Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il y a ici, sans emphase ni rhétorique, une morale en acte sur la place du cinéaste, et partant du spectateur, qui se partage entre la leçon de ténèbres et l'humanisme le plus vivifiant. On ne voit guère, sur la planète du cinéma, qu'Abbas Kiarostami pour atteindre avec une telle simplicité à ce degré de richesse et d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gérard Lefort
C'est sûrement sur ce dernier point que le film de Cavalier est le plus libre et aventurier. Car son mystère ne tient pas à la résolution de son suspense pondéral (maigrira-maigrira pas ?), mais plutôt à une incertitude qui le déleste, un sentiment du tout-autre qui dessine un au-delà du documentaire et de la fiction. Nous voilà donc entre chien et loup, égarés, dépossédés, avec délice et inquiétude. René, cet inconnu qui nous hante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
L'air de rien, René démode l'audace fabrriquée de la télé-réalité et ouvre une nouvelle voie au cinéma du XXIe siècle.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Quand un ami comédien lui a parlé de ses problèmes de poids, Alain Cavalier lui a proposé de maigrir devant sa caméra. Cela donne René, un film modeste et superbe, qui relie les hommes entre eux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Mais Cavalier a changé les noms, brouillé les pistes... Alors, on ne fait que passer, pendant 1h25, dans la vie des protagonistes, mais on est d'emblée si proche que l'on se sent en famille, avec des amis, profondément humains et touchants.
Obejctif-Cinema.com
par Bernard Payen
Difficile de départager le " vrai " du fabriqué. Cette ambiguïté fait la force du film, mais aussi peut-être sa faiblesse (...). On finit toutefois par ne plus se poser de questions, tant cette indétermination est une question vaine. René comme personnage de cinéma charismatique et présence humaine (é)mouvante finit par s'imposer.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Sophie Grassin
Sans cesse émouvant et vivant, René ne renferme aucune image insignifiante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
Ce que peut nous inspirer René finit par être parasité par la façon dont on nous le présente.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Le dispositif est habile, presque roublard, mais pas vraiment aimable et sans émotion. L'impression de voir un épisode de Strip-tease maquillé l'emporte finalement (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
" René ", aujourd'hui, tient à nouveau de cette forme d'expérience de captation d'une vérité que le cinéaste, parce qu'il la regarde, et la choisit, transforme... Mais, à ce point, son minimalisme est à double tranchant. Si l'on est un peu distrait, on peut rester, ici, totalement indifférent, et trouver le temps inconsistant et long. Mais si l'on y prête attention, on n'oublie plus René, ce très très gros qui est aussi notre frère, parce que c'est... une rencontre, et une vie, qui entre dans la nôtre. Un film ovni !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télérama
par Frédéric Strauss
Les intentions d'Alain Cavalier ne sont pas plus évidentes. En faisant jouer René par un acteur inconnu, qui semble avoir la même vie et qui maigrit vraiment, il mêle documentaire et fiction et brouille les pistes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
Dommage que cette forme singulière ne soit pas mise au service d'un propos plus consistant : de l'amaigrissement au deuil amoureux, en passant par la passion du théâtre ou les inquiétudes de la paternité, beaucoup de thèmes donnent le sentiment de n'être, ici, qu'effleurés. Ce qui surprend un peu de la part d'un cinéaste au regard d'ordinaire plus pénétrant.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'ennui, c'est que le film vire au misérabilisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Monde
Il y a ici, sans emphase ni rhétorique, une morale en acte sur la place du cinéaste, et partant du spectateur, qui se partage entre la leçon de ténèbres et l'humanisme le plus vivifiant. On ne voit guère, sur la planète du cinéma, qu'Abbas Kiarostami pour atteindre avec une telle simplicité à ce degré de richesse et d'émotion.
Libération
C'est sûrement sur ce dernier point que le film de Cavalier est le plus libre et aventurier. Car son mystère ne tient pas à la résolution de son suspense pondéral (maigrira-maigrira pas ?), mais plutôt à une incertitude qui le déleste, un sentiment du tout-autre qui dessine un au-delà du documentaire et de la fiction. Nous voilà donc entre chien et loup, égarés, dépossédés, avec délice et inquiétude. René, cet inconnu qui nous hante.
TéléCinéObs
L'air de rien, René démode l'audace fabrriquée de la télé-réalité et ouvre une nouvelle voie au cinéma du XXIe siècle.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Quand un ami comédien lui a parlé de ses problèmes de poids, Alain Cavalier lui a proposé de maigrir devant sa caméra. Cela donne René, un film modeste et superbe, qui relie les hommes entre eux.
MCinéma.com
Mais Cavalier a changé les noms, brouillé les pistes... Alors, on ne fait que passer, pendant 1h25, dans la vie des protagonistes, mais on est d'emblée si proche que l'on se sent en famille, avec des amis, profondément humains et touchants.
Obejctif-Cinema.com
Difficile de départager le " vrai " du fabriqué. Cette ambiguïté fait la force du film, mais aussi peut-être sa faiblesse (...). On finit toutefois par ne plus se poser de questions, tant cette indétermination est une question vaine. René comme personnage de cinéma charismatique et présence humaine (é)mouvante finit par s'imposer.
Première
Sans cesse émouvant et vivant, René ne renferme aucune image insignifiante.
Aden
Ce que peut nous inspirer René finit par être parasité par la façon dont on nous le présente.
Chronic'art.com
Le dispositif est habile, presque roublard, mais pas vraiment aimable et sans émotion. L'impression de voir un épisode de Strip-tease maquillé l'emporte finalement (...).
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
" René ", aujourd'hui, tient à nouveau de cette forme d'expérience de captation d'une vérité que le cinéaste, parce qu'il la regarde, et la choisit, transforme... Mais, à ce point, son minimalisme est à double tranchant. Si l'on est un peu distrait, on peut rester, ici, totalement indifférent, et trouver le temps inconsistant et long. Mais si l'on y prête attention, on n'oublie plus René, ce très très gros qui est aussi notre frère, parce que c'est... une rencontre, et une vie, qui entre dans la nôtre. Un film ovni !
Télérama
Les intentions d'Alain Cavalier ne sont pas plus évidentes. En faisant jouer René par un acteur inconnu, qui semble avoir la même vie et qui maigrit vraiment, il mêle documentaire et fiction et brouille les pistes.
Zurban
Dommage que cette forme singulière ne soit pas mise au service d'un propos plus consistant : de l'amaigrissement au deuil amoureux, en passant par la passion du théâtre ou les inquiétudes de la paternité, beaucoup de thèmes donnent le sentiment de n'être, ici, qu'effleurés. Ce qui surprend un peu de la part d'un cinéaste au regard d'ordinaire plus pénétrant.
Le Parisien
L'ennui, c'est que le film vire au misérabilisme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com