Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le constat est sévère. D'une tristesse infinie. Et pourtant, on est comme happé par ces personnages, leur douleur et leurs incapacités. Parce que le regard du réalisateur est constamment tendre. Parce qu'ils sont, à l'image de la ville qu'il nous montre en longs travellings, démolis mais debout. Et parce que le mouvement de la vie (et du film) fait que tout ce qui tombe se relève. Malgré tout...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Africultures.com
par Olivier Barlet
"Terra incognita" commence par la carte d'identité du réalisateur : né à Dakar en 1958, de confession musulmane chiite. Histoire d'ancrer le film dans un ton personnel proposé au spectateur, pas toujours facile d'accès, mais d'une grande richesse pour qui veut bien l'accompagner.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
Le réalisateur a fait le pari difficile de capter cette violence tout en filmant l'épaisseur du temps et des êtres, de nous la faire ressentir de manière moins dramatique que physique. Soit le pari de faire oeuvre de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mais, au fil des plans, le désespoir magnifique de Soraya finit par tout envahir. Le courage qu'il lui faut pour se mettre en danger finit par susciter une admiration un peu absurde, encore accentuée par le léger voile d'ironie que l'actrice prête au personnage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Physique, charnelle, Soraya (Carole Abboud, magnifique) marche, incroyablement là et totalement ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Terra incognita est cet autoportrait en forme de ville : la forme éclatée du récit, ses liaisons fragiles, ses fissures, son côté mille-feuilles, ne parlent que de cela. Beyrouth et Salhab ne sont pas de bois, ni de béton armé : à peine une glaise qu'il faut malaxer longtemps afin qu'elle forme des émotions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Un regard personnel sur un monde au bord du vide.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Lyse Bellynck
La mise en scène figée est d'une froideur frustrante. La parole rêche et pesante ne laisse nulle prise à l'émotion.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Vers la fin cependant, la lenteur et un vague ennui prennent le dessus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Louis Guichard
Gorgé de couleurs, de lumières et de sons aux mélanges éloquents, plastiquement plus abouti que le précédent, le film glisse parfois vers le didactisme (...). Mais l'accumulation, la répétition de ces scènes symptomatiques, de ces images volées ou construites finissent par donner un aperçu vraiment sensoriel de la vie à Beyrouth et du blues local, mélange de paralysie et de frénésie sans objet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Dommage ! Car si le sujet est grave et pesant, on ne s'identifie guère à des personnages tous issus d'un même milieu, celui a priori plutôt privilégié de la bourgeoisie libanaise.
Première
par Christophe Narbonne
(...) une propension à faire durer des plans banals (...) et à rendre plus ou moins signifiante cette banalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
Le constat est sévère. D'une tristesse infinie. Et pourtant, on est comme happé par ces personnages, leur douleur et leurs incapacités. Parce que le regard du réalisateur est constamment tendre. Parce qu'ils sont, à l'image de la ville qu'il nous montre en longs travellings, démolis mais debout. Et parce que le mouvement de la vie (et du film) fait que tout ce qui tombe se relève. Malgré tout...
Africultures.com
"Terra incognita" commence par la carte d'identité du réalisateur : né à Dakar en 1958, de confession musulmane chiite. Histoire d'ancrer le film dans un ton personnel proposé au spectateur, pas toujours facile d'accès, mais d'une grande richesse pour qui veut bien l'accompagner.
Chronic'art.com
Le réalisateur a fait le pari difficile de capter cette violence tout en filmant l'épaisseur du temps et des êtres, de nous la faire ressentir de manière moins dramatique que physique. Soit le pari de faire oeuvre de cinéaste.
Le Monde
Mais, au fil des plans, le désespoir magnifique de Soraya finit par tout envahir. Le courage qu'il lui faut pour se mettre en danger finit par susciter une admiration un peu absurde, encore accentuée par le léger voile d'ironie que l'actrice prête au personnage.
Les Inrockuptibles
Physique, charnelle, Soraya (Carole Abboud, magnifique) marche, incroyablement là et totalement ailleurs.
Libération
Terra incognita est cet autoportrait en forme de ville : la forme éclatée du récit, ses liaisons fragiles, ses fissures, son côté mille-feuilles, ne parlent que de cela. Beyrouth et Salhab ne sont pas de bois, ni de béton armé : à peine une glaise qu'il faut malaxer longtemps afin qu'elle forme des émotions.
TéléCinéObs
Un regard personnel sur un monde au bord du vide.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène figée est d'une froideur frustrante. La parole rêche et pesante ne laisse nulle prise à l'émotion.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Vers la fin cependant, la lenteur et un vague ennui prennent le dessus.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Télérama
Gorgé de couleurs, de lumières et de sons aux mélanges éloquents, plastiquement plus abouti que le précédent, le film glisse parfois vers le didactisme (...). Mais l'accumulation, la répétition de ces scènes symptomatiques, de ces images volées ou construites finissent par donner un aperçu vraiment sensoriel de la vie à Beyrouth et du blues local, mélange de paralysie et de frénésie sans objet.
MCinéma.com
Dommage ! Car si le sujet est grave et pesant, on ne s'identifie guère à des personnages tous issus d'un même milieu, celui a priori plutôt privilégié de la bourgeoisie libanaise.
Première
(...) une propension à faire durer des plans banals (...) et à rendre plus ou moins signifiante cette banalité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com