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    Frères de sang
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    2,4
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    28 critiques spectateurs

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    bolt
    bolt

    125 abonnés 809 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2009
    Alors là...Non ! Il y a des limites à ne pas dépasser dans la nullité absolue...et ce film réussit à aller au delà de ces limites. Il franchit la ligne rouge.

    Mais qu'est ce que c'est que ce "film" qui ne ressemble à rien ?

    Je n’ai trouvé à ce film, strictement aucune qualité. Le scénario est minable, les acteurs ne savent pas jouer, le film est d'une lenteur affligeante.

    J'ai presque eut envie de quitter la salle tellement j'avais honte pour le réalisateur qui à tout simplement fait...N'importe quoi.

    À éviter !
    Redzing
    Redzing

    1 139 abonnés 4 486 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mai 2016
    Spécialiste des série B trash et filmées avec très (très) peu de moyens, Frank Henenlotter a débuté sa carrière avec "Basket Case". On y suit un jeune homme, se promenant dans New York avec un panier en osier, qui cache son frère jumeau déformé et meurtrier ! La modestie du budget (euphémisme) se fait lourdement ressentir, avec des effets visuels assez cheap, des acteurs amateurs, et des décors répétitifs. Néanmoins, le film aligne les séquences sanglantes, propose une ambiance poisseuse à souhait, et contient des idées bien allumées. Sans compter un humour noir bienvenu, qui permet de ne pas trop prendre l'ensemble au sérieux. Pour amateurs de cinéma trash.
    Acidus
    Acidus

    733 abonnés 3 717 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    Si, dans le milieu du cinéma d'horreur, "Basket Case" dispose d'un statut de film culte, on se demande bien pourquoi. Plus ridicule qu'effrayant, ce long métrage ne parvient pas a créer ce sentiment d'épouvante tent recherché. La faute à une realréalisation bancale, à de mauvais acteurs et surtout à cause de cette créature foireuse qui aurait gagné à être plus suggérée que montrée. L'absence de moyens financiers ou d'assumer pleinement son aspect série B n'excuse pas les faiblesses de "Basket Case". Oeuvre abrutissante, vide et finalement peu intéressante.
    Shawn777
    Shawn777

