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Votre avis sur La Jeune fille à la perle ?
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Un film merveilleux !
La relation entre Griet et Vermeer, sensuelle et platonique, est vraiment troublante, la lumière incroyable, la musique magnifique... Chaque scène pourrait être le sujet d'un tableau.
Scarlet Johansson (qui a bien changé depuis l'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux) est épatante, tout simplement parfaite !
On frissone au moindre frôlement de mains entre elle et le beau peintre... Bref, un pur ravissement qui tient en haleine du début à la fin!
Si vous ne l'avez pas encore vu, n'écoutez pas les critiques, et courez-y !
La relation entre Griet et Vermeer, sensuelle et platonique, est vraiment troublante, la lumière incroyable, la musique magnifique... Chaque scène pourrait être le sujet d'un tableau.
Scarlet Johansson (qui a bien changé depuis l'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux) est épatante, tout simplement parfaite !
On frissone au moindre frôlement de mains entre elle et le beau peintre... Bref, un pur ravissement qui tient en haleine du début à la fin!
Si vous ne l'avez pas encore vu, n'écoutez pas les critiques, et courez-y !
La Jeune fille à la perle est un film profondément émouvant.
Chaque détail, chaque geste humain, chaque regard est filmé avec une sensibilité infinie. On se laisse emporter par des images magnifiques, en prenant le temps de respirer et de goûter chaque élément.
La lumière, si chère à Vermeer, les couleurs, les objets - que notre esprit perçoit souvent bien mal... Tout est beau, tout est sensible.
Le thème de la perception est central - perception de l'activité créatrice, de l'artiste, et donc de la souffrance liée à une sensibilité hors norme... Ce film est un hommage vibrant à Vermeer, et à ceux qui cherchent à restituer la beauté de notre monde par le biais de l'art. Un hommage à la vie, tout simplement.
Géraldine Dunbar.
Chaque détail, chaque geste humain, chaque regard est filmé avec une sensibilité infinie. On se laisse emporter par des images magnifiques, en prenant le temps de respirer et de goûter chaque élément.
La lumière, si chère à Vermeer, les couleurs, les objets - que notre esprit perçoit souvent bien mal... Tout est beau, tout est sensible.
Le thème de la perception est central - perception de l'activité créatrice, de l'artiste, et donc de la souffrance liée à une sensibilité hors norme... Ce film est un hommage vibrant à Vermeer, et à ceux qui cherchent à restituer la beauté de notre monde par le biais de l'art. Un hommage à la vie, tout simplement.
Géraldine Dunbar.
Pas besoin de cascades extraordinaires ni de combats hurlants pour qu'un film soit réussi, en voici la preuve.Certe c'est lent mais n'est-ce pas une partie du charme de ce film.A voir, revoir et lire.
La photo de "Girl with a pearl earring" est conventionnelle, trop peut-être... et personnellement, c’est un choix artistique que je déplore un tant soit peu malgré le fait que Scarlett Johansson, en servante insoumise et diaphane, soit radieuse. Le succès du film lui doit d’ailleurs beaucoup car tout gravite autour d’elle. Dès lors, si vous n’êtes pas allergique à la peinture hollandaise et aux films en costumes, ce tableau animé flattera vos prunelles.
J'ai lu le livre avant d'aller voir le film... Résultat je n'ai pas apprécié le film...
Trop lent, trop lacunaire (il manque trop de détails du livre pour que le spectateur prenne pleinement connaissance de l'histoire)...
L'ambiguité de la relation entre la servante et son maître est ici esquissée à l'aide de quelques scènes:frolements de mains et regards réprimés ne parviennent pas à sublimer la complexité de cet amour inavoué, inavouable: dommage! Le livre, lui, a cet avantage!
Mais tout de même, mention spéciale à Scarlett JOHANSON, très "pure" et touchante
Trop lent, trop lacunaire (il manque trop de détails du livre pour que le spectateur prenne pleinement connaissance de l'histoire)...
