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L'Ours rouge doit d'ailleurs beaucoup à l'interprétation de Julio Chávez : avec son front buté, son corps de colosse et l'énergie du désespoir, il est étonnant.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Malgré quelques facilités occasionnelles, le cinéaste s'en tire mieux que son personnage avec ce film âpre et bourru, qui flirte avec de grandes idées sans négliger d'alimenter son petit moteur sentimental.
Suprême hommage au genre cinématographique, le cinéaste nous gratifie même d'une incroyable séquence d'affrontements au pistolet digne des duels de westerns. Reste que la grande force de Caetano a été de savoir s'en démarquer en purgeant son film de tout manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Troisième long métrage d'un jeune réalisateur uruguayen installé en Argentine, L'Ours rouge confirme un talent déjà remarqué tout en surprenant par une capacité à jouer sans y succomber complètement avec les conventions d'un cinéma de genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Il y a un bail, mine de rien, que le cinéma n'avait pas joué à ce point de délectation avec la malédiction, le pétrin, la poisse. C'est aussi là qu'on voit combien il aurait été facile, pour un mauvais réalisateur, de se ranger du côté des rieurs, prendre son Ours en moquerie, l'essorer jusqu'au dernier coup bas. Caetano nous intéresse précisément parce qu'il fait l'inverse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Malgré tout, la performance de l'acteur principal interprété par un Julio Chavez alourdi de quinze kilos vaut quelque peu le détour. Cousin latin de Tony Soprano, il promène la même silhouette lourde et porte dans le regard ce même mélange de bonhomie (le côté gros nounours) et de terreur (les éclats cinglants du tueur). A lui seul, le comédien peut faire basculer une scène et apporte un peu de suspens dans cet ensemble trop routinier.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Aden
L'Ours rouge doit d'ailleurs beaucoup à l'interprétation de Julio Chávez : avec son front buté, son corps de colosse et l'énergie du désespoir, il est étonnant.
Cahiers du Cinéma
Malgré quelques facilités occasionnelles, le cinéaste s'en tire mieux que son personnage avec ce film âpre et bourru, qui flirte avec de grandes idées sans négliger d'alimenter son petit moteur sentimental.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Suprême hommage au genre cinématographique, le cinéaste nous gratifie même d'une incroyable séquence d'affrontements au pistolet digne des duels de westerns. Reste que la grande force de Caetano a été de savoir s'en démarquer en purgeant son film de tout manichéisme.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Décidément, le cinéma argentin est en pleine forme.
Le Monde
Troisième long métrage d'un jeune réalisateur uruguayen installé en Argentine, L'Ours rouge confirme un talent déjà remarqué tout en surprenant par une capacité à jouer sans y succomber complètement avec les conventions d'un cinéma de genre.
Le Parisien
Le film est porté à bout de bras, et à bout portant quand il sort son flingue, par l'acteur principal, qui emporte l'adhésion du spectateur.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Le film finit mal parce que, dans l'Argentine d'aujourd'hui, le contraire eût été irréaliste. Mais il serre joliment le coeur.
Les Inrockuptibles
Un polar sobre, efficace et sous-tendu d'ironie politique, qui confirme l'éclat et la diversité du nouveau cinéma argentin.
Libération
Il y a un bail, mine de rien, que le cinéma n'avait pas joué à ce point de délectation avec la malédiction, le pétrin, la poisse. C'est aussi là qu'on voit combien il aurait été facile, pour un mauvais réalisateur, de se ranger du côté des rieurs, prendre son Ours en moquerie, l'essorer jusqu'au dernier coup bas. Caetano nous intéresse précisément parce qu'il fait l'inverse.
MCinéma.com
L'OURS ROUGE, où comment revisiter un genre en y apportant sa petite touche perso, en toute simplicité et en toute modestie.
Chronic'art.com
Malgré tout, la performance de l'acteur principal interprété par un Julio Chavez alourdi de quinze kilos vaut quelque peu le détour. Cousin latin de Tony Soprano, il promène la même silhouette lourde et porte dans le regard ce même mélange de bonhomie (le côté gros nounours) et de terreur (les éclats cinglants du tueur). A lui seul, le comédien peut faire basculer une scène et apporte un peu de suspens dans cet ensemble trop routinier.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Première
On est cependant frustré par la description très allusive de la crise, véritable sujet du film.
TéléCinéObs
Simple, brutal et charismatique, le film est à l'image de son héros.
Télérama
Le portrait subtil d'un "dur" pudique et blessé, servi par la sombre puissance de son interprète, Julio Chavez.