    595 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 novembre 2022
    Ce petit film d'horreur de série B, voire même de série Z, réalisé par Frank Henenlotter et sorti en 1982, est plutôt mauvais. Et c'est bien dommage car nous ne sommes même pas dans un nanar (mis à part dans quelques scènes involontairement très drôles) mais vraiment dans un film inconsistant ! C'est ici l'histoire d'un jeune homme qui loue une chambre à New-York et qui transporte avec lui une malle en osier contenant une étrange créature. Bon, il s'avère en fait que c'est son frère siamois (c'est pas vraiment du spoil, c'est dans le synopsis), du moins ce qu'il en reste, et qu'ils décident ensemble de se venger des personnes qui les ont séparés. C'est donc un sujet qui nous fait tout de suite penser aux histoires tordues de David Cronenberg mais seulement, c'est une histoire de vengeance classique saupoudrée de gore et d'éléments de série Z. Car oui, la créature n'est à aucun moment effrayante, elle en est même plutôt risible et puis les acteurs jouent très mal ! Et ce n'est pas non plus l'intrigue qui sauvera l'ensemble puisque tout est très long ! En effet, le film met longtemps à démarrer, on se demande où veulent en venir les personnages et puis, ça ne décolle jamais vraiment. On attend en effet passivement que le film se passe en se réveillant quelques fois lors des rares scènes de meurtres qui sont en revanche relativement bien réalisées. J'apprécie d'ailleurs beaucoup les scènes dans lesquelles on voit la créature bouger en stop-motion, ce qui donne un petit côté artisanal au film. C'est de toute façon son ambiance à la "Street Trash" qui lui sauve la mise car, sans ça, le film n'aurait vraiment aucun intérêt ! "Basket Case" est donc une perte de temps de temps pure et simple, sauf pour les aficionados de séries Z.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 430 abonnés 4 458 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 février 2015
    Frères de sang, premier du nom passe pour un des films réputés de Henenlotter, et puisque je me propose d’attaquer la saga, je me suis lancé dans le premier film en toute logique. Et bien ce n’est pas concluant. Ce métrage m’a rappelé les approximations très nettes d’Elmer le remue méninge du réalisateur.
    Au casting des acteurs pour l’essentiel en roue libre, même si quelques seconds rôles, comme Robert Vogel se débrouille honorablement. L’acteur principal, Kevin Van Hentenryck n’est pas terrible, et même si ce n’est pas catastrophique, il faut avouer qu’il ne fait pas forte impression du tout. Ni à l’aise dans le registre sérieux, ni vraiment plus dans le registre comique, il fait ce qu’il peut mais on sent qu’il n’a aucune expérience particulière et que la direction d’acteur est laborieuse. A ses côtés Terri Susan Smith est meilleure, mais là encore, rien de très transcendant. Si elle est une honorable scream queen, elle manque clairement, comme l’acteur principal d’un sens comique. Ce qui fait d’ailleurs que rare sont les passages se voulant drôles qui fonctionnent, et ce sont surtout les seconds rôles qui rattrapent un peu l’affaire.
    Le scénario a un gros défaut. Il a trop hésité entre sérieux et comique. De fait Basket Case ne fait que très rarement rire aux éclats, et n’arrive pas en même temps, surtout à cause de la faiblesse de l’ensemble, à faire illusion sur le plan sérieux. En gros Henenlotter ne semble pas avoir poussé son délire jusqu’au bout, et la faiblesse de l’intrigue, qui tourne autour d’une relation amoureuse et des facéties du monstre dans un hôtel entrecoupé de quelques meurtres n’arrange rien. D’autant que le rythme lui-même devient vite mou, même si Henenlotter essaye de relancer la machine avec un flash back au milieu du film.
    Visuellement Henenlotter faisait là son premier métrage et cela se sent. Sa mise en scène n’est pas aussi imaginative, nerveuse et fantasque que dans ses films suivants et surtout Frankenhooker. C’est assez plat, les meurtres sont ratés avec des scènes qui se répètent, la scène de sexe final est mal fichue, bref, rien de bien fameux. Niveau décors et photographie, pouvait-on attendre des choses mirobolantes ? Le résultat n’a rien de génial, mais enfin vu le propos du film ça passe. Alors évidemment le monstre, bien que doté d’un look très moche (normal pour un monstre) fonctionne assez difficilement, avec une animation minimaliste. Après je ne l’ai pas trouvé si loupé que cela, pas comme les effets horrifiques d’une maigreur rare et d’un manque de générosité assez notable. Enfin, la bande son est tout à fait convenable pour une toute petite production comme cela.
    Pour être franc Basket Case est un film plus mal fichu d’Henenlotter que volontairement bancale et drôle. Assez mou, redondant, sans réel histoire, visuellement pas imaginatif et plat, Henenlotter ne réussit pas son coup ici. J’espère que les deux épisodes suivants seront un peu plus fantasque, plus sanglants aussi et plus second degré. En sommes plus drôles et délirant. 1.5 et encore, c’est bien parce que c’est une toute petite production.
    jamesluctor
    jamesluctor

