Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A ce titre, et à quelques autres, El Bonaerense est tout sauf un film à thèse, mais une oeuvre terriblement incarnée, qui sonde sans l'ombre d'une complaisance le mystère de l'âme humaine à travers les oripeaux d'une chair soumise, par une société pervertie, à toutes les tentations et à tous les excès.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Il faut souligner une interprétation d'ensemble exceptionnelle qui donne une grande épaisseur dramatique à la plupart des micro-événements qui jalonnent le quotidien de cette petite communauté de policiers.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par Marie Mongard
En fin de compte, Zappa n'est ni un brave type ni une ordure. La jungle urbaine ne lui laisse aucun répit ; il ne s'agit plus alors que de survie. Il est juste pris dans la tourmente au mauvais moment et doit tout accepter. Le fatalisme dont il fait preuve est inéluctable. Ce film laisse donc peu d'espoir sinon sur l'avenir d'un cinéaste prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michaël Mélinard
C'est parfois cru, un poil crasseux mais toujours saisissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) voici un film qui indique l'extrême bonne santé du cinéma argentin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Un tableau sans concession, mais aussi sans mélo, presque austère, filmé au plus près de ce que l'on sent bien être la réalité vraie, sans prendre d'autre parti que de montrer des hommes - et une femme, beau personnage, d'ailleurs - aux prises avec une existence. Avec, en prime, un remarquable comédien, Jorge Roman.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Remarquable polar urbain filmé à la hauteur des rues de Buenos Aires.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Dans "El Bonaerense", le réalisateur raconte, avec un regard juste et distancié, l'Argentine policière et corrompue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sophie Grassin
Trapero dénonce avec force la misère matérielle des policiers, leur surmenage constant, leurs méthodes faisandées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Louis Guichard
Le jeune cinéaste est aussi doué pour amorcer un récit que pour restituer, jusque dans la texture des images, la trivialité matérielle des instants, le silence moite d'une insomnie ou celui d'une cellule carcérale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sebastien Chauvin
Sans convaincre entièrement, Trapero n'en est pas moins un auteur à suivre.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Par sa réalisation, EL BONAERENSE est proche du documentaire : le cinéaste nous donne des éléments sur le quotidien des policiers argentins, mais aussi sur l'Argentine actuelle. Au spectateur d'en tirer les conclusions.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
C'est lorsqu'il s'approche de ses personnages que Trapero se révèle le plus convaincant, empêtré qu'il est à faire le grand écart entre cinéma de genres et études de moeurs.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Stéphane Brisset
Ecrasé par la machine policière, brinquebalé d'espoirs en désillusions, le héros d'El Bonaerense se débat sur le fil tendu de l'espoir, porté par une mise en scène qui sait toujours trouver le bon point de vue.
Le Monde
A ce titre, et à quelques autres, El Bonaerense est tout sauf un film à thèse, mais une oeuvre terriblement incarnée, qui sonde sans l'ombre d'une complaisance le mystère de l'âme humaine à travers les oripeaux d'une chair soumise, par une société pervertie, à toutes les tentations et à tous les excès.
Chronic'art.com
Il faut souligner une interprétation d'ensemble exceptionnelle qui donne une grande épaisseur dramatique à la plupart des micro-événements qui jalonnent le quotidien de cette petite communauté de policiers.
Fluctuat.net
En fin de compte, Zappa n'est ni un brave type ni une ordure. La jungle urbaine ne lui laisse aucun répit ; il ne s'agit plus alors que de survie. Il est juste pris dans la tourmente au mauvais moment et doit tout accepter. Le fatalisme dont il fait preuve est inéluctable. Ce film laisse donc peu d'espoir sinon sur l'avenir d'un cinéaste prometteur.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
C'est parfois cru, un poil crasseux mais toujours saisissant.
Le Figaroscope
(...) voici un film qui indique l'extrême bonne santé du cinéma argentin.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Un tableau sans concession, mais aussi sans mélo, presque austère, filmé au plus près de ce que l'on sent bien être la réalité vraie, sans prendre d'autre parti que de montrer des hommes - et une femme, beau personnage, d'ailleurs - aux prises avec une existence. Avec, en prime, un remarquable comédien, Jorge Roman.
Les Inrockuptibles
Remarquable polar urbain filmé à la hauteur des rues de Buenos Aires.
Libération
Dans "El Bonaerense", le réalisateur raconte, avec un regard juste et distancié, l'Argentine policière et corrompue.
Première
Trapero dénonce avec force la misère matérielle des policiers, leur surmenage constant, leurs méthodes faisandées.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le jeune cinéaste est aussi doué pour amorcer un récit que pour restituer, jusque dans la texture des images, la trivialité matérielle des instants, le silence moite d'une insomnie ou celui d'une cellule carcérale.
Cahiers du Cinéma
Sans convaincre entièrement, Trapero n'en est pas moins un auteur à suivre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
MCinéma.com
Par sa réalisation, EL BONAERENSE est proche du documentaire : le cinéaste nous donne des éléments sur le quotidien des policiers argentins, mais aussi sur l'Argentine actuelle. Au spectateur d'en tirer les conclusions.
TéléCinéObs
C'est lorsqu'il s'approche de ses personnages que Trapero se révèle le plus convaincant, empêtré qu'il est à faire le grand écart entre cinéma de genres et études de moeurs.
Zurban
Ecrasé par la machine policière, brinquebalé d'espoirs en désillusions, le héros d'El Bonaerense se débat sur le fil tendu de l'espoir, porté par une mise en scène qui sait toujours trouver le bon point de vue.