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Votre avis sur Le Jumeau ?
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Pierre Richard est quand même quelqu'un de vraiment très reconnaissant. Pour la petite histoire, il se dit que l'acteur n'avait pas trouvé très bon le scénario de ce film. Mais, par reconnaissance envers Yves Robert, il avait tout de même accepté de prendre part au projet. Vraiment sympa le Pierrot. C'est si rare dans ce milieu celles et ceux qui n'oublient pas qui leur a mis le pied à l'étrier. Alors, « Le Jumeau » de quoi ça cause ? Tout d'abord, les fans de l'acteur lunaire (dont je ne fais pas partie), font être ravis, car il y a ici deux Pierre Richard pour le prix d'un ! Sympa non ? Bon de quoi ça cause ? D'un petit gars, dupliqué donc, qui va s'employer pour parvenir à séduire deux sœurs jumelles pleines de pognon, et qui en plus, sont sacrément bien roulées. Ça ne gâche rien, nous sommes d'accord. Ouais sauf qu'il y a une grosse anguille sous le rocher, c'est que les deux frangines, si elle ne sont pas mariées avant telle date, et bien, elles perdent tout leur flouze. Et ça évidemment, il n'en n'est pas question. Partant du thème du dédoublement, le film d'Yves Robert est alors basé sur un quiproquo. Le double personnage de Pierre Richard devant sans arrêt se casser la tête pour éviter que son petit jeu soit découvert. Ça aurait pu être sympa. Mais au final, c'est quand même assez banal et ça ne présente pas vraiment d'intérêt. Ouais, il y a bien quelques scènes sympathiques, on ne s'ennuie pas, on passe un moment tranquille, mais rien ne sort du lot quoi. Oui, c'est ça, « Le Jumeau », c'est une comédie finalement très anodine, mais qui au moins ne fait pas de mal, c'est déjà ça.
Un film avec Pierre Richard décevant. Sympathique, drôle par moments, il manque singulièrement de rythme et de folie. Heureusement Pierre Richard a une grande énergie communicative, comme à son habitude. Dommage que les scénaristes n'aient pas eu la même inspiration. Quelques bons seconds rôles comme Jean-Pierre Castaldi ou Jean-Pierre Kalfon. Mais les deux jumelles, mêmes si elles ne sont pas mauvaises, excèdent avec leur accent amerloque à couper au couteau, et donnent parfois l'impression de réciter péniblement une seconde langue qui leur encombre la bouche. Autre problème, et de taille, tous les personnages principaux sont antipathiques (y compris celui de Pierre Richard), de part leurs intentions manipulatrices et vénales. Même si évidemment les événements les font changer en meilleur, c'est un peu tard pour vraiment s'y attacher. Reste une comédie inégale mais honorable, qui amuse régulièrement sans jamais totalement convaincre ni emballer. A voir... pour Pierre Richard...
Coup double
Basé sur le roman "Two Much" de Donald Westlake, cette comédie légère d'Yves Robert implique le propriétaire d'un commerce en difficulté à Paris (Pierre Richard) qui rencontre une paire de belles et riches sœurs jumelles américaines (Camilla More et Carey More).
Le trio se retrouve empêtré dans une intrigue qui offre à Pierre Richard le double rôle de Matthias Duval et du frère jumeau qu'il invente, "Mathieu", afin de les séduire.
Des quiproquos qui sont aussi l'occasion pour les héritières d'arranger leurs affaires de succession.
3.5/5
Basé sur le roman "Two Much" de Donald Westlake, cette comédie légère d'Yves Robert implique le propriétaire d'un commerce en difficulté à Paris (Pierre Richard) qui rencontre une paire de belles et riches sœurs jumelles américaines (Camilla More et Carey More).
Le trio se retrouve empêtré dans une intrigue qui offre à Pierre Richard le double rôle de Matthias Duval et du frère jumeau qu'il invente, "Mathieu", afin de les séduire.
Des quiproquos qui sont aussi l'occasion pour les héritières d'arranger leurs affaires de succession.
3.5/5
Pouah quel navet!!!!!!!!!!
Un film sans intérêt et sans saveur.La fin est plus que prévisible.Pierre Richard n'a su ramené qu'une étoile au film.
