Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Par un traitement proche du documentaire et des meilleures séries télé, Peter Sollett évite l'écueil du pensum sociologique.
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Mine de rien, sur le ton léger de la comédie, Peter Sollett montre simultanément la famille comme le lieu d'une pression coercitive exercée sur qui cherche à vivre ses désirs, se transforme à la faveur d'une période importante de sa vie (la puberté), et comme le lieu où l'amour, l'affection peuvent s'épanouir.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est justement parce que ces embûches ne sont pas montées en épingle, sur-dramatisées, qu'on est conquis. Stylistiquement simple, cet équivalent délicat du sulfureux Kids, de Larry Clark, est un modèle à suivre par nos cinéastes français, qui ignorent trop le monde de l'adolescence et sa complexité.
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Dans son premier long-métrage, Peter Sollett sait évoquer avec sensibilité et fantaisie les premiers émois d'un gamin à la recherche de l'amour. Il a su aussi peindre avec justesse les frustrations, les contradictions de l'adolescence, la difficulté de trouver son identité, son équilibre dans l'univers violent d'un quartier de New York.
Le Monde
par Florence Colombani
Caméra à l'épaule, souvent en gros plan, Peter Sollett accompagne ses personnages et les laisse advenir. C'est le secret d'un film qui ne sombre jamais dans les facilités du pittoresque et trouve, entre les murs du petit appartement new-yorkais, une véritable beauté intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
(...) Mais cette réussite repose aussi sur les jeunes interprètes, tous non professionnels, que le réalisateur a su choisir et diriger en utilisant leurs propres personnalités. Et qui tous sont miraculeusement justes. Un très joli film.
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Chronique d'un été new-yorkais, le second film de Peter Solett conte l'initiation sexuelle et sentimentale de quelques ados latinos. Un cinéma en quête de l'essence du réel. Loin de Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Certes, ce n'est pas la première fois, encore moins la dernière, que le cinéma furète du côté de l'adolescence. Quand bien même, la caméra de Peter Sollett est de celles qui méritent un surcroît d'estime et d'attention. (...) Le film ne confond pas sensibilité et sensiblerie pour affirmer une nette sympathie à cette autre Amérique qui carbure au système D.
Obejctif-Cinema.com
par Romain Le Vern
Le film évolue en même temps que ses personnages. Au départ simplistes, ils gagnent tous en ambiguïté, en nuances, en subtilité, pour au final nous ressembler et nous toucher au plus profond.
Première
par Olivier de Bruyn
Avec patience et délicatesse (mais sans la moindre scorie mièvre), Solett révèle les tourments de ces jeunes héros ordinaires. Autant de talents pour un premier film, c'est beaucoup. Vite, la suite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Louis Guichard
Mais il y a aussi la volonté, propre au cinéaste, de trouver une forme, de conduire un récit porteur d'allégresse. Le résultat est une sorte de sitcom idéale, un suave mélange de comédie ethnique et de mélo sans pathos, de sensualité estivale et de ruades juvéniles. (...) Un premier film qui sonne juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique le Bris
Sujet délicat que les amours adolescentes qui flirtent parfois avec le mauvais goût. Mais, la délicatesse est justement une des qualités de ce Peter Sollett (...).
Cahiers du Cinéma
Par un traitement proche du documentaire et des meilleures séries télé, Peter Sollett évite l'écueil du pensum sociologique.
Chronic'art.com
Mine de rien, sur le ton léger de la comédie, Peter Sollett montre simultanément la famille comme le lieu d'une pression coercitive exercée sur qui cherche à vivre ses désirs, se transforme à la faveur d'une période importante de sa vie (la puberté), et comme le lieu où l'amour, l'affection peuvent s'épanouir.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
C'est justement parce que ces embûches ne sont pas montées en épingle, sur-dramatisées, qu'on est conquis. Stylistiquement simple, cet équivalent délicat du sulfureux Kids, de Larry Clark, est un modèle à suivre par nos cinéastes français, qui ignorent trop le monde de l'adolescence et sa complexité.
Le Figaroscope
Dans son premier long-métrage, Peter Sollett sait évoquer avec sensibilité et fantaisie les premiers émois d'un gamin à la recherche de l'amour. Il a su aussi peindre avec justesse les frustrations, les contradictions de l'adolescence, la difficulté de trouver son identité, son équilibre dans l'univers violent d'un quartier de New York.
Le Monde
Caméra à l'épaule, souvent en gros plan, Peter Sollett accompagne ses personnages et les laisse advenir. C'est le secret d'un film qui ne sombre jamais dans les facilités du pittoresque et trouve, entre les murs du petit appartement new-yorkais, une véritable beauté intimiste.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
(...) Mais cette réussite repose aussi sur les jeunes interprètes, tous non professionnels, que le réalisateur a su choisir et diriger en utilisant leurs propres personnalités. Et qui tous sont miraculeusement justes. Un très joli film.
Les Inrockuptibles
Chronique d'un été new-yorkais, le second film de Peter Solett conte l'initiation sexuelle et sentimentale de quelques ados latinos. Un cinéma en quête de l'essence du réel. Loin de Hollywood.
Libération
Certes, ce n'est pas la première fois, encore moins la dernière, que le cinéma furète du côté de l'adolescence. Quand bien même, la caméra de Peter Sollett est de celles qui méritent un surcroît d'estime et d'attention. (...) Le film ne confond pas sensibilité et sensiblerie pour affirmer une nette sympathie à cette autre Amérique qui carbure au système D.
Obejctif-Cinema.com
Le film évolue en même temps que ses personnages. Au départ simplistes, ils gagnent tous en ambiguïté, en nuances, en subtilité, pour au final nous ressembler et nous toucher au plus profond.
Première
Avec patience et délicatesse (mais sans la moindre scorie mièvre), Solett révèle les tourments de ces jeunes héros ordinaires. Autant de talents pour un premier film, c'est beaucoup. Vite, la suite.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Mais il y a aussi la volonté, propre au cinéaste, de trouver une forme, de conduire un récit porteur d'allégresse. Le résultat est une sorte de sitcom idéale, un suave mélange de comédie ethnique et de mélo sans pathos, de sensualité estivale et de ruades juvéniles. (...) Un premier film qui sonne juste.
Zurban
Sujet délicat que les amours adolescentes qui flirtent parfois avec le mauvais goût. Mais, la délicatesse est justement une des qualités de ce Peter Sollett (...).