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CH1218
201 abonnés
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4,0
Publiée le 24 juillet 2013
Bien que l'on n'évite pas quelques facilités scénaristiques et que le message, certes intéressant sur les conséquences du changement climatique manque d'impact, c'est plutôt bien écrit. De plus, pour une fois chez Emmerich, le patriotisme à la sauce américaine n'est pas trop présent. Les effets spéciaux sont impressionnants et d'un réalisme inquiétant dont une cataclysmique vague submergeant les rues de Manhattan. Dans le genre catastrophe, ce "jour d'après" est au-dessus de la moyenne, de quoi nous faire passer un agréable moment.
L’un des plus grands films catastrophe jamais réalisé et que j’ai vue de ma vie. Emmerich signe le 1er film que j’ai vu de ses mains de maître, mais à l’époque j’le connaissais pas, et j’avais encore moins cette envie et passion du cinéma à gros budget que j’ai maintenant. J’y est également découvert Denis Quaid, Jake Gyllenhal, Emmy Rossum ou encore Sela Ward, de grands acteurs qu’Hollywood à la chance d’avoir dans ses rang. Un film aux multiples scènes cultes, par leurs démesures visuelle, leur effets sonores stressant et musique à vous Glacer l’sang. Entre Los Angeles en proie aux tornades de catégories F3 à l'aéroport à la majestueuse F5 dans le beau Downtown, New York sous un tsunami qui te pulvérise le bas des bâtiments et te fait valser les voitures à 4 000 mètres. Que du bonheur, également sur fond de grand, voire d’immense message écologique à échelle planétaire, ce film n’est pas là que pour distraire et nous faire frissonner, il nous pousse à prendre soin de notre Terre car sinon, on finira tous comme dans ce film, et la fiction deviens parfois la réalité. Ce qui est triste. A force de n’penser qu’à l'argent, on va finir par y passer, et malheureusement, c’est trop l’cas, faut attendre des drames pour changer les habitudes.
Très bon film "cata-fiction" ou "science-trophe". Les effets spéciaux ainsi que la bande sonore sont impressionnants. C'est un film spectacle doublé de bons sentiments où, si on fait impasse sur le côté réaliste, on se laisse emporté jusqu'au bout du film.
Incapable de tenir la distance sur ce qui a fait venir les spectateurs, le grand spectacle, Emmerich se concentre sur des épiphénomènes inintéressants (ah, les loups !) et sur des personnages aussi fades que risibles. Devant un tel désastre, les paupières se font lourdes. On se demande alors quelle catastrophe le cinéaste va-t-il bien trouver pour son prochain bégayement artistique. Crétinisme affolant. Mais le prix à payer de ce plaidoyer, outre un film de divertissement d'un crétinisme affolant qui postule au titre de la meilleure comédie involontaire de l'année, c'est d'abord, encore et toujours, plus de diktats propagandistes, de gadgets misérables fabriqués dans on ne sait quelle usine du tiers-monde (un réveil porte-clefs posé sur chacun des fauteuils), toujours plus d'autohypnose inquiétante sur la santé démocratique des Etats-Unis, capables de surmonter tous les périls, de laver toutes leurs erreurs, nul.
Un bon gros navet qui m'a consterné. C'est véritablement consternant de voir un tel film noté 5 étoiles. La seule réaction humaine qu'on peut avoir en sortant de ce truc c'est "ouf, c'est finit". Nan parce que je vous met au défi de trouver plus de clichés et d'incohérences dans un seul film(sorti au cinéma, parce que les direct-to-dvd sont à part quand même). Entres autres et comme j'ai envie de m'amuser un peu, voici une sélection de mes préférés: les hommes qui gèlent sur place instantanément alors que les loups n'ont aucun problème, le mec qui arrive à survivre alors qu'il traverse les états-unis en long et en large pendant 3 semaines(et sans geler sur place, cela va de soi), un bateau cargo qui passe entre deux rues de New York(qui font 100 m de large, bien évidemment), la glace qui poursuit les héros en gelant les murs(un grand moment de rigolade), le niveau de la mer qui monte de 8 mètres en quelques secondes( véridique, et le pire, c'est que ça passe au j.t), la femme qui préfère sauver son... sac à main plutôt que d'échapper à la vague de 20 mètres de haut(je me suis demandé si le mec avait réfléchi à son scénario avant de réaliser son truc). En conclusion, "the day after tomorrow' est une purge abominable et complètement illogique. Un des pires films qu'il m'est été donné de voir dans ma vie.