L'ambiguité de la relation entre la servante et son maître est ici esquissée à l'aide de quelques scènes:frolements de mains et regards réprimés ne parviennent pas à sublimer la complexité de cet amour inavoué, inavouable: dommage! Le livre, lui, a cet avantage!
Mais tout de même, mention spéciale à Scarlett JOHANSON, très "pure" et touchante
Un film qui prend pour sujet la création d'un des plus beaux portraits de l'histoire de la peinture, se devait d'être irréprochable dans son approche graphique.
Il faut féliciter bien fort Eduardo Serra qui a réussi un pari très difficile à relever : ses images sont dignes des tableaux du maître hollandais de la lumière. Et quoi de plus beau qu'un tableau de Vermeer pour tous les esthètes du monde entier ?
Pourtant, on ne fait pas un film à partir de sublimes images. Ici, la reconstitution historique est parfaite et crédible de bout en bout. La musique est discrète, mais très belle au demeurant. Enfin, si on met un peu de temps à entrer dans l'histoire (peu développée, il faut bien l'avouer), on est ensuite séduit par l'ambiance que le metteur en scène a su distiller. Les non-dits et les actes manqués se succèdent et finissent par tisser la toile qui enserre les personnages.
Cette toile, c'est bien sûr, le carcan social d'une Hollande où les moeurs sont strictement contrôlées et où il est impossible d'échapper à sa condition. Que l'on soit mécène, artiste ou domestique, on est tous le valet de quelqu'un.
Finalement, le cinéaste réussit à plonger au coeur de la création artistique et signe un film classique (que certains jugeront donc académique), mais vraiment beau.
Il faut féliciter bien fort Eduardo Serra qui a réussi un pari très difficile à relever : ses images sont dignes des tableaux du maître hollandais de la lumière. Et quoi de plus beau qu'un tableau de Vermeer pour tous les esthètes du monde entier ?
Pourtant, on ne fait pas un film à partir de sublimes images. Ici, la reconstitution historique est parfaite et crédible de bout en bout. La musique est discrète, mais très belle au demeurant. Enfin, si on met un peu de temps à entrer dans l'histoire (peu développée, il faut bien l'avouer), on est ensuite séduit par l'ambiance que le metteur en scène a su distiller. Les non-dits et les actes manqués se succèdent et finissent par tisser la toile qui enserre les personnages.
Cette toile, c'est bien sûr, le carcan social d'une Hollande où les moeurs sont strictement contrôlées et où il est impossible d'échapper à sa condition. Que l'on soit mécène, artiste ou domestique, on est tous le valet de quelqu'un.
Finalement, le cinéaste réussit à plonger au coeur de la création artistique et signe un film classique (que certains jugeront donc académique), mais vraiment beau.
Un très beau film vraiment! Une photographie soignée est la première chose que l'on remarque, tant les plans fixes ressemble a des tableaux de grands maitres. La réalistaion est sublime nous permettant d'entrer dans l'intimité du film et l'interprétation incroyable de Colin Firth( dans l'un de ses meilleurs rôles) et de la magnifique Scarlett Johanson, une actrice très prometteuse a suivre qui sait visiblement choisir bien ses films. Un chef d'oeuvre!
Ce film est tout simplement sublime. La beauté de la lumière se marie avec celle des plans. Le travail du peintre mêlé aux sentiments et à un érotisme subtil, donne une dimension d'une grâce rare. Le jeu des acteurs est émouvant au possible...
Je regrette vraiment de ne pas l'avoir vu sur grand écran.
Je regrette vraiment de ne pas l'avoir vu sur grand écran.
PLus que sur l'art, la Jeune fille à la perle est une film sur notre rapport à lui. Ici, on parle de peinture, mais cela aurait pu être toute autre forme d'art.