Shawn777
Rares sont les films avec Pierre Richard que je n'apprécie pas, et pourtant, celui-ci, réalisé par Yves Robert et sorti en 1984, m'a vraiment laissé de marbre. Je ne m'attendais certes pas à un chef-d’œuvre de la comédie française ou même à un des meilleurs films de l'acteur. Mais néanmoins, je ne m'attendais pas non plus à voir un vaudeville très plat et sans âme. Pourtant, Pierre Richard et Yves Robert est un tandem qui fonctionne normalement très bien, notamment avec "Le Grand Blond" et sa suite. Je m'étais alors dit, après tout, pourquoi pas. Mais finalement, douche froide ! C'est ici l'histoire d'un coureur de jupons qui s'invente un frère jumeau afin de sortir avec deux (riches) jumelles à la fois. Vraiment le vaudeville classique quoi mais après tout pourquoi pas, surtout que c'est un genre indémodable qui fait toujours rire ou qui, sinon, prête au moins à sourire. Mais on s'ennuie ! Je pense d'ailleurs que je ne me suis jamais autant ennuyé devant un film de Pierre Richard ! Certes, il invoque toute sa palette de mimiques mais c'est toujours assez mal dosé, l'acteur est constamment dans l'exagération (comme assez souvent vous allez me dire mais ici, ça ne fonctionne pas). De plus, j'ai eu beaucoup de mal à complètement rentrer dans l'histoire, j'avoue que si la base est plutôt intéressante, le scénario devient en réalité très vite barbant, surtout que le film est assez long, pour ce genre de comédie. Le réalisateur recycle plusieurs fois les mêmes gags, scènes ou quiproquos et, si c'est drôle cinq minutes, ça ennui vite par la suite. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons donc Pierre Richard qui est donc trop souvent dans le surjeu et puis Camilla et Corey More, Jean-Pierre Kalfon, Jean-Pierre Castaldi etc. qui jouent bien. "Le Jumeau" est donc une comédie très oubliable mais surtout très lassante.
Je ne cherchais rien de plus qu'une comédie, je me suis dit qu'avec Pierre Richard au casting j'allais être comblée, ce fut le cas. Rien de tel qu'une petite comédie des années 80 pour remplir cette mission. J'ai passé un bon moment devant "Le Jumeau", je n'avais aucune attente particulière, hormis celle de me divertir. On attend avec impatience que le pot au rose soit découvert, on s'amuse de la situation et de ce que Matthias doit déployer pour que son stratagème fonctionne. Tout cela sur les airs de Vladimir Cosma, un régal.
Très déçu et pourtant que j'aime Yves Robert, Pierre Richard et Kalfon . Mais j'ai pas réussi à rentrer dans cette comédie envahi de clichés. Quel dommage.
Fêtons le cinéma
Le Jumeau a quelque chose de boiteux, d’imparfait et pourtant d’attachant, à l’instar de l’escroc qui s’improvise frère de lui-même dans une mise en abyme identitaire que le cinéaste construit progressivement : le passage de l’un à l’autre, s’il sert un projet financier, constitue davantage l’occasion d’un jeu de rôles qui sera redistribué parmi la gent féminine lorsque celle-ci aura découvert le pot aux roses. Aussi le film diffuse-t-il une espièglerie chère à Yves Robert, prolongement offert à la « chronique très agitée des démêlés de certains hommes avec certaines femmes qui ne sont pas nécessairement les leurs », selon les mots de Jean-Loup Dabadie au sujet d’Un éléphant ça trompe énormément (1976).
L’ensemble articule bien théâtralité des situations, riches en quiproquos, et mise en scène cinématographique précise, en témoigne le soin apporté à la composition des plans, aux mouvements de caméra qui, en s’approchant d’un visage ou en prenant de la distance vis-à-vis d’un corps, traduit les rapports de pouvoir et la compréhension des tiers présents. Quelques belles idées graphiques émaillent le film, tel ce filet de sang coupant la veste de smoking couleur crème de Volpinex, sans oublier les hommages aux précédentes œuvres du réalisateur : la robe ouverte sur le derrière évoque Le Grand Blond avec une chaussure noire (1972), etc. La vitesse du récit tend cependant à se confondre avec précipitation, et c’est notre immersion en son sein qui devient périlleuse, si bien qu’il faut franchir les quarante-cinq premières minutes pour enfin apprécier les marivaudages de ces doubles loufoques et terriblement sympathiques.
L’ensemble articule bien théâtralité des situations, riches en quiproquos, et mise en scène cinématographique précise, en témoigne le soin apporté à la composition des plans, aux mouvements de caméra qui, en s’approchant d’un visage ou en prenant de la distance vis-à-vis d’un corps, traduit les rapports de pouvoir et la compréhension des tiers présents. Quelques belles idées graphiques émaillent le film, tel ce filet de sang coupant la veste de smoking couleur crème de Volpinex, sans oublier les hommages aux précédentes œuvres du réalisateur : la robe ouverte sur le derrière évoque Le Grand Blond avec une chaussure noire (1972), etc. La vitesse du récit tend cependant à se confondre avec précipitation, et c’est notre immersion en son sein qui devient périlleuse, si bien qu’il faut franchir les quarante-cinq premières minutes pour enfin apprécier les marivaudages de ces doubles loufoques et terriblement sympathiques.
