Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Brazil
par Christophe Lemaire
Si on se laisse aller, I'll Sleep... flotte dans un étrange état de grâce et provoque un sentiment diffus d'extrême compassion pour les personnages qui traversent le film comme des fantômes (dont Charlotte Rampling, magnifique en femme à l'âme perdue).
Cahiers du Cinéma
par Antoine Thirion
Epuré, minimal, sec, nerveux, efficace, sans esbrouffe. Entièrement requis par l'action. Concentré sur de purs énoncés mécaniques, ainsi que l'annonce son titre original.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Flottant, pas énervé pour deux sous, le film témoigne du peu d'appétit de son auteur pour la pose wannabe culte du film de gangsters crème anglaise. C'est tant mieux : en différant sans retenue la mise en route du récit de vengeance qu'il promet, le film rame un tantinet à garder son spectateur éveillé, mais gagne en noirceur et en sécheresse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Brigitte Baudin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Echappant à tout cynisme (...) le film d'Hodges est une oeuvre ouverte dans laquelle de nombreuses questions restent à jamais irrésolues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Seule la mort... distille une atmosphère dérangeante, oppressante et profondément désespérée. Cette tristesse radicale, qui élève le film du rang de simple polar à celui de conte moral, est sans doute l'aspect le plus singulier.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par BAYON
I'll Sleep When I'm Dead (...) est une tragédie truande homosexuelle (pléonasme) à quatre coups. Un coup de feu, dans la tronche d'une salope (...) ; un coup au cul : le viol agréable d'un Presley rosbif dans des pneus (...) ; un coup au cou, suicidaire ; et un coup de foudre le ravissement viril susdit.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Il est de ces films racés dont la rareté et la maîtrise suffisent à assurer la valeur. Avec ce polar à l'ancienne, Hodges explore la difficulté d'échapper à son passé. Usant d'une ambiance glaciale, il distille son pessimisme avec une précision quasi clinique. Une atmosphère prenante soutenue par le cadre londonien. Sombre, délétère, dangereuse, la capitale anglaise est ici filmée comme rarement.
Mad Movies
par Gilles Esposito
De l'auteur, on retrouve la capacité innée à filmer la province anglaise, et la précision de l'interprétation. Mais c'est Clive Owen qui porte le film sur ses épaules. Ce personnage de vengeur muré dans la solitude donne une oeuvre pour le moins sans concession (...).
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
C'est du cinéma classique. A une époque où rien ne se démode plus vite que la mode, c'est une aubaine.
Télérama
par Pierre Murat
Hodges filme avec un détachement ironique ces luttes entre clans dérisoires qui ressemblent aux puzzles complexes et fascinants construits par James Gray dans "Little Odessa" ou "The Yards". Il sait, au besoin, faire naître la tendresse dans les retrouvailles désenchantées de Will avec Helen (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Un émouvant conte pour adultes, noir comme la nuit, rouge comme le sang. (...) Ce film pourrait bien être le polar de l'été.
Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Paris Match
par Alain Spira
Le réalisateur nous immerge avec précision de médecin légiste dans une ambiance à la fois lourde et glaçante. Les interprètes, Clive Owen en tête, sont convaincants. Ce qui l'est moins, c'est le scénario.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Le défaut du film de Mike Hodges est de se donner d'emblée comme un polar métaphysique. Du coup, le drame paraît moins tranchant (...) et les ombres de la mort moins épaisses.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Gérard Delorme
A côté de Layer Cake, qui représente la nouvelle vague du film de gangster anglais, celui-ci paraît plus traditionnel par son rythme assez lent. Ses thèmes, surtout (...), font penser à un remake par Mike Hodges de son propre film Get Carter, un sommet du genre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Iris Steensma
L'histoire, obscure, a un intérêt discutable et le mystère laisse parfois place à l'ennui. Pourtant, il est évident que Hodges (...) fait quelques étincelles de temps à autre pour rendre son film un peu moins désagréable qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Problèmes incontestables : le rythme (lymphatique) et l'intrigue (déroutante) qui peuvent légitimement laisser rétif. Mais pour peu qu'on succombe à l'atmosphère envoûtante et qu'on oublie les errements parfois superfétatoires, ce singulier petit film fait agréablement tache dans un registre estival généralement fréquenté par les fonds de tiroir et les blockbusters bourrins.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Brazil
Si on se laisse aller, I'll Sleep... flotte dans un étrange état de grâce et provoque un sentiment diffus d'extrême compassion pour les personnages qui traversent le film comme des fantômes (dont Charlotte Rampling, magnifique en femme à l'âme perdue).
