Un gros navet à gros budget (pour l'époque) qui n'a même pas la décence d'être un vrai nanar dont on pourrait se délecter (mais ça s'en raproche fortement). Après quelques films inquiétants, dont le pitoyable "L'Animal", Belmondo passe définitivement du coté obscur de la force et rejoint son ami Delon qui s'adonnait déjà aux joies du cinéma légumineux depuis près de dix ans. Allaient donc suivre un florilège de films à haute teneur nanarde et qui ne cesse de laisser rêveur l'amateur pervers de plantade cinématographique: dans l'ordre "Le Professionnel", "L'As des As", "Le Marginal", "Les Morfalous", "Joyeuses Pâques", "Hold-Up", "Le Solitaire". Chapeau bas, l'artiste!
Le début est un peu poussif et on s'interroge quant a la suite du film. "le guignolo" gagne en rythme mais on ne retrouve pas la cadence que belmondo imprimait dans ses autres films. Malgré tout cela reste un bon film sans plus. Chaque acteur a la droit de faire du moins bon...