Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Le Jour d'après est une honorable attraction foraine et sans doute le meilleur film de son auteur. (...) Certes le propos politique de Emmerich n'est en soi pas plus évolué que l'humanisme de gauche de Paul Wolfowitz, mais exhibé dans le film comme un effet spécial parmi d'autres, il fait mouche, aère un peu le tout, calme le jeu de la démonstration de force technologique. Ça fait mal et pourtant c'est vrai, et on n'aimerait ne plus jamais avoir à écrire ça : plutôt que le Kiarostami, allez voir le dernier Emmerich, c'est quand même moins chiant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Aden
par La rédaction
Toute cette orgie de déchaînements visuels est accompagnée en contrepoint d'une plaidoirie écolo pour un développement durable tendance Nicolas Hulot très politiquement correcte : obligés de se réfugier au Mexique, les Américains reconnaissent, mais un peu tard, qu'ils auraient dû ratifier les accords de Kyoto ; désormais, ils marcheront main dans la main avec leurs peuples frères du tiers-monde. Rien que du bon sentiment 100 % oecuménique. Paradoxalement, dans ce film-fantasme, film d'horreur terrorisant, c'est sans doute la seule chose qui sonne réellement faux.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est surtout un grand divertissement plein d'aventure, d'action et de beaux sentiments avec une foule d'effets spéciaux. La mise en scène est efficace, coup de poing. Les personnages sympathiques et foncièrement humains même si le scénario, qu'il a écrit, reste assez linéaire. De belles scènes d'anthologie comme celle de la Statue de la Liberté prise dans les glaces.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film n'est que succession très rapide des étapes d'une catastrophe totale, et les effets spéciaux mis en oeuvre sont à la hauteur de l'ambition affichée. L'effet est saisissant, tout autant que l'agression publicitaire de Fox News, dont le logo apparaît chaque fois qu'est filmé un écran de télévision.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Si le scénario est ici très contestable sur le plan scientifique, ce film fonctionne grâce à des séquences impressionnantes de réalisme dues à des effets spéciaux très convaincants. Et le réalisateur allemand, comme il l'avait déjà fait dans " Independance Day ", ajoute une note d'humour, bienvenue même dans les séquences les plus tragiques.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Le Jour d'Après demeure pour l'essentiel un bon gros spectacle-catastrophe où les misères infligées à a couche d'ozone provoquent une danse de Saint-Guy planétaire. Mais entre un exil forcé des populations vers le Mexique et un final politiquement ahurissant, le doute n'est plus permis : nous sommes ben et bien en face d'un blockbuster subversif.
Télérama
par Frédéric Strauss
Les splendeurs façon National Geographic futuriste n'ont qu'un temps. La sauce psycho-mélo des destins foudroyés, ou congelés, prend le dessus et finit par tout recouvrir. Pour Roland Emmerich, tout peut arriver, sauf que le cinéma se renouvelle et dépasse le vieux modèle des films catastrophe des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
En ces temps paranos où toutes les menaces se multiplient, Emmerich a compris qu'il fallait rassurer les gens après leur avoir fait vivre des choses intenses. Le jour d'après n'est donc pas une étude de moeurs, encore moins une thèse de troisième cycle. C'est un film catastrophe simple et bourrin, direct et attachant dont les effets spéciaux titanesques submergent littéralement le spectateur. Le discours final du président et le dernier plan (beau et parabolique) devraient définitivement faire taire toutes les âmes cyniques qui sont entrées dans la salle avec la féroce intention de démolir le film.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Conçu comme un film catastrophe, avec des intempéries extraordinaires et soudaines auxquelles font face un groupe de survivants, ce mélo-thriller accumule les clichés sentimentaux et psychologiques, exacerbés par la situation.
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Ce pachydermique film catastrophe est contruit comme un téléfilm où ne manquent ni subplots médiocres (amour, humour, famille, patrie), ni méchant très light (le vice-président américain), ni héros à la pelle.
Libération
par Didier Peron
Crétinisme affolant. Mais le prix à payer de ce plaidoyer, outre un film de divertissement d'un crétinisme affolant qui postule au titre de la meilleure comédie involontaire de l'année, c'est d'abord, encore et toujours, plus de diktats propagandistes, de gadgets misérables fabriqués dans on ne sait quelle usine du tiers-monde (un réveil porte-clefs posé sur chacun des fauteuils), toujours plus d'autohypnose inquiétante sur la santé démocratique des Etats-Unis, capables de surmonter tous les périls, de laver toutes leurs erreurs.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Incapable de tenir la distance sur ce qui a fait venir les spectateurs, le grand spectacle, Emmerich se concentre sur des épiphénomènes inintéressants (ah, les loups !) et sur des personnages aussi fades que risibles. Devant un tel désastre, les paupières se font lourdes. On se demande alors quelle catastrophe le cinéaste va-t-il bien trouver pour son prochain bégayement artistique.
