Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le premier film de Carlos Reygadas, jeune Mexicain de 30 ans, est un total éblouissement.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Japon redonne confiance dans les possibilités du cinéma à se réinventer là où on l'attend le moins. Le conte cinématographique s'ouvre au désir, à la révolte, à la violence, aux pulsions de vie et de mort avec une sorte d'évidence magistrale et triviale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
S'il n'y a pas une once de Japon dans Japón, qu'y trouve-t-on à la place ? Un sentiment (japonais ?, fantasmé comme tel ?) d'évasion, pas mal de recueillement, une élévation spirituelle, un mixte de chichis et de grâce, et une cascade de séquences laissant le spectateur coi d'étonnement et d'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) c'est un grand moment de lyrisme et de bonheur. Mais il faut patience et goût de la contemplation.
Les Echos
par Annie Coppermann
Sa lenteur, son parti pris d'étrangeté minérale, son silence d'autisme peuvent, sans doute, passer pour du maniérisme, et ennuyer jusqu'au rejet. Mais si l'on se laisse accrocher, on peut sortir de ce voyage de deux heures littéralement envoûté. Une expérience qui, pour les cinéphiles, mérite d'être tentée.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Caméra d'or à Cannes, un tour de force existentiel et formel, malgré ses références appuyées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(...) le risque est payant. Carlos Reygadas signe une oeuvre atypique, dérangeante, qui pourra même choquer bien des esprits, et qui confirme la vitalité d'un certain cinéma venu d'Amérique Latine, du Mexique et d'Argentine notamment.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Une ultime parabole sur l'impermanence des choses fait de Japon un authentique film zen.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette vision du chaos du monde est lucide, grave et profonde. Il faut heureusement ajouter qu'elle est vive, affective et ne prétend pas asséner un message ni se résoudre à une signification unique. Le titre à la fois énigmatique et élégant donne le ton.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
L'interminable travelling sur une voie ferrée révélant le fatum sur lequel le film se clôt, résume au bout du compte son paradoxe : aussi impressionnante qu'elle soit, cette fin reste sans émotion, totalement extérieure au récit -dont on se rend compte alors qu'il n'a jamais vraiment commencé.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Christophe Narbonne
Les longueurs et l'opacité de cet étrange western métaphysique, où l'homme est pratiquement réduit au rang d'animal, sont à réserver à un public averti.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par N. T. Binh
Dommage que ce beau film soit d'une longueur éprouvante.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Carlos Reygadas a du talent, c'est évident, encore que le film draine quelque chose d'un peu frelaté. Rapidement pourtant son film devient un objet assez antipathique.
Aden
Le premier film de Carlos Reygadas, jeune Mexicain de 30 ans, est un total éblouissement.
Le Monde
Japon redonne confiance dans les possibilités du cinéma à se réinventer là où on l'attend le moins. Le conte cinématographique s'ouvre au désir, à la révolte, à la violence, aux pulsions de vie et de mort avec une sorte d'évidence magistrale et triviale.
Libération
S'il n'y a pas une once de Japon dans Japón, qu'y trouve-t-on à la place ? Un sentiment (japonais ?, fantasmé comme tel ?) d'évasion, pas mal de recueillement, une élévation spirituelle, un mixte de chichis et de grâce, et une cascade de séquences laissant le spectateur coi d'étonnement et d'admiration.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
(...) c'est un grand moment de lyrisme et de bonheur. Mais il faut patience et goût de la contemplation.
Les Echos
Sa lenteur, son parti pris d'étrangeté minérale, son silence d'autisme peuvent, sans doute, passer pour du maniérisme, et ennuyer jusqu'au rejet. Mais si l'on se laisse accrocher, on peut sortir de ce voyage de deux heures littéralement envoûté. Une expérience qui, pour les cinéphiles, mérite d'être tentée.
Les Inrockuptibles
Caméra d'or à Cannes, un tour de force existentiel et formel, malgré ses références appuyées.
MCinéma.com
(...) le risque est payant. Carlos Reygadas signe une oeuvre atypique, dérangeante, qui pourra même choquer bien des esprits, et qui confirme la vitalité d'un certain cinéma venu d'Amérique Latine, du Mexique et d'Argentine notamment.
Novaplanet.com
Une ultime parabole sur l'impermanence des choses fait de Japon un authentique film zen.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Cette vision du chaos du monde est lucide, grave et profonde. Il faut heureusement ajouter qu'elle est vive, affective et ne prétend pas asséner un message ni se résoudre à une signification unique. Le titre à la fois énigmatique et élégant donne le ton.
Chronic'art.com
L'interminable travelling sur une voie ferrée révélant le fatum sur lequel le film se clôt, résume au bout du compte son paradoxe : aussi impressionnante qu'elle soit, cette fin reste sans émotion, totalement extérieure au récit -dont on se rend compte alors qu'il n'a jamais vraiment commencé.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Les longueurs et l'opacité de cet étrange western métaphysique, où l'homme est pratiquement réduit au rang d'animal, sont à réserver à un public averti.
Zurban
Dommage que ce beau film soit d'une longueur éprouvante.
Cahiers du Cinéma
Carlos Reygadas a du talent, c'est évident, encore que le film draine quelque chose d'un peu frelaté. Rapidement pourtant son film devient un objet assez antipathique.