Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Ykarpathakis157
4 517 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 26 septembre 2021
Le nouveau film de Mike Hodges bénéficie d'une excellente distribution d'acteurs. Malheureusement ces acteurs comme l'ensemble du film sont meilleurs en théorie qu'en pratique. Dire que ce film n'est pas à la hauteur serait gentil en fait il menace rarement sinon jamais d'engager le spectateur dans son histoire. Les dialogues sont superficiels et mal livrés les personnages semblent surgir dans le film afin de développer le contexte des personnages principaux puis disparaissent mystérieusement après une ligne de dialogue décevante. Le développement des personnages est au mieux maladroit par exemple dans la scène où nous découvrons que Will est un homme clément parce qu'il a aidé quelqu'un qui avait été battu sans raison apparente on ne comprend pas grand chose. Le titre original en anglais est I'll Sleep When I'm Dead ce qui signifie que notre héro dormira quand il sera mort cependant moi j'ai presque dormi pendant le film et sans être mort...
Trouver un film mauvais, cela m'est très rare; mais celui-là l'est. Le scénario commence très bien, on se plonge dans l'histoire; on attend patiemment le dénouement, la scène finale et.....RIEN. Mais vraiment rien. Le dénouement est vraiment stupide et aurait pu être écrite par un gamin de 8 ans. Affligeant, alors que la construction, les acteurs, le début du scénario se tenait. Tout est gâché par une fin qui n'en est pas une. Vraiment dommage de voir autant de mètres de pellicule gâchée. UNE DÉCEPTION TOTALE! Non, ce film est vraiment à fuir, vous allez gagner du temps sur votre vie.
Les films qui se terminent par une fin ouverte ne plaisent quasiment jamais aux spectateurs surtout lorsque ils ne sont pas prévenus par avance. Il faut se préparer au départ et se dire que la fin sera laissée à notre libre choix. Ici elle vient à son heure car la totalité du vrai sujet qui est psychologique a été épuisée. Reste évidemment l'essentiel de l'art cinématographique, c'est à dire la mise en scène. Elle est d'une grande originalité et souvent très belle. Plusieurs histoires se mélangent sans liens apparents et les thèmes sont assez nombreux mais portent tous sur les raisons des comportements humains lorsqu'ils ont côtoyé les excès, en s'écartant de la sagesse enseignée par nos parents. Une analyse poussée sur les causes et les conséquences du viol masculin nous sera exposée, c'est une rareté qui mériterait d'être connue. Il n'y a bien sur aucun romantisme classique et seuls les souvenirs et la mort sont traités grâce à des images lyriques. C'est l'ambiance de ce film qui en constitue sa valeur, Mike Hodges à du beaucoup travailler pour obtenir un tel résultat. Grace à des lenteurs mesurées, des ellipses nombreuses, des flashbacks ou des visions, nous sommes dans un monde déroutant mais profondément cinématographique. J'ai beaucoup apprécié, je reconnais que nous ne sommes pas nombreux à partager ce plaisir ce qui a surement produit à sa sortie un mauvais bouche à oreille privant les spectateurs partageant mes goûts de ce spectacle peu courant. ''i'ill sleep when i'm dead'' fait parti de la centaine de films marginaux quasiment inconnus (à l'exception de ''la nuit du chasseur'') qui permettent le mieux de parler de la spécificité du ''cinéma''.
Mais qu'est allé faire Malcolm Mc Dowell dans cette galère ? ça ne démarre que dans les dernières minutes et encore. C'est très lent, très mou, très flou, et avec des longueurs en plus... Le scénario ne tient pas la route, on s'en doute au bout d'un moment mais on en a la confirmation avec l'explication finale, si idiote. La cerise sur le gâteau est la fin en queue de poisson. Reste les acteurs. Les critiques de presse racontent vraiment n'importe quoi, le pompon à Libération. Film à éviter.
