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Charlotte28
125 abonnés
2 013 critiques
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2,0
Publiée le 16 avril 2020
Vieilli dans ses dessins et assez répétitif dans son récit d'initiation, ce dessin animé conserve tout de même un attrait par sa revisite du mythe d'Arthur ainsi que par quelques touches magiques, rendant ainsi les scènes du déménagement et de la compétition de sorciers mémorables. J'avoue avoir été gênée pour ne pas dire dérangée par la très longue séquence du harcèlement des écureuils. Et bien sûr les expressions latines sont absolument incorrectes!
La légende du roi Arthur, revisitée par Disney. Merlin y est un enchanteur en avance sur son temps et il va apprendre à Arthur à se servir de sa tête et à ressentir les choses. En commençant par le transformer en poisson, en écureuil, en oiseau, lui apprendre l'alphabet. Son côté un peu fou et surtout Archimède et Madame Mime me feront toujours rire.
Le jeune Arthur, un garçon voulant devenir écuyer, est repéré par l'enchanteur bienfaisant Merlin, qui décide d'en faire son protégé. Le défaut principal de "The Sword in the Stone" est une narration un peu faible, et parfois répétitive (les séances d'enseignement de Merlin sont un peu trop similaires), ainsi qu'un final assez rapidement expédié. Mais mise à part ces éléments, il s'agit d'un récit initiatique sans temps mort, bourré d'humour et de bonnes idées, qui tacle l'obscurantisme du Moyen-Age, et prêche l'importance de l'éducation devant l'action. Le garçonnet maladroit Arthur est attachant, tandis que Merlin est un magicien plein de ressources et imprévisible. L'animation est très soignée pour l'époque, avec notamment un duel de sorciers très dynamique, ou un loup affamé récurrent désopilant. Un bon cru de Disney.
Libre adaptation de la légende arthurienne, Merlin l'Enchanteur fit l'objet d'un développement des plus embrouillés. Walt Disney ne croyait guère à la transposition du livre de Terence Hanbury White, qui le transforme en fable morale sur l'importance du savoir et la menace de l'obscurantisme. Au final, le film déstabilise par une structure très étrange, offrant peu (voire pas) d'évolutions à ses personnages. Au vu des diverses épreuves que doit affronter le jeune Arthur (qu'il s'agisse d'adversité ou de sexualité), Merlin l'Enchanteur avait toute latitude pour une progression dramaturgique. Il n'en est rien ici, les personnages restent unidimensionnels d'un bout à l'autre. Ce qui participe à un certaine déception. Dur d'accrocher à des enjeux quand ils sont aussi minces. Heureusement, cette (grosse) faiblesse est compensée par un joli dosage entre humour et magie. Subvertissant légèrement les attentes, le scénariste Bill Peet fait de Merlin un comic relief étourdi et bougon, laissant le rôle du sage à son oiseau Archimède. Ce qui donne lieu à certains dialogues pittoresques, voyant le magicien s'emmêler dans les époques et inventions, offrant son petit lot d'anachronismes rigolos. Merlin l'Enchanteur est à part, indiscutablement. Son approche atypique l'éloigne des Disney conventionnels mais son exécution est trop faiblarde pour les dépasser.
L'un des nombreux longs métrages d'animation Disney qui ont émaillé mon enfance et probablement l'un de mes préférés. Dans la veine très jazzy des studios pendant les années 60 comme "Les aristochats" par exemple, une quête initiatique très drôle, truculente qui repose essentiellement sur une relation irrémédiablement positive père-fils entre Merlin l'enchanteur et son apprenti, Arthur "Moustique" pour, en même temps, offrir une variation comique sur le légendaire roi Arthur. Une technique d'animation qui a certes beaucoup vieilli mais qui demeure parfaitement magnétique grâce à un excellent travail sur les couleurs chatoyantes. Une mise en scène plutôt bien amenée mais qui n'évite pas quelques petites longueurs et une réflexion un peu manichéenne, politiquement correcte sur le leadership ou l'instruction face à la force brute. Peut-être pas le connu des films Disney mais une belle référence en la matière.
Un des grands classiques Disney, mémorable et à l'histoire inventive. "Merlin l'enchanteur" revisite pour les petits et grands la légende du roi Arthur, avec humour et inventivité. Ce dessin animé n'a (presque) pas pris une ride, surtout quand on garde en mémoire les musiques entêtantes de Merlin, toujours aussi amusantes.
C'est toujours un plaisir de revoir ces vieux dessins animés de chez Disney qui ont bercé mon enfance, le cas avec "Merlin l'enchanteur" sortit en 1963. Bon, il faut avouer que la technologie a avancer de cette période à nos jours, notamment chez les studios Pixar et Dreamworks avec la 3D, le charme d'autrefois est toujours présente. Le sorcier Merlin voit le destin futur en un petit garçon nommé Arthur en compagnie de sa chouette Archimède. L'épée du futur roi est bloqué dans un monument dont plusieurs personnes ont essayer de le sortir sans succés. Le sorcier joue avec des tours de magie avec le jeune homme se transformant en poisson ou en écureuil pour l'inicier. Ce film a une mise en images qui n'a pas du tout vieillit. Les enfants et les dultes nostalgiques y trouveront le plaisir à visionner ce dessin animé qui est divertissant.