Dès la première minute, la première image du film : un drapeau américain flottant au vent. On est bien dans un film catastrophe de Roland Emmerich. Tout nous sera montré selon le point de vue des américains. Les autres pays n'existeront pas. L'Australie sera seulement citée. Il faut au moins lui reconnaître d'avoir soulevé en 2004 la problématique du réchauffement climatique nettement moins sur le devant de la scène qu'aujourd'hui. Il le fait à sa sauce. A grands renforts d'effets spéciaux, de destructions massives, de sauvetages in extremis et d’héroïsme gnangnan. Tout le monde s'aime. Les familles sont soudées. Même dans les pires moments, avant de raccrocher le téléphone ou de se dire au revoir, il faut qu'on s'embrasse, qu'on se dise qu'on s'aime, qu'on prie dieu de nous venir en aide. Toutes ces lourdeurs agaçantes que j'en ai marre de retrouver. Plus humble dans le discours final du président américain, Le Jour d'après nous montre qu'attention : les bouleversements climatiques nous imposeront une autre manière de vivre. Il serait intelligent de commencer à les anticiper pour ne pas être pris de court et ainsi éviter de telles catastrophes humanitaires. Gouverner, c'est prévoir. Ce serait vraiment très stupide de se dire qu'avec un peu plus d'organisation en amont le pire aurait pu être évité.
En matière de film catastrophe tout a été dit depuis longtemps. De l'incendie gigantesque de « La tour infernale » à la destruction d’astéroïde dans « Deep impact », il est vrai que les scénaristes ne nous ont épargné aucun caprice de notre chère Dame Nature. Avec « Le jour d'après », le réalisateur Roland Emmerich (spécialiste du film à grand spectacle) nous propose un retour à l'air glaciaire et tant pis pour les frileux. Bien que l'histoire semble un poil « abracadabrantesque », il faut reconnaître que les effets spéciaux font le job en nous proposant quelques scènes de destructions qui donnent (forcément) le frisson. L'action ne manque pas non plus et on suit avec beaucoup d'intérêt les pérégrinations d'un groupe de lycéens qui se retrouvent en classe de neige, bien malgré eux. Les acteurs sont jeunes pour la plupart, mais ils ne manquent pas de charisme et leur prestation est tout à fait à la hauteur des enjeux... preuve que, parfois, la valeur n'attend pas le nombre des années. La vision de Manhattan, balayé par un raz-de-marée puis envahi par les glaces, fait froid dans le dos (héhé) et on ne peut que constater que nos amis Américains sont vraiment les « pros » pour nous distraire avec de telles calamités. Le film fonctionne donc très bien, c'est indéniable, et nous sommes dorénavant prévenus... l'hiver arrive, préparez vos moufles !