    138 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 février 2011
    Un film dont les amateurs de raretés comme moi se régaleront avec plaisir. Une histoire plutôt originale, et dont la bêtise totalement assumée sert de prétexte pour dénoncer... la bêtise humaine (le siamois difforme termine à la sortie du bloc dans un sac poubelle). Une histoire intrigante, portée par des acteurs visiblement amusés par ce script atypique. Du gore mal fait comme on l'aime, des effets spéciaux faits avec les moyens du bord, mais qui renforce le caractère rétro d'un film sensé sortir uniquement en VHS. Un plaisir coupable, souvant drôle, mais aussi tragique quand il le veut.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    699 abonnés 3 039 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2024
    Basket Case mérite aujourd’hui d’être (re)découvert en raison de sa bizarrerie congénitale qui l’inscrit dans la contre-culture underground de son temps. Suivre Sean McCabe dans les bas quartiers de New York chargé de son panier déconcerte de prime abord par la puissance dramatique d’un procédé pourtant simple : entretenir le mystère en le rendant à la fois présent et absent à l’écran. Ce qui se cache dans cette malle obsède peu à peu le spectateur, boîte de pandore de laquelle pourrait surgir une menace rendue néanmoins familière par le dialogue qu’elle entretient avec le protagoniste principal. Ils se parlent, mais nous n’entendons que l’un des deux interlocuteurs, la chose se nourrit, mais nous ne la voyons pas directement. De cette tension entre l’image et son contenu censuré que nous savons vivant naît un interdit, qui mute en scandale à mesure que le réalisateur humanise la créature en lui conférant une histoire, un passé, une sensibilité, de la même façon qu’il regarde avec amusement et tendresse le personnel et la clientèle de l’hôtel.
    La force du film tient alors à la reconquête du centre – de l’image, de l’intérêt – par une marge sinon invisible, écrasée par les buildings et les monuments qui définissent New York. Cette vie cachée est abordée par le biais du doppelgänger et s’accomplit lors d’un rêve terrifiant spoiler: au cours duquel le frère assiste au viol de celle qu’il aime par son double maléfique
    . Le monstre se transforme en entité tragique dont les instincts et les désirs ne parviennent à s’épanouir dans une société contre laquelle s’échouent des solitudes – en témoigne les chambres louées à des personnes isolées, aux secrétaires en manque d’amour, aux patients pathétiques. spoiler: Pulsions de vie et de mort, jalousie fraternelle
    . Le monstre devient ce bourreau qui ne peut jouir que dans le meurtre d’autrui. Les effets horrifiques, très réussis, sont à la fois effrayants et bouffons, respectant la confusion des genres auquel Frank Henenlotter aime s’adonner. Basket Case dispose d’une identité transgressive qui fait de lui une curiosité originale, à l’image de la singularité de son cinéaste.
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    7 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2023
    spoiler: Basket Case nous replonge dans les films d'horreur indépendants des années 1980. Ici Frank Henenlotter nous compte la vengeance de jumeaux dans un New York sale, décors réels, qui en fait aussi un documentaire. L’hôtel où nos jumeaux résident est sordide. Le film contient aussi de l'humour (le meilleur gag est le dealer qui liste la vingtaine de drogues qu'il peut vendre à notre héros, qui n'est pas intéressé et qui ne comprend pas qu'il ne puisse pas être intéressé). Basket Case est à la fois un documentaire sur certains quartiers de New York, une comédie et un film d'horreur. La direction d'acteur n'est pas subtile, mais elle correspond bien à l'environnement peu subtil, grossier, aux personnages qui ne sont pas dans la subtilité et toujours lourds. Le côté artisanal du monstre (animation image par image, poupée inanimée) ne gêne pas et l'arc dramatique est crédible. Même si le scénario n'est pas d'une originalité avec son histoire de vengeance qui arrive du passé. Au total, Frank Henenlotter construit une oeuvre constituée de collages dans une histoire déjà racontée, mais ici qui prend son originalité dans la valeur, la proposition combinée résultante des costumes, décors, maquillages et techniques (image par image, maquillage, poupée) utilisés.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 mars 2010
    Évidemment on voit bien que le film a été réalisé avec 2 sous mais l'intérêt de ce film d'horreur trash Z des années 80 ne réside pas là. C'est toute l'inventivité et la passion de Frank Henenlotter pour le cinéma d'exploitation qui fait de ce film une petite merveille. Et cette passion gicle vraiment sur l'écran. Le jeu des acteurs laisse à désirer, les effets spéciaux sont mauvais (il faut bien le reconnaitre), et l'histoire en soit tient sur un post-it (mais reste quand même bien jubilatoire). Mais les thèmes de la gémellité (un thème qui me passionne depuis que j'ai vu le Sisters de De Palma dans mes jeunes années estudiantines) et surtout de la difformité (j'ose comparer ce film au Freaks de Tod Browning, oui j'ose! Et personne ne viendra me casser la gueule pour ça!) donnent à cette péloche un aspect glauque qui met vraiment mal à l'aise. L'histoire? Un jeune homme transporte toujours avec lui un panier en osier qui contient son jumeau siamois difforme (vraiment absolument difforme), séparé de lui contre sa volonté par des médecins un peu bouchers qui seront massacrés un après l'autre par le siamois monstrueux qui veut se venger; ce qui donne de belles scènes bien gores et bien crades. Certes l'assassin, cette créature difforme, ce frère siamois que l'on jeta dans un sac poubelle, n'est pas ce que l'on pourrait appeler une réussite des effets spéciaux (même pour l'époque) et peut-être que plus d'un spectateur riront et "déconnecteront" à la vision de cette "marionnette" en latex mal foutue et ridicule qui se déplace pour les plans larges en stop-motion bien moisi. Mais un film n'est-ce pas l'art de nous faire gober des choses incroyables ? Personnellement j'ai fini par croire que cette marionnette était un monstre hideux. Frank Henenlotter fait des films avec des budgets dérisoires, et il les fait bien. Je trouve.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 octobre 2007
    j'aime bien les séries z en général.Soit disant ce film est un classique du gore.Franchement pour moi il fait parti de la catégorie "gore débile".Franchement c'est trop mal fait(la scène où le monstre est tout seul dans la chambre et il saccage tout).L'interprétation des acteurs est nulle aussi.Reste L'histoire où ça peut encore aller.La scène de la séparation des siamois est pas mal non plus.Y'a des séries z qui valent le coup,celle là ne vaut rien du tout
    Melvin Heurtebise
    Melvin Heurtebise