Classique qui a bien vieillit..cela est du au livre américain "Two Much" qui est excellent...
Pierre Richard est au top de sa forme ! Les jumelles sont très jolies...Et Jean Pierre Kalfon dit " Volpinex" est excellent
A voir ou revoir !
Pierre Richard est au top de sa forme ! Les jumelles sont très jolies...Et Jean Pierre Kalfon dit " Volpinex" est excellent
A voir ou revoir !
Flambeur et ruiné, Matthieu jette son dévolu sur deux riches jumelles qui ont de leur coté intérêt à trouver rapidement un époux complaisant. Sans qu'on sache vraiment pourquoi, Matthieu s'invente un frère jumeau, Matthias.
C'est tout l'argument comique du film d'Yves Robert que d'affubler Matthieu de ce frère fictif et encombrant qui l'oblige à se démultiplier pour entretrenir la supercherie. Quoiqu'irréaliste, on aurait pu s'amuser du sujet de la comédie mais il est développé de façon tellement maladroite et artificielle que Pierre Richard, dans un numéro flirtant avec le cabotinage, se démène en vain. Le scénario est trop faible et l'inspiration comique d'Yves Robert, qui cède parfois, étonnamment, à la trivialité, fait défaut. Le double personnage, très creux, de Pierre Richard, est bien loin d'égaler les savoureuses figures qui jalonnent ordinairement les comédies du cinéaste.
La pauvreté du sujet provient en partie de la vacuité des quiproquos, qu'on peut mesurer à cette séquence, élégante mais inefficace, filmée en travelling latéral le long des chambres et salles de bain contigües des deux soeurs: Pierre Richard court de l'une à l'autre, confusément, brassant du vent.
C'est tout l'argument comique du film d'Yves Robert que d'affubler Matthieu de ce frère fictif et encombrant qui l'oblige à se démultiplier pour entretrenir la supercherie. Quoiqu'irréaliste, on aurait pu s'amuser du sujet de la comédie mais il est développé de façon tellement maladroite et artificielle que Pierre Richard, dans un numéro flirtant avec le cabotinage, se démène en vain. Le scénario est trop faible et l'inspiration comique d'Yves Robert, qui cède parfois, étonnamment, à la trivialité, fait défaut. Le double personnage, très creux, de Pierre Richard, est bien loin d'égaler les savoureuses figures qui jalonnent ordinairement les comédies du cinéaste.
La pauvreté du sujet provient en partie de la vacuité des quiproquos, qu'on peut mesurer à cette séquence, élégante mais inefficace, filmée en travelling latéral le long des chambres et salles de bain contigües des deux soeurs: Pierre Richard court de l'une à l'autre, confusément, brassant du vent.
J'avais vu ce film d'Yves Robert à sa sortie il y a bien longtemps et j'ai décidé de le revoir me rappelant vaguement son scénario. On reconnaît bien sûr le style du réalisateur, voix off, histoire de quiproquos comme il les aime. Traiter du fantasme masculin concernant des jumelles sur le mode humoristique est chose difficile et Pierrot en tombeur de ces dames à un rôle inhabituel. Quand ayant inventé un faux jumeau pour arriver à son but, il est obligé de "magouiller" alors tous les coups sont permis. Des coups de téléphone bidons vraiment marrant, des faux certificats de naissance, droguer l'une pour rejoindre l'autre...Enfin il n'arrête pas de se gourrer de personnage: lui, son faux frère, sa femme (il en épouse une des deux), la soeur de sa femme. On rit de bon coeur des déboires de ce menteur qui n'agit pas seulement pour l'argent mais aussi par amour. Il est aussi question d'un héritage que la première des deux qui est mariée...empochera.
Finalement notre séducteur réalisera son fantasme dans un ménage à trois (il a de la chance). L'histoire semble assez compliquée mais compréhensible. Un film dans la veine de "Un éléphant..." dont la fin est beaucoup plus dingue !
Finalement notre séducteur réalisera son fantasme dans un ménage à trois (il a de la chance). L'histoire semble assez compliquée mais compréhensible. Un film dans la veine de "Un éléphant..." dont la fin est beaucoup plus dingue !
Film assez sympathique, mais un peu lourd..
Bon film comique français,avec un senario relativement original,une bonne mise en scene, et un Pierre Richard au top de sa forme?
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