Un beau film artistique donc (très belle lumière, trè belle photographie, beaux tableaux et beaux costumes, ... belle actrice aussi!), dont le scénario n'est qu'un prétexte pour nous rappeler que l'art est accessible à tous et par tous, tant que l'on voudra bien le respecter et s'y attarder pour mieux le percevoir. De là on en tirera le goût voire la créativité.
Un beau film artistique donc (très belle lumière, trè belle photographie, beaux tableaux et beaux costumes, ... belle actrice aussi!), dont le scénario n'est qu'un prétexte pour nous rappeler que l'art est accessible à tous et par tous, tant que l'on voudra bien le respecter et s'y attarder pour mieux le percevoir. De là on en tirera le goût voire la créativité.
A priori pas passionnant, le film est en fait réussi. Une belle histoire, de beaux acteurs, bref, un beau film.
La perfection faite film !
Que dire : tout y est, tout s'imbrique parfaitement - les acteurs subliment le scénario, la musique sublime les acteurs, les décors subliments la musique, le scénario sublime les décors, etc.
Une histoire fabuleuse, un tableau vivant, une joie. Attention aux pleurs d'émotion dans la salle.
Que dire : tout y est, tout s'imbrique parfaitement - les acteurs subliment le scénario, la musique sublime les acteurs, les décors subliments la musique, le scénario sublime les décors, etc.
Une histoire fabuleuse, un tableau vivant, une joie. Attention aux pleurs d'émotion dans la salle.
Avec grâce et tact, "Girl with a pearl earring" nous conte l'histoire chaloupée de la génèse du tableau.
Scarlett Johansson, à l'image de l'icône du tableau, captive l'attention et l'admiration, loin de la retenue du personnage de "Lost in Translation". Colin Firth joue, avec le même talent révélé par "The Importance of being earnest", un "Vermeer" brillant au comportement espiègle, mais contraint de se plier aux régles "subtiles" du mécénat.
"Girl with a pearl earring" est un petit bonheur.
Scarlett Johansson, à l'image de l'icône du tableau, captive l'attention et l'admiration, loin de la retenue du personnage de "Lost in Translation". Colin Firth joue, avec le même talent révélé par "The Importance of being earnest", un "Vermeer" brillant au comportement espiègle, mais contraint de se plier aux régles "subtiles" du mécénat.
"Girl with a pearl earring" est un petit bonheur.
N'est ce pas ça le but premier du cinéma? Donner vie aux émotions, les faires exploser sur l'écran. En mettant en relation la peinture et le septième art, Peter Webber, avec la beauté de ses images à atteint l'escence même de ces deux Arts réunis. Un ballet de couleurs flamboyantes et de sentiments, une galerie de personnages passionnants interprétés à la perfection (Scarlett Johansson, décidément incroyable dans cette capacité à endosser tous les rôles avec le même talent). Bercé par une musique des plus enivrantes, ce drame bouleversant n'est pas prêt d'être oublié !
Je m'attendais à m'ennuyer un peu...
Mais ce ne fut pas le cas !
La vie d'une bonne dans la maison de Veermer est filmée d'une manière un peu trop mélodramatique (accentuée par la musique) mais l'intérêt est bien là !
Mais ce ne fut pas le cas !
La vie d'une bonne dans la maison de Veermer est filmée d'une manière un peu trop mélodramatique (accentuée par la musique) mais l'intérêt est bien là !
Une merveille de simplicité et de raffinement à la fois. Pratiquement pas d'action,mais une atmosphère domestique où tout se dit à demi-mots, dans des regards ou des frôlements. Une regard profondément humain posé sur les personnages, et sur le travail du peintre inscrit dans des images somptueuses. Les acteurs sont magnifiques et S. Johansson, déjà très bien dans Lost in translation, est absolument bouleversante en jeune servante découvrant la magie de l'art de son maître. Dès qu'on en sort, on a envie d'y retourner. Dommage qu'on ne puisse pas mettre 5 étoiles à ce film dont chaque plan à lui seul est une magnifique toile de maître. Ce film ne parle pas de Vermeer, c'est un grand Vermeer. Bravo
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