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Il faut voir ces enfants reprendre malgré l'horreur le chemin de l'école et cette institutrice reprendre sa craie. Un autre film s'ouvre, le prochain de la réalisatrice, le prochain de l'Algérie. Ce n'est pas du grand cinéma, c'est de l'inoubliable, tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Le film se clôt sur l'image d'un groupe d'enfants survivants qui repartent pour l'école. Point d'interrogation qui voudrait avoir pour réponse l'espoir... Maladroit sans doute, ce coup d'essai est pourtant un bien beau film !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Yamina Bachir filme la femme algérienne, belle, valeureuse, faisant front, et réalise un film brillant et courageux, un " hymne à la paix, à la tolérance, et au courage de tous les ‘anonymes' ".
Si elle s'attache longuement, tendrement à ses personnages, Rachida volontaire et blessée, sa mère douce et forte (Ibtissem Djouadi et Bahia Rachedi, toutes deux exceptionnelles), elle leur insuffle aussi sa révolte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C'est moralement inattaquable, mais les bons sentiments n'excluent pas la maladresse. A trop vouloir faire "passer le message", la réalisatrice surdose le drame par des dialogues gauches et redondants, avec des comédiens inégalement dirigés. Reste que la peinture réaliste de la société algérienne fait froid dans le dos. Difficile de rester insensible devant ce véritable hymne à la paix.
Pis encore, cet échec enlève au potentiel de sympathie dont bénéficiait a priori Rachida. On touche là la profonde injustice qui préside aux entreprises artistiques. Exprimé à travers un reportage télévisé (et rien ne permet de douter de la vraisemblance parfaite des faits que rapporte le film), le propos du film de Yamina Bachir-Chouikh serait resté intact quelles qu'aient été les maladresses de son expression. Ici, il souffre profondément d'une mise en scène qui jamais ne parvient à s'élever à une altitude suffisante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les bonnes intentions ne résistent pas à l'excès de dramatisation (...). Nul besoin de tenir le spectateur par la main pour susciter son indignation. Au contraire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Africultures.com
Il faut voir ces enfants reprendre malgré l'horreur le chemin de l'école et cette institutrice reprendre sa craie. Un autre film s'ouvre, le prochain de la réalisatrice, le prochain de l'Algérie. Ce n'est pas du grand cinéma, c'est de l'inoubliable, tout simplement.
Cahiers du Cinéma
Quelle possible imagination au coeur de tels drames ? Rachida, premier film de Yamina Bachir-Chouikh (...), comble ce vide de belle manière.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Rachida est un bel hymne au courage, à la tolérance et à la paix.
Le Parisien
Le scénario est parfois trop appuyé, mais on n'a pas le coeur à lui reprocher.
Les Echos
Le film se clôt sur l'image d'un groupe d'enfants survivants qui repartent pour l'école. Point d'interrogation qui voudrait avoir pour réponse l'espoir... Maladroit sans doute, ce coup d'essai est pourtant un bien beau film !
Les Inrockuptibles
Sur le terrorisme algérien, un film courageux et subtil.
MCinéma.com
RACHIDA n'est pas le film d'une féministe au militantisme exacerbé, mais le témoignage juste d'une femme de l'intérieur courageuse.
Obejctif-Cinema.com
Yamina Bachir filme la femme algérienne, belle, valeureuse, faisant front, et réalise un film brillant et courageux, un " hymne à la paix, à la tolérance, et au courage de tous les ‘anonymes' ".
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Exorcisant la douleur, Rachida s'efforce de redonner un nom et un visage aux vicimes.
Télérama
Si elle s'attache longuement, tendrement à ses personnages, Rachida volontaire et blessée, sa mère douce et forte (Ibtissem Djouadi et Bahia Rachedi, toutes deux exceptionnelles), elle leur insuffle aussi sa révolte.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Restent, quand la rhétorique s'apaise un peu, quelques formidables moments dans la rue et les courettes algériennes.
Zurban
C'est moralement inattaquable, mais les bons sentiments n'excluent pas la maladresse. A trop vouloir faire "passer le message", la réalisatrice surdose le drame par des dialogues gauches et redondants, avec des comédiens inégalement dirigés. Reste que la peinture réaliste de la société algérienne fait froid dans le dos. Difficile de rester insensible devant ce véritable hymne à la paix.
Le Monde
Pis encore, cet échec enlève au potentiel de sympathie dont bénéficiait a priori Rachida. On touche là la profonde injustice qui préside aux entreprises artistiques. Exprimé à travers un reportage télévisé (et rien ne permet de douter de la vraisemblance parfaite des faits que rapporte le film), le propos du film de Yamina Bachir-Chouikh serait resté intact quelles qu'aient été les maladresses de son expression. Ici, il souffre profondément d'une mise en scène qui jamais ne parvient à s'élever à une altitude suffisante.
Première
Les bonnes intentions ne résistent pas à l'excès de dramatisation (...). Nul besoin de tenir le spectateur par la main pour susciter son indignation. Au contraire.