Alors là je ne comprends pas! Ils ont perdu une partie du scénario pendant le tournage où quoi? on n'est pas plus avancé à la fin qu'au début, pourtant il y avait des acteurs intéressants et des possibilités. Melvilien et mon luc.
J’avoue que c’est le titre du film qui en premier a suscité mon intérêt conjugué à la présence d’acteurs de qualité : Clive Owen, Charlotte Rampling, Jonathan Rhys-Meyer et Malcolm McDowell. Film noir qui nous embarque dans les rues malfamées de Londres où les truands et les petites frappes côtoient la haute bourgeoisie en mal de substances récréatives, il raconte l’histoire d’une vengeance et d’un retour sur un passé que le héros, si ce terme peut toutefois convenir, a laissé derrière lui pour une vie de solitaire dans les forêts du Royaume-Uni. L’histoire simple au demeurant se complexifie par la personnalité des protagonistes et les relations qu’ils entretiennent : ex-caïd rongé par le remord, ex-compagne murée dans d’amers souvenirs, chef de bande inquiet pour son pouvoir… L’ambiance souvent nocturne des scènes, ajouté à une musique lancinante qui n’est pas sans rappeler celle des polars des années soixante-dix, donnent une tension omniprésente qui enferme l’action dans une certaine lourdeur qui traduit l’univers sombre dans lequel évolue l’ensemble des personnages. Si le film n’est pas exempt de défauts notamment des longueurs qui alourdissent un peu la dramaturgie et des dialogues parfois un peu artificiels, il n’en demeure pas moins que « Seule la mort peut m’arrêter » est un des meilleurs polars que j’ai vu ces dernières années. Si la fin m’a un peu déçue je reste néanmoins sur l’excellente impression que m’a donné cette œuvre que je ne saurais trop chaudement recommander
« I’ll sleep when I’m dead » , traduit maladroitement, en français, par « Seule la mort m’arrêtera », est à l’image de la plupart de ses films : décevant. Un choix d’acteurs excellents ( Rampling, McDowell, Owen, Rhys-Meyers, entre autres), et quelques ressorts dramatiques intéressants (un dealer dandy se fait violer, son frère ex-caïd repenti et vivant sur les routes, revient pour mener l’enquête)… Mais voilà, Hodges par une narration lente et pesante, une mise en scène apathique, et peu rythmée, quelques invraisemblances scénaristiques, et plusieurs flous psychologiques concernant les personnages, Hodges se livre à un véritable sabordage dont on sort non seulement assommé, mais frustré de surcroît, par une fin trop énigmatique. Que la critique professionnelle ait, dans l’ensemble, plutôt encensé le réalisateur anglais pour son film, n’est que le résultat concomitant de leur bêtise et du phénomène d’illusion collective opéré par la distribution prestigieuse. Le titre aurait dû être « I’ll sleep BEFORE I’m dead » !
Film à l'ambiance sombre et calme. Scénario très noir et bien dans la veine de Mike Hodges. Mise en scène froide et posée, casting britannique et classe.
Le gros probleme du film est qu'il ne demarre jamais. Pourtant à plusieurs moments on se dit que ça y aller mais non, à chaque fois son real desamorce le tout comme si il n'avait aucune conviction en son film e ten ce qu'il fait. C'est dommage vu que Clive Owen comme à chaque fois en impose.
Un thriller fait avec sans grande conviction. On laisse trainer la caméra, très peu de dialogues, des situations à répétition et un jeu d'acteur excessivement orienté. Parfois, on se dit, çà y est cela va se lancer et non ! Au final, on se dit, tout çà pour çà ? Un film inintéressant pourtant prometteur. 1.5/5 juste pour quelques passages qui laissent entrevoir un bon film !!!
Un thriller captivant dans lequel la réalité et la fiction cohabite très humblement où les personnages stéréotypés paraissent vrais, où la mort sans le noir. Deux acteurs très bons (owen et Meyer) bref, un très bon thriller!