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Votre avis sur La Jeune fille à la perle ?
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Ce film est assez prodigieux au niveau de la reconstitution d'une ville des Pays-Bas au 17ème siècle : ruelles, canaux, marchés, vêtements d'époque et éclairage à la bougie. Franchement, chapeau aux décorateurs et costumiers, la réussite est totale et permet de nous immerger totalement dans la vie des personnages. On y suit donc les aventures de la jeune Griet, femme de ménage dans la maison des Vermeer, et qui deviendra la fameuse 'jeune fille à la perle' du tableau du peintre hollandais. Scarlett Johansson est extraordinaire dans ce rôle quasi muet, obéissante et effacée devant ses maitres, mais dont l'esprit est resté ouvert et curieux. Sa beauté irradie l'écran ! A l'inverse Colin Firth joue un Vermeer déprimé et déprimant, sans aucun charme, d'autant plus qu'aucune scène ne vient montrer le génie créatif du peintre (on ne le voit jamais peindre !). Un casting déséquilibré donc, mais malgré tout, le charme particulier de ce film opère et on passe un très bon moment, un peu hors du temps. A voir.
Personnellement, je trouve cette adaptation du roman de Tracy Chevalier, trop "molle".
On s’ennuie durant les trois quarts du film, la musique n'est pas bien remarquable, l'intelligence de Griet très peu perceptible au travers d'une Scarlet Johansson qui a de trop grosses (mais fort jolies) lèvres pour fermer la bouche (et c'est d'un agaçant !)...
L'atmosphère particulière de la maison de Maria Thins n'est non plus pas délivrée comme il se doit, en outre il s'agissait là d'un livre fort compliqué à adapter, je dois reconnaître. En soi, ça n'est pas un mauvais film, c'est regardable. Mais, personnellement, n'appréciant que peu les lenteurs, je n'ai pas pu me laisser absorber par le film. Parlons du casting... d'un décevant !
Où sont passées les cicatrices dues à la variole de Tanneke ?
Où sont passées les boucles blondes de Pieter, et la robustesse et la "jovialité" limite physique de Pieter père ?
Aussi, et bien que cela puisse paraître surprenant, j'ai trouvé à Colin Firth un regard "pervers", tout à fait incommodant. Ou alors est-ce moi qui suis trop pervertie pour ne pas constater là le regard d'un "artiste"...
Tanneke, pour en revenir à elle, n'est pas aussi "grommelant(e)" et sotte qu'elle aurait dû l'être, d'après l'oeuvre originale.
Je n'arrive vraiment pas trouver ne serait-ce qu'une seule qualité à ce film, si c'n'est la ressemblance de l'actrice principale avec "la jeune fille à la perle".
Cependant, je ne veux pas dégoûter un public qui n'aurait pas lu le livre, qui n'en aurait pas eu la même approche que moi, et qui donc aurait pu apprécier ce film. C'est encore une fois un divertissement "regardable".
Je suppose que les autres lecteurs de l'oeuvre originale seront aussi estomaqués que moi après visionnage de la première scène, celle avec les légumes, où, dans le film, la venue de Catharina et son époux a été tronquée... gâchant ainsi le déroulement logique du livre, et, par conséquent, du film.
Plus grosse déception, dirais-je pour ma part : le carreau de faïence donné par le père de Griet à celle-ci (qui était d'ailleurs censé avoir les yeux "cousus pour toujours" par son médecin... mais passons) ; en effet, dans le livre, la peinture était censée représenter Frans, frère de Griet, et cette dernière, elle, le suivant, lui se retournant pour la regarder.. non, vraiment, déçue de ce film.
Après, le réalisateur et le metteur en scène, font ce qu'ils veulent de l'oeuvre originale, vu qu'ils en ont les droits, mais je n'aime pas les adaptations n'étant pas strictement fidèles aux livres (encore une fois, avis personnel, ou alors, ne pas adapter serait encore mieux, chaque lecteur étant alors libre dans son imaginaire...), je ne m'imaginais pas les personnages de cette manière-là, et suis maintenant écœurée à l'idée qu'à relecture du roman, ce sont les visages des personnages du film qui me reviendront...
On s’ennuie durant les trois quarts du film, la musique n'est pas bien remarquable, l'intelligence de Griet très peu perceptible au travers d'une Scarlet Johansson qui a de trop grosses (mais fort jolies) lèvres pour fermer la bouche (et c'est d'un agaçant !)...