Roland Emmerich, une valeur sûre du cinéma à grand spectacle des années 90 à 2012. Le Jour d'Après est un film de cette période. Un scénario assez classique mais toujours bien mené, une scène d'ouverture qui vient nous chercher, puis quelques présentations de petites familles façon "mon fils ma bataille" ou "jamais sans ma fille" dans leur petites vies quotidiennes, juste de quoi nous attendrir avant de donner les signes flagrants que quelque chose ne tourne pas rond. Une scène catastrophe subite, à l'autre bout du monde, puis une deuxième et voilà c'est parti ! Alternance de scènes reposantes, voir parfois même totalement ennuyeuses et à peine on s'en rend compte que de nouveaux événements surviennent bousculer le monde entier et nous en mettre plein les mirettes ! C'est bien mené, bien rythmé et toujours (à l'époque) bien filmé, une mise en scène lisible, des cadrages stables, une réalisation très propre. Scènes de grandes ampleurs, aux quatre coins du monde, de l'humour, des personnages attachants, souvent mêmes parmi les personnages secondaires ou très secondaires. Du grand spectacle. Bien mené, qui se laisse bien voir, ici pas de scènes de nuit, d'éclairages stroboscopiques ou autres cache-misère, une durée généreuse, de la vrai musique et non des bruitages achetés au mètres. Un sens de la belle image symbolique et du plan très large. Mais, c'était à la grande époque ...
Film idiot, pas crédible pour un sous, cliché, nanardisant de bout en bout… Quel est l'utilité d'un tel film de destruction de masse si ce n'est discréditer la thèse du réchauffement climatique.
Rolan Emmerich expert non pas a Miami mais dans le catastrophisme c'en est bien sortie avec cet opus , Jake Gyllenhaal dans ses début montre une jolie prestation, , le thème du film catastrophe est bien penser, bien orchestré, ici les gens paniquent a la vue d'une vague contrairement a d'autres films dont il a réalisait auparavant auquel beaucoup d'acteurs ne bronchent pas trop a la vue d'une scène dangereuse comme dans le film 2012 ou les acteurs sont un peu trop a mon gout statiques pour une catastrophes planétaire.. l'idée du froid est un exemple de catastrophisme qui se rapproche du réalisme et la Roland Emmerich a marquais un bon point. Les acteurs sont crédibles sa tient la route, on est captivé par la scène et les acteurs donnent envie qu'on s'attache a eux.. finalement j'ai bien aimais. a voir et a revoir sans auqu’une réserve. • Effect Spéciaux: 7.4 / 10 • Scénario : 6.8 /10 • Crédibilité des Acteurs: 7 /10 • Bluraythèque: Oui.
A l'époque de sa sortie, j'étais allé au ciné pour voir Harry Potter. Dans cette ère lointaine, il y avait encore des poupées au guichet pour distribuer les tickets et ma poupée à moi s'est trompée de film. Au lieu de Potter, elle voulait m'infliger ce Jour d'après. Je lui ai dit que quitte à se tromper, qu'elle se trompe pour un bon film. Un à-priori me direz-vous ? Oui et non. Oui parce qu'en effet je n'avais pas encore vu le film et non parce qu'il était plus qu'improbable qu'Emmerich nous ponde un film digne de ce nom. Mais j'ai quand même vu le film par la suite, juste pour confirmer que j'avais eu le nez fin. Un type qui crie à qui veut l'entendre qu'il ne faut pas sortir sous peine de claquer les poumons gelés et qui met le nez dehors quand même... Un instant de bravoure intense lorsqu'il faut sauver le sac à main dans une voiture au lieu de s'occuper du gamin qui braille à côté... Des chiens (Loups? Cerbères? Tigres à dents de sabre emprisonnés depuis des millions d'année dans une calotte glacière disparue depuis?) extrêmement mal faits... et j'en passe ! (le cargo dans les rues de New York... lol !) Pour moi, Emmerich est perdu à jamais.
C'est surtout un grand divertissement plein d'aventure, d'action et de beaux sentiments avec une foule d'effets spéciaux. La mise en scène est efficace, coup de poing. Les personnages sympathiques et foncièrement humains même si le scénario, qu'il a écrit, reste assez linéaire. De belles scènes d'anthologie comme celle de la Statue de la Liberté prise dans les glaces. Du grand spectacle!
Que se passe-t-il lorsque mére nature se déchaine ? Eh bien sa fait mal, trés mal et c'est ce que nous montre Le Jours D'aprés. Un film catastrophe trés bien réaliser et trés bien joué avec des effets spéciaux bluffants de réalisme. Si vous voulez des émotions fortes, ce film est pour vous.