Merlin l’enchanteur est trop vite oublié quand on parle des classiques de Disney. Et pourtant, il était vraiment bon. Centré sur l’éducation d’Arthur par Merlin, on va suivre avec émerveillement les différentes péripéties qui jalonnent ce récit. Entrée la sucrière qui ne s’arrête jamais et la méchante sorcière, ennemie de Merlin, tous les personnages méritent d’être suivis. 4/5
22ème long-métrage d'animation de Disney, sorti à une période où le studio se désintéressait un peu de l'animation pour se concentrer sur les films en live action ou sur son parc d'attraction, "Merlin l'enchanteur" a été un succès très relatif (4,5 millions de dollars au box-office).
Je l'avais vu petit mais il ne m'avait pas vraiment marqué, hormis une scène où Merlin fait rentrer toute sa maison dans un sac de voyage et qui est une scène plutôt gaie. Le reste, je n'en avais pas vraiment souvenir.
J'ai dû probablement oublier ces scènes car elles ne m'avaient pas forcément intéressé à l'époque, pas plus que le film n'a réussi à retenir mon attention aujourd'hui. A vrai dire, j'ai l'impression que le scénario est très vide : Merlin se charge de l'éducation d'un serviteur dans un château. Cette dernière phrase, ce n'est pas le concept du film, c'est son histoire. Elle se résume à cela.
Une coquille vide ? Oui, selon moi. Mais une jolie coquille vide car l'animation et la colorisation sont réussies. Quelques scènes montrent un vrai savoir-faire et une envie de proposer quelque chose de joyeux. Malheureusement, ils ne parviennent pas vraiment à leur but.
"Merlin l'enchanteur" me semble particulièrement vain. Et le doublage français catastrophique donne clairement l'impression d'une improvisation sur certains points. La seule chose qui me semble avoir été réellement travaillée dans ce long-métrage, c'est l'animation. C'est la seule chose qui justifie de rester jusqu'au bout. Dommage.
Chef doeuvre de Disney, les personnages sont tellement attachants, histoire avec de belles valeurs malgré le fait qu'il ait pris un coup de vieux, cela reste un très grand classique de Disney.
Merlin, un magicien, décide de s’occuper de l’éducation de Moustique / Arthur, qui rêve d’être écuyer. L’histoire est originale, le thème de l’apprentissage est intéressant. Cela donne l’occasion à Merlin de faire découvrir au jeune garçon la vie de poisson, d’écureuil ou d’oiseau, et a pour objectif de lui montrer que c’est avec de la réflexion qu’il parviendra à se sortir de toutes les situations. Il y a de l’humour et de bonnes trouvailles visuelles avec les tours de Merlin (la vaisselle ou les objets qui entrent dans son sac en les rapetissant quand il fait ses bagages), les parallèles avec les inventions actuelles, anachroniques avec le Moyen Age du récit ou encore les remarques ronchonnes du hibou Archimède. Une scène particulièrement savoureuse : le duel entre Merlin et Madame Mim qui se changent tour à tour en plusieurs animaux. Peut-être que l’histoire manque un peu de rebondissements, mais ça reste un bon dessin animé.
Un bon petit Disney malgré encore un fois leur chanson , mais la légende du roi Arthur celle de merlin et excalibur sont ici revisiter pour les enfants et cela fonctionne plutôt bien , on se prête au jeu , les petit devrait apprécier pas mal de passage , les couleur et les personnage sont plutôt réussi pour l'époque même si aujourd'hui on ce rend vite compte que le film a très mal vieilli malgré tout en terme de qualité d'image. quelque scène drôle et plaisante de la magie cela devrait plaire au fan de la légende du célèbre roi Arthur et des période médiéval.
résumer : Le jeune Moustique, 12 ans, rencontre un jour l'enchanteur Merlin, qui décide de faire son éducation. Ensemble, ils partent pour Londres, où a lieu un grand tournoi de chevalerie, dont le vainqueur sera proclamé roi d'Angleterre; à moins que quelqu'un ne parvienne à arracher l'épée de l'ancien roi, figée dans une enclume...
Les studios Disney ont adapté à leur sauce la légende du roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde avec pour personnage central, le magicien (déluré) Merlin. L'apprentissage et la quête d'identité de celui qui deviendra plus tard le fameux roi Arthur, voilà ce qui nous attend avec Merlin l'enchanteur (1964), une avalanche de magie, d'humour et d'amour (l'adorable séquence des écureuils !). Un parcours initiatique alternant entre deux mondes, enchanteur et sinistre, tout en étant beaucoup plus drôle et envoûtant que son successeur Taram et le Chaudron magique (1985). Plus de quarante ans après sa création, ce chef d'oeuvre des studios Disney n'en finit plus de nous faire rêver et de nous émerveiller, c'est ça aussi la magie Disney, perpétuer la magie du rêve, que l'on soit grand ou petit !
J’aime beaucoup les dessins-animés des studios Disney de cette époque. Finalement je trouve que ce sont ceux qui ont le plus de caractère dans leur dessin et le plus de modernité dans leur propos. Savoir être léger et naïf sans être ringard et vieux jeu, je pense qu’effectivement c’est une qualité qui ne manque que trop aux Disney des années 80, 90 et 2000 et dont ce « Merlin » dispose. Comme quoi, il arrive des fois où ça a du bon de revenir aux sources…