    3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 décembre 2019
    Si on prend en considération que ce film a été fait avec seulement 35 000 dollars de budget et que certaines scènes du monstre n'ont pas pu être tournées.

    Ce film est très bon et surtout très drôle, purée les scènes de morts sont tellement poilantes et les cris de Castafiore tellement épique ! Bon film de genre, quand il court nu dans les rues de New York c'est tellement debile ! La fin est sympa en tout cas ! Bon film de genre
    Le foutoir du bis
    Le foutoir du bis

    51 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    Sur le papier, "Basket Case" coche toutes les case de la série Z sans grand intérêt. Avec seulement 35000$ de budget, on s'étonne toutefois d'apprécier cette histoire loufoque, bourrée de défauts mais si singulière qu'elle attise notre curiosité.
    "Frères de sang" est un pur produit des années 80, autrement dit, le genre de long métrage qui n'existera plus jamais. Déjanté, irrévérencieux... Rien que pour cela, il vaut le détour.
    Après, objectivement... c'est une toute autre histoire !
    MrGroenland1
    MrGroenland1

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 août 2024
    Mon film culte.
    Horriblement mal fais avec des effets spéciaux médiocres et pourtant!
    Une histoire de vengeance dans une New-York des 80's crade où l'insécurité règne.
    Un hôtel miteux, des acteurs amateurs parfaits, une belle femme blonde qui fais presque tâche dans cet univers glauque.
    La jalousie maladive de Belial sur une musique climatique de Gus Russo tourne à un final vraiment exceptionnel pour moi.
    La scène du rêve de Duane où il cours nu dans New-York est malsaine.
    Le plan scène grandiose de Manhatan qui se termine sur la porte de la chambre de l'hôtel Broslin est grandiose.
    Un crescendo sonore dans la médiocrité.

    Quelque chose se dégage de ce film fauché.
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