L'atmosphère particulière de la maison de Maria Thins n'est non plus pas délivrée comme il se doit, en outre il s'agissait là d'un livre fort compliqué à adapter, je dois reconnaître. En soi, ça n'est pas un mauvais film, c'est regardable. Mais, personnellement, n'appréciant que peu les lenteurs, je n'ai pas pu me laisser absorber par le film. Parlons du casting... d'un décevant !
Où sont passées les cicatrices dues à la variole de Tanneke ?
Où sont passées les boucles blondes de Pieter, et la robustesse et la "jovialité" limite physique de Pieter père ?
Aussi, et bien que cela puisse paraître surprenant, j'ai trouvé à Colin Firth un regard "pervers", tout à fait incommodant. Ou alors est-ce moi qui suis trop pervertie pour ne pas constater là le regard d'un "artiste"...
Tanneke, pour en revenir à elle, n'est pas aussi "grommelant(e)" et sotte qu'elle aurait dû l'être, d'après l'oeuvre originale.
Je n'arrive vraiment pas trouver ne serait-ce qu'une seule qualité à ce film, si c'n'est la ressemblance de l'actrice principale avec "la jeune fille à la perle".
Cependant, je ne veux pas dégoûter un public qui n'aurait pas lu le livre, qui n'en aurait pas eu la même approche que moi, et qui donc aurait pu apprécier ce film. C'est encore une fois un divertissement "regardable".
Je suppose que les autres lecteurs de l'oeuvre originale seront aussi estomaqués que moi après visionnage de la première scène, celle avec les légumes, où, dans le film, la venue de Catharina et son époux a été tronquée... gâchant ainsi le déroulement logique du livre, et, par conséquent, du film.
Plus grosse déception, dirais-je pour ma part : le carreau de faïence donné par le père de Griet à celle-ci (qui était d'ailleurs censé avoir les yeux "cousus pour toujours" par son médecin... mais passons) ; en effet, dans le livre, la peinture était censée représenter Frans, frère de Griet, et cette dernière, elle, le suivant, lui se retournant pour la regarder.. non, vraiment, déçue de ce film.
Après, le réalisateur et le metteur en scène, font ce qu'ils veulent de l'oeuvre originale, vu qu'ils en ont les droits, mais je n'aime pas les adaptations n'étant pas strictement fidèles aux livres (encore une fois, avis personnel, ou alors, ne pas adapter serait encore mieux, chaque lecteur étant alors libre dans son imaginaire...), je ne m'imaginais pas les personnages de cette manière-là, et suis maintenant écœurée à l'idée qu'à relecture du roman, ce sont les visages des personnages du film qui me reviendront...
Encore un tres beau film avec encore une fois une surprenante Scarlet Johanssen.
Immersion totale dans l'époque, c'est très impressionnant. La moralité de l'histoire est surprenante, pour nous, contemporains. 4/5 car un peu trop court. Un agréable moment !
Il y a bien là une certaine beauté qui parcoure le film de bout en bout, une ouverture artistique qui, en dépit d'un certain nombre de maladresses et d'un manque de sensibilité, offre au film une relative clairvoyance dans les rapports humains qu'il semble d'écrire. La Jeune fille à la perle est un bon film, servi par des acteurs convenables.
J'ai décidément vraiment du mal à me faire avec ce film. Je le trouve beaucoup trop lent, ennuyeux et plat. La reconstitution historique est vraiment belle, mais il m'en fallait bien plus. C'est sans action, sans profondeur, les acteurs semblent dépassé par le projet, la BO signée Alexandre Desplat, ne m'a guère séduit. Je reste sur ma faim, mais suis en accord avec le fait que Scarlett Johanson d'un point de vue esthétique soutient fort bien la comparaison avec ce tableau d'origine qui n'est pas non plus un chef d'œuvre. Et bien trop surestimé à mon gout comme ce film.
Beau film, bien joué
Après avoir lu 2 fois le roman de Tracy Chevalier je ne peux qu’être déçue par le film. Forcément les détails restitués dans le livre ne transparaissent pas à l’écran et l’histoire en plus diffère. Scarlett Johansson a beau faire des efforts, la finalité n’en, reste pas moins fade et longue
A part le casting je ne vois pas ce qu'il y a de bien dans ce film, c'est lent assez chiant la perruque de c murrphy est ridicule en plus...bref le genre de film ou c'est difficile de ne pas s'endormir
La Jeune Fille A La Perle est un excellent film de genre drame .
C'est calme, beau presque poétique .
