Ah, voilà un film où Belmondo en fait des tonnes et où ça passe plutot bien ! L'histoire d'espion est amusante, le personnage est tout à fait sympathique et les gags irrésistibles s'enchaînent parfaitement. On rit et on en redemande. On passe un bon moment.
"Le Guignolo" n'est pas le meilleur film avec Bébel, mais cette parodie de films d'espionnage arrive à détendre le spectateur à condition que celui-ci n'en abuse pas.
Le cinéma populaire et de divertissement par excellence... Et c'est bon ! Toujours un énorme plaisir à revoir Bebel à 100% dans sa période aventure+action+humour = Succès ! Lautner en grande forme réalise un film juste pour le plaisir du spectateur et il réussit fort bien. Certains acteurs en font un peu trop et d'autres pas assez. Le film n'est qu'une excuse pour additionner les scènes cultes. Sans doute parfois un peu facile dans la forme mais le plaisir est au rendez-vous.
Pas le meilleur Bébel. On est loin ici de l'irrésistible "Magnifique", mais il est vrai que Lautner n'est pas non plus Philippe de Broca. Reste un film assez bien écrit, avec des dialogues signés Michel Audiard, quelques scènes assez loufoques, mais l'ensemble manque cruellement de l'unité qui marque son aîné. Un bon moment de détente.
Belmondo est vraiment un génie. Même avec un scénario aussi invraisemblable et des acteurs qui en font des tonnes (Philippe Castelli en tête), il réussit à rendre le film sympatique grâce à son charisme animal, son énergie et son humour (surtout sur lui-même). Un génie comme il n'en existe plus mais un film malgré tout mineur dans sa filmo!
Fou, fou, fou, ce film est fou, parfois trop même.A vouloir trop en faire, George Lautner débute très mal son film, mutlipliant les personnages et les tours de passe-passes à n'en plus finir avec cette voix off qui nous ferait presque croire que l'on se trouve devant un conte particulièrement débile.L'intrigue ne se met en place qu'au bout d'une vingtaine de minutes où un semblant de scénario tente de nous tenir en haleine jusqu'au dénouement final en mélant burlesque et espionnage.On peut reprocher à ce "Guignolo" d'être un peu trop euphorique au point de nous faire décrocher tellement la mayonnaise ne prend pas côté spectateur pourtant, c'est dans des scènes complètements folles où plusieurs personnages se croisent et où on finis par ne plus rien comprendre que le film trouve tout son intêret.On est ici pour voir du grand n'importe quoi et on ne peut pas se plaindre de ce côté là.Cependant, George Lautner associé à Michel Audiard et à Jean-Paul Belmondo aurait tout de même pu livrer quelque chose de plus convenable, dans la même veine que ses grands succès des années 60 comme les tontons ou "Ne nous fachons pas".On prendra plutôt "Le Guignolo" comme un moment de détente de la part de tout ses protagonistes qui eux, ont vraiment l'air de s'amuser comme des fous ce qui n'est pas toujours le cas du spectateur.
C'est vrai que le jeu de Belmondo est très cabotin ici (il est en pleine période, Boum boum toctoc badaboum oui c'est moi) mais j'aime bien et si Le Guignolo ne fait pas partie de ses meilleurs films qu'importe puisque le but est de nous divertir avant tout. Et ce film parvient parfaitement à nous détendre.
Un rôle taillé sur-mesure pour Belmondo qui cabotine à souhait. Malgré un scnéario plutôt moyen, on suit avec plaisir les aventures de ce guignolo. Pas forcément le meilleur Bebel mais ça reste agréable quand même.
Quand Georges Lautner et Michel Audiard manquent totalement d'inspiration, ça donne un navet comme "Le Guignolo". C'est dans ce genre de circonstance que l'on se rend bien compte que même un bon acteur ne peut pas sauver un film si le scénario est vraiment plat, comme c'est le cas ici. Une belle déception!
Un trés bon film avec un Jean-Paul Belmondo plus qu'en forme.QuelqueS gags marrants est un film sympathique avec une belle une musique est un beau scénario.Par contre j'ai trouver Galabru un peu mou dans ce film.
Un gros navet à gros budget (pour l'époque) qui n'a même pas la décence d'être un vrai nanar dont on pourrait se délecter (mais ça s'en raproche fortement). Après quelques films inquiétants, dont le pitoyable "L'Animal", Belmondo passe définitivement du coté obscur de la force et rejoint son ami Delon qui s'adonnait déjà aux joies du cinéma légumineux depuis près de dix ans. Allaient donc suivre un florilège de films à haute teneur nanarde et qui ne cesse de laisser rêveur l'amateur pervers de plantade cinématographique: dans l'ordre "Le Professionnel", "L'As des As", "Le Marginal", "Les Morfalous", "Joyeuses Pâques", "Hold-Up", "Le Solitaire". Chapeau bas, l'artiste!