Chronic'art.com
Le Jour d'après est une honorable attraction foraine et sans doute le meilleur film de son auteur. (...) Certes le propos politique de Emmerich n'est en soi pas plus évolué que l'humanisme de gauche de Paul Wolfowitz, mais exhibé dans le film comme un effet spécial parmi d'autres, il fait mouche, aère un peu le tout, calme le jeu de la démonstration de force technologique. Ça fait mal et pourtant c'est vrai, et on n'aimerait ne plus jamais avoir à écrire ça : plutôt que le Kiarostami, allez voir le dernier Emmerich, c'est quand même moins chiant.
Aden
Toute cette orgie de déchaînements visuels est accompagnée en contrepoint d'une plaidoirie écolo pour un développement durable tendance Nicolas Hulot très politiquement correcte : obligés de se réfugier au Mexique, les Américains reconnaissent, mais un peu tard, qu'ils auraient dû ratifier les accords de Kyoto ; désormais, ils marcheront main dans la main avec leurs peuples frères du tiers-monde. Rien que du bon sentiment 100 % oecuménique. Paradoxalement, dans ce film-fantasme, film d'horreur terrorisant, c'est sans doute la seule chose qui sonne réellement faux.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est surtout un grand divertissement plein d'aventure, d'action et de beaux sentiments avec une foule d'effets spéciaux. La mise en scène est efficace, coup de poing. Les personnages sympathiques et foncièrement humains même si le scénario, qu'il a écrit, reste assez linéaire. De belles scènes d'anthologie comme celle de la Statue de la Liberté prise dans les glaces.
Le Monde
Le film n'est que succession très rapide des étapes d'une catastrophe totale, et les effets spéciaux mis en oeuvre sont à la hauteur de l'ambition affichée. L'effet est saisissant, tout autant que l'agression publicitaire de Fox News, dont le logo apparaît chaque fois qu'est filmé un écran de télévision.
Le Parisien
Si le scénario est ici très contestable sur le plan scientifique, ce film fonctionne grâce à des séquences impressionnantes de réalisme dues à des effets spéciaux très convaincants. Et le réalisateur allemand, comme il l'avait déjà fait dans " Independance Day ", ajoute une note d'humour, bienvenue même dans les séquences les plus tragiques.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
Le Jour d'Après demeure pour l'essentiel un bon gros spectacle-catastrophe où les misères infligées à a couche d'ozone provoquent une danse de Saint-Guy planétaire. Mais entre un exil forcé des populations vers le Mexique et un final politiquement ahurissant, le doute n'est plus permis : nous sommes ben et bien en face d'un blockbuster subversif.
Télérama
Les splendeurs façon National Geographic futuriste n'ont qu'un temps. La sauce psycho-mélo des destins foudroyés, ou congelés, prend le dessus et finit par tout recouvrir. Pour Roland Emmerich, tout peut arriver, sauf que le cinéma se renouvelle et dépasse le vieux modèle des films catastrophe des années 70.
aVoir-aLire.com
En ces temps paranos où toutes les menaces se multiplient, Emmerich a compris qu'il fallait rassurer les gens après leur avoir fait vivre des choses intenses. Le jour d'après n'est donc pas une étude de moeurs, encore moins une thèse de troisième cycle. C'est un film catastrophe simple et bourrin, direct et attachant dont les effets spéciaux titanesques submergent littéralement le spectateur. Le discours final du président et le dernier plan (beau et parabolique) devraient définitivement faire taire toutes les âmes cyniques qui sont entrées dans la salle avec la féroce intention de démolir le film.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Conçu comme un film catastrophe, avec des intempéries extraordinaires et soudaines auxquelles font face un groupe de survivants, ce mélo-thriller accumule les clichés sentimentaux et psychologiques, exacerbés par la situation.
Les Inrockuptibles
Ce pachydermique film catastrophe est contruit comme un téléfilm où ne manquent ni subplots médiocres (amour, humour, famille, patrie), ni méchant très light (le vice-président américain), ni héros à la pelle.
Libération
Crétinisme affolant. Mais le prix à payer de ce plaidoyer, outre un film de divertissement d'un crétinisme affolant qui postule au titre de la meilleure comédie involontaire de l'année, c'est d'abord, encore et toujours, plus de diktats propagandistes, de gadgets misérables fabriqués dans on ne sait quelle usine du tiers-monde (un réveil porte-clefs posé sur chacun des fauteuils), toujours plus d'autohypnose inquiétante sur la santé démocratique des Etats-Unis, capables de surmonter tous les périls, de laver toutes leurs erreurs.
MCinéma.com
Incapable de tenir la distance sur ce qui a fait venir les spectateurs, le grand spectacle, Emmerich se concentre sur des épiphénomènes inintéressants (ah, les loups !) et sur des personnages aussi fades que risibles. Devant un tel désastre, les paupières se font lourdes. On se demande alors quelle catastrophe le cinéaste va-t-il bien trouver pour son prochain bégayement artistique.