Film catastrophe reussi au theme de la glaciation due au rechauffement climatique. Le scenario se tient, les acteurs jouent bien, les effets speciaux assurent meme si la glaciation n'est pas aussi spectaculaire que d'autres catastrophes.
Roland Emmerich. Ce nom est synonyme que de 2 choses pour le grand public. Soit il est réalisateur de film d'action débile, soit il est réalisateur de film catastrophe débile. Néanmoins, il a réalisé 2 films catastrophes plus ou moins similaires mais de qualités différentes, limite opposée. Ici on va critiquer le jour d'après, succès commercial mais succès critiques assez moindre.
Le film parle de plusieurs catastrophes majeurs qui se déroulent un peu partout sur Terre. Alerté par des météorologues, le professeur Jack Hall découvre qu'une catastrophe mondiale surviendra. Alors qu'il essaye d'alerter et de prévenir les autorités malgré les scepticismes, les phénomènes climatiques s'accélèrent, plongeant l'hémisphère nord dans une nouvelle ère glaciaire.
spoiler: Avant de juger le film, crevons un peu l’abcès en évacuant le plus évident devant un film d'Emmerich:
- Scénario de film catastrophe cliché : check !
- Cliché du père scientifique , de la mère médecin et du fils qui ne s'entend pas avec le père trop pris par son travail : check !
- Effet spéciaux de plus de 10 ans qui ont bien vieilli malgré quelques ratés: check !
- Cliché du bureaucrate sceptique qui se repent à la fin : chek !
- Sous-scénario cliché du fils intelligent amoureux d'une camarades de classe plutôt bien foutu à défaut d'être sexy : check !
- Cliché du monde qui est plus con que la moyenne : check !
- Sidekick sacrifiable : check !
et enfin plan nichon : non check (ben oui c'est Roland Emmerich pas Michael Bay !)
Bref, spoiler: maintenant qu'on a évacué tout ce qui est évident dans un film d'Emmerich, qu'est-ce qui reste ? Ben on apparence rien. Il s'agit d'un film catastrophe qui sur la forme et le fond ressemble à n'importe quel film catastrophe, tout est cliché et déjà utilisé des centaines de fois (et même parodié). Ceci dit, le mariage est quand même très divertissant et ajoute un coté scientifique crédible. Je n'ai pas dit réaliste attention, mais crédible. Car tous les problèmes poser dans ce film sont basés sur des réalités scientifiques certes pas encore assez prouvé à l'époque (spoiler: et encore moins aujourd'hui ) mais concevable. spoiler: Ceci dit, il est clair qu'on ne pas faire tomber l'hémisphère nord une ère glaciaire en moins d'une semaine et demi. De plus, l'interprétation de Denis Quaid, de Jake Gyllellal (vraiment jeune à l'époque !) et d'Emily Rossom (spoiler: qui a un peu abîmé sa carrière dans Dragon Ball Evolution avant de se rattraper dans Shameless ) est assez classe pour qu'on se sente concerner.
Bref, ce film n'est certes pas un chef d'oeuvre du genre mais c'est un très bon film catastrophe et certainement le meilleur film de Roland Emmerich (pourquoi l'a-t-il remaker dans 2012 ?). Paru en 2004, entre les mains d'un autre réalisateur aurait du avoir plus d'impact car le scepticisme du vice-président fait éco avec celui de l'administration Bush. Bien évidemment ça n'a servi à rien, mais je pense que le coup de Katerina et le succès du film d'Al Gore a donné plus d'impact (le film de Gore en lui même est assez gros et est pour moi aujourd'hui une sacré blague). Bref un film culte des années 2000 (surtout pour la chanson de Chimene Badi qui a disparu de la circulation elle aussi) qui a le mérite d'être divertissant sans sombré dans le nanar.