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Un talent pur émane de chaque plan, mais la raison qui fait espérer la distribution des autres films du cinéaste (...) est ailleurs : dans le rare équilibre trouvé entre farce et mélodrame, entre la conduite efficace et concise d'une fiction puissante et la passivité désarmée de l'ouverture documentaire.
Ce qui fait mouche, c'est cette anti-langue de bois, cette manière rentre-dedans de décrire la réalité chinoise (...) Un film drôle, irrévérencieux, critique, et en même temps vrai et humain.
Le film est parcouru d'un humour noir, voire d'une causticité qui anime la société chinoise et que savent capter les réalisateurs du cinéma indépendant, dits de " la sixième génération " dont fait partie Liu Bingjian.
Liao Qin est époustouflante. A elle seule, elle porte le film sur ses frêles épaules. Rien que pour voir ce " petit bout de femme " au cours de ses péripéties, Les larmes de Madame Wang mérite le détour.
C'est une chronique à la fois féroce, drôle et desespérée de la Chine d'aujourd'hui, avec un sujet original (...) une mise en scène simple et directe (...) une direction d'acteurs hallucinantes de véracité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ponctué d'humour et d'ambiances bigarrées, tenu par une actrice attachante, ce conte apporte un regard grave et quasi documentaire sur l'état des libertés en Chine.
D'[un] récit presque anecdotique, le réalisateur tire un portrait croisé d'une femme et d'un pays. Le personnage [de Madame Wang] reste quasiment identique. C'est d'ailleurs la force et la limite du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Liu Bingjian (...) nous frustre (...) de belles séquences de funérailles noires et drôles, mais à peine effleurées, et filmées à distance, presque négligemment. Reste le portrait de Mme Wang, intrigante poupée " borderline " (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Un talent pur émane de chaque plan, mais la raison qui fait espérer la distribution des autres films du cinéaste (...) est ailleurs : dans le rare équilibre trouvé entre farce et mélodrame, entre la conduite efficace et concise d'une fiction puissante et la passivité désarmée de l'ouverture documentaire.
Les Inrockuptibles
Ce qui fait mouche, c'est cette anti-langue de bois, cette manière rentre-dedans de décrire la réalité chinoise (...) Un film drôle, irrévérencieux, critique, et en même temps vrai et humain.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Le film est parcouru d'un humour noir, voire d'une causticité qui anime la société chinoise et que savent capter les réalisateurs du cinéma indépendant, dits de " la sixième génération " dont fait partie Liu Bingjian.
L'Obs
La ravissante Liao Qin se révèle une pleureuse et chanteuse de haute volée : Les larmes de Madame Wang est le joli petit film chinois de la semaine.
Le Monde
Après une longue introduction, cette peinture de la vie provinciale doublée d'un beau portrait de femme fait tout l'intérêt de ce film.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Les larmes de Madame Wang est une comédie et, qui plus est, drôle. (...) Il y souffle un doux vent de folie.
MCinéma.com
Liao Qin est époustouflante. A elle seule, elle porte le film sur ses frêles épaules. Rien que pour voir ce " petit bout de femme " au cours de ses péripéties, Les larmes de Madame Wang mérite le détour.
Positif
C'est une chronique à la fois féroce, drôle et desespérée de la Chine d'aujourd'hui, avec un sujet original (...) une mise en scène simple et directe (...) une direction d'acteurs hallucinantes de véracité.
TéléCinéObs
Souvent drôle, toujours juste, (...) Madame Wang en dit long sur l'état du pays.
Le Figaroscope
(...) une intéressante peinture sociale (...)
Le Journal du Dimanche
Ponctué d'humour et d'ambiances bigarrées, tenu par une actrice attachante, ce conte apporte un regard grave et quasi documentaire sur l'état des libertés en Chine.
Première
D'[un] récit presque anecdotique, le réalisateur tire un portrait croisé d'une femme et d'un pays. Le personnage [de Madame Wang] reste quasiment identique. C'est d'ailleurs la force et la limite du film.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Liu Bingjian (...) nous frustre (...) de belles séquences de funérailles noires et drôles, mais à peine effleurées, et filmées à distance, presque négligemment. Reste le portrait de Mme Wang, intrigante poupée " borderline " (...)