourraient croire en la magie,la crédibilité en prend un coup!Bref tout est dit.
J'ai vu ce long métrage de dessin animé à sa sortie où je fus emballé. Un produit Disney moins soigné que la Belle au bois dormant de 1959. Un produit cherchant à renouveler le graphisme en suivant la technique de l'époque, en copiant un peu sur le style UPA (Mister Magoo), avec la naïveté bien américaine faisant un coucou à Brigitte Bardot et Saint Tropèze ! en un mauvais goût que seuls les Anglo-saxons savent manipuler...
Dommage que la fin semble bâclé, comme si le patron Walt n'avait plus assez d'argent, où qu'il avait hâte de mener à bien d'autres projets.
Dommage que de tels talents qui composaient l'industrie Disney n'ait pas été mieux employés ; pourtant, héritiers de leurs grands-parents pionniers, les Américains sont les maîtres de l'organisation. Vraiment dommage ce gâchis de talents. Vraiment dommage cette manie de tout stéréotyper pour faire avaler la soupe à tout le monde.
Dommage que la fin semble bâclé, comme si le patron Walt n'avait plus assez d'argent, où qu'il avait hâte de mener à bien d'autres projets.
Dommage que de tels talents qui composaient l'industrie Disney n'ait pas été mieux employés ; pourtant, héritiers de leurs grands-parents pionniers, les Américains sont les maîtres de l'organisation. Vraiment dommage ce gâchis de talents. Vraiment dommage cette manie de tout stéréotyper pour faire avaler la soupe à tout le monde.
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