Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Africultures.com
par Olivier Barlet
Quand la dureté de l'école coranique n'empêche pas la beauté des personnages, une intensité s'impose, bien loin d'un cinéma de pancarte. Il ne s'agit pas ici de dénoncer mais de saisir les pauvretés et les richesses, les limites et les grandeurs. Ce regard, par son épaisseur humaine, met sans doute mieux à jour les contradictions et trouve une juste radicalité. "Abouna" est une prière à la vie, une affirmation de dignité, une leçon de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Chronic'art.com
par Elysabeth François
A partir d'un fait divers observé au Tchad -les maris qui disparaissent du jour au lendemain abandonnant femme et enfants-, Mahamat-Saleh Haroun imagine un émouvant récit d'apprentissage emprunt d'une poésie qui doit autant aux magnifiques décors naturels du film qu'à la foi du cinéaste en les vertus presque magiques du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une fiction minimaliste et graphiquement parfaite : vicissitudes tragiques et lumineuses de deux garçons africains abandonnés par leur père.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Aden
par Philippe Piazzo
Tout à coup, le réel espoir qui naît de cette désolation tient dans le courage et la volonté que montrent les personnages à avancer sur leur route. La beauté d'un pays meurtri laisse place peu à peu à la beauté d'un possible renouveau. Encore rêvé, peut-être.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Un beau film aux couleurs franches qui s'il est est taraudé par un vide est surtout travaillé par la présence de ses personnages (...).
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Abouna (notre père) donne indirectement ses lettres de noblesse à toutes les femmes tchadiennes à la recherche de leur mari. Il paraît qu'il y en a beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
C'est un joli film tout en sensibilité, en tendresse sur un problème universel : celui de la quête du père et de la recherche d'identité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette abolition de la rampe, qui réduit à néant l'écart entre la représentation et la réalité représentée, renvoie à la situation d'un continent où les êtres humains semblent relégués à la condition de fantômes et trouvent dans l'imaginaire une inépuisable ressource existentielle contre le désespoir. C'est entre ces deux termes contradictoirement liés que balance Abouna, avec une délicatesse et une dignité qui le rendent admirable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Un film magnifié par un beau travail sur la couleur, les lumières et sa musique signée par l'immense Ali Farka Touré. ABOUNA tend à l'apaisement et respire l'air du temps dans l'Afrique d'aujourd'hui. Dépaysement assuré.
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Abouna séduit surtout par la force tranquille de sa mise en scène et sa lancinante mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
Attitude pudique, un peu trop peut-être, on aimerait parfois être plus près des deux frères, en savoir plus sur eux. Mais cette légère frustration est compensée par la description inquiète d'un pays abîmé et par un imaginaire sensible, enchanté lors d'une belle scène dans une salle de cinéma où les enfants croient reconnaître leur père à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
La facture de l'ensemble demeure classique, mais le cinéaste tchadien impose un rythme et met en scène, avec une certaine émotion, la figure paternelle et le rapport au cinéma qu'entretiennent les deux jeunes garçons. Les acteurs apportent une touche de grâce.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Nicolas Schaller
Mais derrière cette belle enveloppe se cache un contenu d'une minceur et d'une naïveté déroutantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Africultures.com
Quand la dureté de l'école coranique n'empêche pas la beauté des personnages, une intensité s'impose, bien loin d'un cinéma de pancarte. Il ne s'agit pas ici de dénoncer mais de saisir les pauvretés et les richesses, les limites et les grandeurs. Ce regard, par son épaisseur humaine, met sans doute mieux à jour les contradictions et trouve une juste radicalité. "Abouna" est une prière à la vie, une affirmation de dignité, une leçon de cinéma.
Chronic'art.com
A partir d'un fait divers observé au Tchad -les maris qui disparaissent du jour au lendemain abandonnant femme et enfants-, Mahamat-Saleh Haroun imagine un émouvant récit d'apprentissage emprunt d'une poésie qui doit autant aux magnifiques décors naturels du film qu'à la foi du cinéaste en les vertus presque magiques du cinéma.
Les Inrockuptibles
Une fiction minimaliste et graphiquement parfaite : vicissitudes tragiques et lumineuses de deux garçons africains abandonnés par leur père.
Aden
Tout à coup, le réel espoir qui naît de cette désolation tient dans le courage et la volonté que montrent les personnages à avancer sur leur route. La beauté d'un pays meurtri laisse place peu à peu à la beauté d'un possible renouveau. Encore rêvé, peut-être.
Cahiers du Cinéma
Un beau film aux couleurs franches qui s'il est est taraudé par un vide est surtout travaillé par la présence de ses personnages (...).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Abouna (notre père) donne indirectement ses lettres de noblesse à toutes les femmes tchadiennes à la recherche de leur mari. Il paraît qu'il y en a beaucoup.
Le Figaroscope
C'est un joli film tout en sensibilité, en tendresse sur un problème universel : celui de la quête du père et de la recherche d'identité.
Le Monde
Cette abolition de la rampe, qui réduit à néant l'écart entre la représentation et la réalité représentée, renvoie à la situation d'un continent où les êtres humains semblent relégués à la condition de fantômes et trouvent dans l'imaginaire une inépuisable ressource existentielle contre le désespoir. C'est entre ces deux termes contradictoirement liés que balance Abouna, avec une délicatesse et une dignité qui le rendent admirable.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Un film magnifié par un beau travail sur la couleur, les lumières et sa musique signée par l'immense Ali Farka Touré. ABOUNA tend à l'apaisement et respire l'air du temps dans l'Afrique d'aujourd'hui. Dépaysement assuré.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Abouna séduit surtout par la force tranquille de sa mise en scène et sa lancinante mélancolie.
Télérama
Attitude pudique, un peu trop peut-être, on aimerait parfois être plus près des deux frères, en savoir plus sur eux. Mais cette légère frustration est compensée par la description inquiète d'un pays abîmé et par un imaginaire sensible, enchanté lors d'une belle scène dans une salle de cinéma où les enfants croient reconnaître leur père à l'écran.
Zurban
La facture de l'ensemble demeure classique, mais le cinéaste tchadien impose un rythme et met en scène, avec une certaine émotion, la figure paternelle et le rapport au cinéma qu'entretiennent les deux jeunes garçons. Les acteurs apportent une touche de grâce.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Mais derrière cette belle enveloppe se cache un contenu d'une minceur et d'une naïveté déroutantes.