Cahiers du Cinéma
Epuré, minimal, sec, nerveux, efficace, sans esbrouffe. Entièrement requis par l'action. Concentré sur de purs énoncés mécaniques, ainsi que l'annonce son titre original.
Chronic'art.com
Flottant, pas énervé pour deux sous, le film témoigne du peu d'appétit de son auteur pour la pose wannabe culte du film de gangsters crème anglaise. C'est tant mieux : en différant sans retenue la mise en route du récit de vengeance qu'il promet, le film rame un tantinet à garder son spectateur éveillé, mais gagne en noirceur et en sécheresse.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Echappant à tout cynisme (...) le film d'Hodges est une oeuvre ouverte dans laquelle de nombreuses questions restent à jamais irrésolues.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Seule la mort... distille une atmosphère dérangeante, oppressante et profondément désespérée. Cette tristesse radicale, qui élève le film du rang de simple polar à celui de conte moral, est sans doute l'aspect le plus singulier.
Libération
I'll Sleep When I'm Dead (...) est une tragédie truande homosexuelle (pléonasme) à quatre coups. Un coup de feu, dans la tronche d'une salope (...) ; un coup au cul : le viol agréable d'un Presley rosbif dans des pneus (...) ; un coup au cou, suicidaire ; et un coup de foudre le ravissement viril susdit.
MCinéma.com
Il est de ces films racés dont la rareté et la maîtrise suffisent à assurer la valeur. Avec ce polar à l'ancienne, Hodges explore la difficulté d'échapper à son passé. Usant d'une ambiance glaciale, il distille son pessimisme avec une précision quasi clinique. Une atmosphère prenante soutenue par le cadre londonien. Sombre, délétère, dangereuse, la capitale anglaise est ici filmée comme rarement.
Mad Movies
De l'auteur, on retrouve la capacité innée à filmer la province anglaise, et la précision de l'interprétation. Mais c'est Clive Owen qui porte le film sur ses épaules. Ce personnage de vengeur muré dans la solitude donne une oeuvre pour le moins sans concession (...).
TéléCinéObs
C'est du cinéma classique. A une époque où rien ne se démode plus vite que la mode, c'est une aubaine.
Télérama
Hodges filme avec un détachement ironique ces luttes entre clans dérisoires qui ressemblent aux puzzles complexes et fascinants construits par James Gray dans "Little Odessa" ou "The Yards". Il sait, au besoin, faire naître la tendresse dans les retrouvailles désenchantées de Will avec Helen (...)
Zurban
Un émouvant conte pour adultes, noir comme la nuit, rouge comme le sang. (...) Ce film pourrait bien être le polar de l'été.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Paris Match
Le réalisateur nous immerge avec précision de médecin légiste dans une ambiance à la fois lourde et glaçante. Les interprètes, Clive Owen en tête, sont convaincants. Ce qui l'est moins, c'est le scénario.
Positif
Le défaut du film de Mike Hodges est de se donner d'emblée comme un polar métaphysique. Du coup, le drame paraît moins tranchant (...) et les ombres de la mort moins épaisses.
Première
A côté de Layer Cake, qui représente la nouvelle vague du film de gangster anglais, celui-ci paraît plus traditionnel par son rythme assez lent. Ses thèmes, surtout (...), font penser à un remake par Mike Hodges de son propre film Get Carter, un sommet du genre.
Score
L'histoire, obscure, a un intérêt discutable et le mystère laisse parfois place à l'ennui. Pourtant, il est évident que Hodges (...) fait quelques étincelles de temps à autre pour rendre son film un peu moins désagréable qu'il n'y paraît.
aVoir-aLire.com
Problèmes incontestables : le rythme (lymphatique) et l'intrigue (déroutante) qui peuvent légitimement laisser rétif. Mais pour peu qu'on succombe à l'atmosphère envoûtante et qu'on oublie les errements parfois superfétatoires, ce singulier petit film fait agréablement tache dans un registre estival généralement fréquenté par les fonds de tiroir et les blockbusters bourrins.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com