Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Première
par Nicolas Schaller
Dommage que la paresse de la mise en scène handicape à ce point cette description d'une névrose peu commune.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Souvent maladroit mais toujours sincère (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Pour son premier film comme réalisatrice, Carole Laure prend un maximum de risques, en explorant, à la lisière du réalisme et du conte, le mal-être, indicible, de ces blessés affectifs. Sans inhibition, elle pratique un cinéma brut, à cru, calqué sur les élans spontanés de ce quintette déglingué. Marie a sans doute trop de "cas" à traiter pour que son lien avec chacun ne soit un peu sommaire. Mais les émotions sont à vif (comme son interprétation) et traduisent l'évidente sincérité de la démarche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Cette très mauvaise idée donne une aussi mauvaise idée de scénario et, fatalement, un film tout aussi absurde où se succèdent quelques personnages désaxés en une suite de sketches psychanalytico-sentimentaux très peu crédibles.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Errance narrative, autocélébration de l'actrice en mère généreusement putative et psychologie de bazar président à la suite des événements.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Un tel engagement mérite le respect, mais le cordon ombilical entre le film et le spectateur a été coupé quelque part, et bien trop vite. Le sujet principal, le manque affectif, n'est pas en cause. Les autres thèmes abordés (...) non plus. Cette volonté d'évoquer des sujets graves, à risques, dans un premier film, attire même la sympathie. Pourtant, l'ensemble ne colle pas, même si on doit le prendre comme un conte et non comme un drame réaliste.
Zurban
par Véronique Le Bris
Sur un sujet touchant, original et osé, Carole Laure, qui signe ici sa première réalisation, peine à convaincre. Surtout quand elle se met elle-même en scène avec tant d'ostentation. Avec une maîtrise plus rigoureuse et une acuité du regard plus sensible, ce petit film aurait pu faire sensation.
Première
Dommage que la paresse de la mise en scène handicape à ce point cette description d'une névrose peu commune.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Souvent maladroit mais toujours sincère (...).
Télérama
Pour son premier film comme réalisatrice, Carole Laure prend un maximum de risques, en explorant, à la lisière du réalisme et du conte, le mal-être, indicible, de ces blessés affectifs. Sans inhibition, elle pratique un cinéma brut, à cru, calqué sur les élans spontanés de ce quintette déglingué. Marie a sans doute trop de "cas" à traiter pour que son lien avec chacun ne soit un peu sommaire. Mais les émotions sont à vif (comme son interprétation) et traduisent l'évidente sincérité de la démarche.
Aden
Cette très mauvaise idée donne une aussi mauvaise idée de scénario et, fatalement, un film tout aussi absurde où se succèdent quelques personnages désaxés en une suite de sketches psychanalytico-sentimentaux très peu crédibles.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Errance narrative, autocélébration de l'actrice en mère généreusement putative et psychologie de bazar président à la suite des événements.
MCinéma.com
Un tel engagement mérite le respect, mais le cordon ombilical entre le film et le spectateur a été coupé quelque part, et bien trop vite. Le sujet principal, le manque affectif, n'est pas en cause. Les autres thèmes abordés (...) non plus. Cette volonté d'évoquer des sujets graves, à risques, dans un premier film, attire même la sympathie. Pourtant, l'ensemble ne colle pas, même si on doit le prendre comme un conte et non comme un drame réaliste.
Zurban
Sur un sujet touchant, original et osé, Carole Laure, qui signe ici sa première réalisation, peine à convaincre. Surtout quand elle se met elle-même en scène avec tant d'ostentation. Avec une maîtrise plus rigoureuse et une acuité du regard plus sensible, ce petit film aurait pu faire sensation.