Un très bon scénario .
Une histoire qui contient quelques rebondissements et inattendu en restant claire et cohérent .
Johansson, Firth, Murphy, Wilkinson, ... sont formidables .
Très beau film.
C'est calme, beau presque poétique .
Un très bon scénario .
Une histoire qui contient quelques rebondissements et inattendu en restant claire et cohérent .
Johansson, Firth, Murphy, Wilkinson, ... sont formidables .
Très beau film.
Une belle peinture de la Hollande au 16°siècle ainsi que l'imagination d'un écrivain (Tracy Chevalier) qui en regardant un tableau de Vermeer va inventer toute une histoire pour expliquer comment celui-ci a été crée. Le jeu des acteurs ne m'a cependant pas fait vibré (entre un Colin Firth éteint qui prononce trois phrases et une Scarlett Johansson qui regarde ses chaussettes tout le long) mais à voir, pour les deux premiers points cités, et parce qu'il donne vie à une peinture figée depuis trois siècles et demi.
La réussite de ce film tient en un mot : la photographie! Car oui, s'il s'agissait de nous mettre en permanence devant des tableaux vivants de Vermeer, le pari est plus que réussi. On est clairement devant un film à contempler. La reconstitution de la ville Hollandaise semble quasi-parfaite, on est loin des clichés grotesques de tant de super-productions qui se veulent historiques. On a droit à des plans serrés sur les visages, riches d'une lumière jaune-orangée, caractéristique de la bougie, des plans plus larges qui sont des scènes de vie comme un repas de famille, des servantes affairées à la lessive, tout ceci intégré dans un montage qui privilégie des plans longs et le plus souvent fixes. On pourait croire qu'il s'agit d'un film à la gloire de Vermeer, ou au mieux une biographie partielle mais il n'en est rien. Il s'agit plutôt d'un documentaire historique qui s'ignore et d'un magnifique plébiscite pour la création artistique et l'abnégation qu'elle exige. Malgré tout il reste des longueurs et ce film pourra déplaire aux gens allergiques aux musées, car on a vraiment cette impression de visiter un musée dédié aux oeuvres baroques flamandes.
Magnifique!La jeune fille à la perle c'est:des silences plus révélateurs que les dialogues,un scénario qui tient parfaitement la route, une manière de filmer faisant penser à un tableau et surtout des scènes d'une finesse et d'une sensualité débordante.
De plus,les acteurs sont tous excellents,en pariculier le couple principal dont l'alchimie est palpable. Scarlett Johansson prouve qu'elle a tout d'une grande (à quand un oscar?) et Colin Firth au meilleur de sa forme en arriverait presque à éclipser sa performance dans la mini série Orgueil et Préjugés.
Que dire de plus sinon qu'il faut voir ce film et le revoir.
De plus,les acteurs sont tous excellents,en pariculier le couple principal dont l'alchimie est palpable. Scarlett Johansson prouve qu'elle a tout d'une grande (à quand un oscar?) et Colin Firth au meilleur de sa forme en arriverait presque à éclipser sa performance dans la mini série Orgueil et Préjugés.
Que dire de plus sinon qu'il faut voir ce film et le revoir.
Scarlett Johansson incarne avec qualité Griet, la servante de Vermeer qui aurait inspiré à ce dernier le fameux tableau « La jeune fille à la perle ». Quant à Colin Firth, il campe un Vermeer qui a bien du mal à terminer ses peintures à temps, à subvenir aux besoins de sa famille et à maintenir l’harmonie dans son couple. Ce biopic est romancé et, à vrai dire, pas très passionnant. Surtout que l’on ne sait pas qui était la jeune fille du tableau, peut-être même l’une des filles de Vermeer... mais le scénariste a choisi de faire intervenir une jeune et belle servante pour développer une histoire d’amour, de jalousie et de désirs autour d’elle.
Il n’est plus utile de scander la beauté, la pureté du visage de Scarlett Johansson, actrice illuminée, actrice adorée, actrice sensible. Par contre, il est utile de s’insurger contre Colin Firth, passif, agaçant, absent de ce film dont il est l’un des héros. On lui préfère aisément les seconds rôles, délicieux (Tanneke), délicats (Pieter), exécrables (Cornélia), jouissifs (Catharina) et discrets (Maertge). Il est pourtant évident que ce film est un tableau, un tableau de beauté, un tableau de poésie, un tableau de délicatesse, un tableau de vie, dont le charme n’échappe à personne.
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